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Appleperrr ... Wait. WHAT? (ft Fluffle Puff)

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« T'as vraiment une sale gueule »
Deadpool
Deadpool
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« T'as vraiment une sale gueule »
25/7/2015, 22:34
Messages : 106
Age du personnage : Il fait dans les 30 ans
Pouvoirs / Particularités : Il saît qu'il est dans un rp / Facteur guerisseur + tp

Origine : Marvel DC

Une simple branche qui se détacha du feuillage particulièrement dense des arbres de la forêts, à cause d'une alizée un peu trop violente, sans doute, effleura ma joue dans sa chute, mettant fin à mon merveilleux voyage au pays de Morphée. Avec un grognement agacé, je papillonnais péniblement d'un œil et entreprit d'observer les alentours en espérant retrouver un environnement familier. Un fast food, une rue bondée, un strip club, l'Enfer de Dante, ou même mon appartement en compagnie d'un Peter nu et couvert de sueur.

Raté.

Je poussais un long soupir agacé et referma mon œil avant de le laisser se rouvrir quelques secondes plus tard, en caressant le mince espoir que ma vision précédente ne soit qu'une hallucination de plus, et non pas un lundi matin corsé au point de n'avoir même plus la souvenance d'être parvenu à atteindre un lieu encore inconnu. Mais non, tout cela était bien réel. TROP réel.

On m'avait souvent parlé de ce genre d'endroit, mais, dans ma crédulité, je pensais que ce n'était que de simples histoires que l'on se racontait au coin du feu, des fables faîtes pour effrayer les gosses avant qu'ils n'aillent se coucher, pour le simple plaisir de les voir se pisser dessus pendant qu'il dorment, ou encore des creepypastas bonne à effrayer les ados prépubères qui rodent sur la toile.

Je n'aurais jamais pu croire qu'un endroit fait UNIQUEMENT d'arbres et de petits animaux mignons pouvait REELLEMENT exister !

Sans déconner, j'étais sûr d'être à au moins une douzaine de kilomètres du bar le plus proche ! Il fallait vraiment s'attendre à tout à Wonderland. Même à l'impensable.

Avec un soupir final d'acceptation face à mon sort, je scellais définitivement mes paupières, laissant mon pauvre corps couvert de cloques s'affaler sur le sol recouvert de verdure, me prélassant allégrement alors que mes narines profitaient des effluves de la forêt enchanté, tandis que mon esprit, lui, était par bien trop occupé à tenter de répondre à une question primordiale pour commander à mon corps de se lever et de se mettre à marcher.

Qu'est ce que je foutais dans une putain de forêt, bordel de merde ?

Allongé dans l'herbe teintée d'un vert encore plus vif que le vertigo, j'avais l'impression d'oublier quelque chose … une sorte de pressentiment, un appel de mon inconscient, comme une réminiscence qui cherche à tout prix à se raccrocher à une mémoire trop embuée pour se rappeler de détails, aussi importants soient ils. Mais ce quelque chose me retenait dans ce lieu comme si j'y avais laissé une partie de moi même, comme un vide que je ressentais juste en dessous de ma cage thoracique, Un manque atroce que je devais combler, Quelque chose d'important, sur lequel que je me devais de mettre la main le plus vite poss...

Rappelle toi Dead, tout se mange dans Trick or Treat. Tout.

... ible.

Oh. Donc en fait j'avais juste la dalle ?

Oui. En contrepartie, tout essaye de te manger.

Ah. Ca, ca expliquait sans doute pourquoi je ne pouvais pas me lever. Ce n'était pas une histoire de flemme, enfin, presque pas, c'était simplement que la pelouse sur laquelle je pensais être allongé essayait simplement de se faire un tacos à la Deadpool.

Rétrospectivement, cela devenait problématique.

J'imaginais déjà la scène, La terre se soulever comme sous les impacts de pas de géants, le sol vibrant aussi sûrement que l’Épicentre d'un séisme, les rochers en guimauve devenir poigne de fer me plaquant au sol alors que les bruns émeraudes se mettent à arracher mon costume criard, ne laissant que ma peau nue, offerte alors que …

Tu as essayé de te lever, au moins ?

« TOI ME CASSE PAS MON DELIRE ! »

Enfin, ce léger contretemps apparemment réglé, je pus finalement me rendre que oui, j'aurais PEUT ETRE du essayer de faire fonctionner mes jambes avant d'imaginer le scénario d'un mauvais hentaï japonais, et me lever pour reprendre en toute quiétude mon cheminement à travers les bois.

Quoi de mieux qu'une agréable petite randonnée en territoire inhospitalier ? Le souffle du vent qui bute contre votre visage, la fine poussière que vous soulevez à chaque fois que vous placez un pied devant l'autre, la lueur du soleil qui vous paraît bien faible à travers la couverture végétale, les bruits de la nature qui s’éveille doucement : les coccinelles en fraise tagada, les oiseaux en laitue verte, les écureuils en pâte d'amande, les hurlements de pauvres victimes qui vous parviennent au loin, les os des quelques voyageurs infortunés, dévorés par un burger carnivore, qui craquent sur le sol lorsque vous marchez dessus, les murmures de leurs âmes incapables de trouver le repos qui atteignent le creux de vos oreilles.

Franchement, rien ne valait une bonne balade digestive au pays de la gourmandise.

Malheureusement, j'avais oublié un détail important qui était pourtant l'une de mes caractéristiques les plus célèbres, à croire que mon sommeil m'avait partiellement privé de ma mémoire qui réapparaissait uniquement dans les moments les plus critiques. Ou que je n'étais peut être qu'un simple fan de Wade Wilson avec un cosplay bien foutu. Ou peut être avais je simplement trop peu dormi. Dans tous les cas, quelque chose de relativement primordial me revint soudainement en mémoire.

Mon sens de l'orientation.

Ou plutôt, mon manque de sens de l'orientation.

J'étais complètement perdu.

Merde

HRP : Ca craint vraiment mais je sais plus comment faire pour commencer un rp, désolé '^'
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Anonymous
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6/8/2015, 00:43
arc en ciel swaggy

  Et rond les marrons ♪



 
Dans cette forêt sucrée, nul besoin de quémander. Si on a faim, il suffit de cueillir un brin. Fluffle est un poney mais elle n'aime pas beaucoup les navets, elle préfère de loin les haricots ou les poireaux même s'ils sont pas beaux. Alors Fluffle cherche et du haut d'un tronc de vieux potiron, elle se perche.

En observant un peu mieux, il lui semble humer des légumes très délicieux. Armée de son sac à dos bleu et d'un petit couteau elle file donc vers ce que lui dicte ses naseaux. Elle pourrait être pleine d'angoisse mais au contraire, elle redoublait d'audace. La faim dictait ses moyens.

Allant bon train, elle n'en voyait plus la fin. Les branches essayaient de lui croquer une phalange à chaque fois qu'elle posait ses doigts sur leur bois en chocolat. Rien que pour se venger, elle aurait pu les manger ! Mais non, elle avait envie de verdure c'est pour dire à quel point elle aime la nature !

Donner son corps en apéritif, là n'était pas son objectif alors Fluffle accélère encore le pas pour ne pas se transformer en repas. Elle savait qu'elle était délicieuse mais préférait continuer de vivre heureuse. Le chemin des potiron était bien long, son flair se serait-il perdu dans l'air ?

Pauvre Raines. Elle avait l'impression de tourner en rond et pourtant, elle ne perdait pas son temps. Elle le savait, le bonhomme poireau se battait avec le bonhomme navet et elle les attendait avec son couteau. Ça sera un vrai festin, elle en était certain.

On pourrait la croire perdue mais elle était convaincue. Tenez, d'ailleurs voilà son repas pile à l'heure. Tournicotant maladroitement, les voilà qui se tapait dedans. Et BIM dans la racine ! Ils ne faisaient pas semblant, à ça nan ! Des légumes qui se bagarrent, il y a de quoi se fendre la poire.

Observant la scène un moment, elle les trouva presque attendrissant mais c'était sans compter sur son estomac qui lui dit de foncer et plus vite que ça. Alors Fluffle n'en fis qu'une bouchée même si elle grimaça au goût du navet. Elle le remplaça par le goût du chocolat. Son regard se posa ensuite par hasard sur un monsieur tout bizarre. Se léchant les babines, elle fit sa fouine.

Le monsieur tout bizarre était un grand gaillard. Et oui car aujourd'hui Raines ne mesurait qu'un mètre cinquante huit. Il marchait d'un pas mal assuré alors un peu pressé, elle sortie son papier, nota un message et couru après lui, toute sage. Elle lui pinça le fessier et se cacha derrière son énoncé. Le couteau était toujours présent mais distant. Elle avait juste oublié de le glisser dans son carnier.

« Dis monsieur, t'es perdu ? T'as faim ? Tu cherches quoi ? Tu veux te faire manger ? »

CLYDE
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« T'as vraiment une sale gueule »
Deadpool
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« T'as vraiment une sale gueule »
13/8/2015, 16:29
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Age du personnage : Il fait dans les 30 ans
Pouvoirs / Particularités : Il saît qu'il est dans un rp / Facteur guerisseur + tp

Origine : Marvel DC

Dans ce lieu, chaque recoin sombre respirait la mort, et je ne parlais pas  de celle qui planait sur ceux qui se gavaient de sucre. Non, je parlais bien de mâchoires de chocolat plus tranchantes que le fil d'un rasoir, de canines en pâte d'amande plus perforantes qu'un pic à glace, de griffes de nougat glacé prêts à déchirer la peau des malheureux pour que l'immonde faune artificielle puisse se repaître de leur chair sanguinolente, dévorer ceux qui escomptaient remplie leur estomac de friandises en pénétrant dans cette forêt des merveilles, mais qui n'en ressortiront, au mieux, qu'avec la marque de la voracité profondément imprimé sur leurs membres, de même que celles des arbres peuplant cette jungle hantée par le démon de la gourmandise.

« Les princesses Disney auraient eu beaucoup moins d'emmerdes dans ce genre de forêt », ne pus je m'empêcher de relever en observant les alentours idylliques, alors qu'au loin résonnaient les cris et les supplications de gourmets en passe de finir sur le menu d'hommes poivrons-tomates-cerises, et qu'une branche malheureusement très mal placée me pinçait allégrement le fessier …

… Du moins, si les branches ici disposaient de doigts, ce qui m'étonnerait très franchement, en réalité.

Ma curiosité désormais aiguillée, je ne pus m'empêcher de me retourner, à l’affût d'un éventuel prédateur avide de tâter une encore plus éventuelle proie sans défense avant de la dévorer, et c'est alors que mon corps se tordit au travers de ma combinaison écarlate que mes yeux se posèrent sur …

… Le vide absolu.

Il n'y avait rien, le néant absolu obstruait mes pupilles dans ce microcosme où la noirceur était à son apogée, la crainte même de la théologie, cet après vie avant votre naissance, cet instant où votre âme n'est rien de plus qu'un fruit rouge et sucré sur un arbre en portant des millions d'autres n'attendant qu'à être cueillis, la conscience de votre non existence, si ce n'est en tant qu'entité divisible, une dimension abstraite où le « tout » ne faisait qu'un avec le rien, où je n'étais qu'une partie de cet organisme, à peine une fourmis rampant dans le ventre même de la mère matrice originelle, noyau sans esprit n'attendant qu'à être répliqué  encore et encore jusqu'au moment où la baie, trop mûre, chutera de l'Arbremonde jusqu'à s'écraser sur le sol, bercé par une musique, un orchestre joué par un unique instrument, un air résonnant tel un chant de sirène, qui vous accompagne du début de votre ersatz de vie, jusqu'au moment où vous fermez les paupières pour la dernière fois.

Puis une feuille de papier s'imposa à ma vue, et je me rendis compte que la personne qui m'avait interpellé se trouvait simplement quelques dizaines de centimètres en dessous de moi.

Epic fail, Deadpool, et pour information le joueur, reprendre d'anciens éléments pour les remettre dans tes réponses rp en guise de clin d'oeil, c'est abject comme procédé.

Le rpgiste dit qu'il t'emmerde.

Et tandis que mes voix faisaient de ma matière grise leur champ de bataille funeste, je m'attardais à décrypter l'énoncé, mot par mot, avant d'observer la personne qui le tenait fermement au bout de ses frêles petits bras.

Et autant dire que si l'innocence pouvait avoir un visage, ce ne pouvait être que le mien.

… Comment ça « non » ? Connard.

Le sien donc, avec ses grands yeux innocents et son air à s'extasier de tout ce qui pouvait lui tomber dessus, pouvait aisément être décrit comme l'allégorie de l'Ingénue. En vérité je ne pensais pas que ces bois refermaient une créature aussi attendrissante, je m'attendais à des ronces en guimauve avides de sang, à des feuilles d'arbres en macaron acérée comme des crocs de dragon, ou à des saules cogneurs en caramel dur … Mais certainement pas à ça

Attends, peut être qu'elle est comestible elle aussi.:D

… Si même le mec en orange peut me montrer des smileys en parlant à l’intérieur de mon crâne , c'est que j'étais très mal barré pour l'avenir.

Enfin, il n'empêchait que la pauvre petite demoiselle pensait que j'étais perdu, ce qui était bien loin de la réalité. Et même si j'avais l'impression d'être dans un mauvais film sans le moindre son, le noir et blanc en moins, j'étais bien trop gentleman pour laisser cette fillette sans réponse.

« Je ne suis pas perdu, c'est juste que je n'ai aucune idée de l'endroit où je suis et de l'endroit où je dois aller. »

Puis, attentif, je m'assit par terre au risque de me faire bouffer par la pelouse pour de bon, et regarda la gamine aux cheveux bleus s'agiter avec son stylo et son petit panneau. J'avais presque envie de l'adopter.

« On m'appelle Deadpool, et toi, comment tu t'app... »

Puis, l'évidence me frappa : Je venais de faire une sacrée boulette sans m'en rendre compte, je risquais une nouvelle fois d'avoir l'ensemble des comités pour les mœurs sur le dos.
La galère … Je devais me rattraper au plus vite !

« Nan, tu dois pas me comprendre … Comment on dit « Qui es tu » en muet ? »
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Anonymous
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30/8/2015, 13:33
arc en ciel swaggy

Et rond les marrons ♪




Fallait-il qu'elle se répète ? Elle était muette, certes mais pas sourde. Tout le monde la prenait pour une gourde. Ce monsieur bizarre n'était pas le premier et il ne sera sûrement pas le dernier. Et lui, il ne savait pas lire, c'était pire ! Seulement la moitié des questions avaient eu une justification. Et puis pourquoi lui demandait-il « comment on dit en muet » alors qu’il était persuadé qu’elle était handicapée ? Raines n'était décidemment pas satisfaite et elle allait lui faire sa fête. Non, attendez, son estomac venait de gargouiller.

Apparemment les messieurs verts n’avaient pas su la satisfaire eux non plus et son ventre réclamait donc son dû. Raines secoua la tête au risque de paraître bête et, s'asseyant, elle tapota ses questions après avoir ajouté son nom : Fluffle. Oui, ses réponses elle y tenait et tentait de faire abstractions de la faim qui la torturait. Pendant que Deadpool essayait de comprendre ce qu'elle quémandait, elle rajouta aussi le nom du lieu où ils se trouvaient et l'illustra en dessinant des arbres et des buissons qui tentaient de dévorer le garçon. Quant à l'endroit où il devait aller, seul lui pouvait le deviner.

Impossible cependant de ne pas prédire celui de la jeune fille à l'entente du joli son de son bedon. Elle se releva avec une main sur l'estomac et mima sa disette en s'excusant d'une courbette. Ce n'était en effet pas très poli de faire entendre ce bruit. D'un geste, elle lui proposa de se joindre à sa quête. Après tout, s'il n'avait rien à faire, autant l'accompagner dans son affaire. On était jamais assez pour se défendre contre des fleurs un peu trop gourmandes. En parlant de fleurs, elle se baissa pour cueillir une poignée de gazon qui tentait de la grignoter comme de gros gloutons. Inutile de préciser qu'elle n'en fit qu'une bouchée.

Mais en remontant son visage, elle perdit sa tête de petite fille sage. Une grimace prit place et Fluffle se mis à sautiller en pointant la direction opposée. Derrière le lascar se trouvait quelque chose d'encore plus bizarre. Une forme énorme et orange se dessinait rapidement dans le champ et pris bien vite la silhouette de PotiDick. Potidick c'est un potiron mutant qui aurait mangé un peu trop de chiendent qui eux-même aurait mangé un peu trop de coquelicot. Bref l'important n'était pas de savoir qui avait mangé qui mais plutôt comment sauver sa vie parce qu'il ne faisait aucun doute que Potidick -aussi délicieux et énorme qu'il puisse paraître- allait dévorer en une bouchée les deux déjan'thés. Pour Raines tout était déjà calculé, elle rangea tout dans son carnier, pris la main de son allié et entama une course effrénée pour ne pas se faire manger.
CLYDE
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