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Aller à la page : 1, 2, 3 | | Little Red Cap Little Red Cap Messages : 21 Age du personnage : 24 ans Origine : Little Red Riding Hood Habitation : Chez Wolfie | | _ Little Red Cap " Tire la chevillette, la bobinette cherra "
• Nom civil : Liam Vermillon. • Age : 24 ans, son temps ne s'écoule plus. • Existe à Wonderland depuis : Sa naissance. • Orientation sexuelle : Demisexuel, son cœur appartient au grand méchant loup. • Groupe : Neverland • Race : Déjan'thé • Origine : Le petit chaperon rouge • Fonction : Recruteur. • Âme : Détenue par l'Ombre. • Particularité : Peut lire dans les pensées des personnes émotionnellement et physiquement proches de lui. • Pouvoir : Induction d'émotions • Classe sociale : Extrêmement riche. • Participant au Game of Madness : Non
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_ Physique
Tu n'arrivais plus à te souvenir de votre dernière dispute, de la dernière fois où tu l'entendis hurler, tirer sur ses cordes vocales d'une violence telle que sa voix, autrefois douce mélodie résonnant à tes oreilles, transcenda l'atmosphère, emplie d'une hargne telle qu'elle te fit perdre l'équilibre.
Elle s'enfuyait, ton amante, elle courait à en perdre haleine, loin de toi, loin de tes mots trop durs, de tes airs sournois, loin de la souffrance qu'elle devait perpétuellement subir à tes côtés.
Et toi, à mille lieux de te relever et de rattraper ton amour perdu, tu te laissais tomber sur le sol, faisant face au soleil levant, les yeux clos, abattu une fois de plus par le poids du regret qui pesait sur tes épaules, incapable de bouger, quand bien même ton palpitant s'accélérait à l'idée de ne plus jamais la revoir.
… Elle reviendra, elle revient toujours.
Tout semblait calme, trop calme, bien différent du chaos tonitruant qui envahissait ton crâne. Les oiseaux s'égosillaient, le grand astre semblait vouloir te contraindre à entr'ouvrir les paupières, et l'herbe bruissait sous les pas de celle qui venait mettre un terme à la solitude que tu recherchais tant, en cet instant.
« Prends ma m … »
« Ta gueule. »
Elle t'avait suivit, elle vous avait suivit, en fait, persuadée d'avoir encore un ersatz de chance, de te conquérir, toi aussi, de faire sien ce qui ne t'appartenait plus. Foutaises, une grimace de dégoût tordit tes lèvres lorsqu'un nouveau flot d'insanité franchit la barrière que leur imposait ta gorge.
« T'as toujours pas compris que j'en avais rien à foutre de ta tronche ? Qu'est ce que tu peux être conne, tu me dépites. Tire toi de là, tu m'gaches le soleil. »
Tu le perdais, ton calme olympien, lorsque qui que ce soit osait rompre le silence dans lequel tu te plongeais. Tu devenais froid, imbuvable, peut être était ce là l'image que tu souhaitais tant renvoyer aux autres, une tour d'ivoire dressée entre toi et le reste du monde. Qui, en ce monde, désirais faire la rencontre d'un homme aussi chaleureux et convivial que sa dirigeante ? Personne. La paix, voilà tout ce à quoi tu aspirais.
Ce qu'elle te retirait en restant, elle le supprimait en te fustigeant, criant d'une voix qui n'égalerait jamais la tendresse de Wolfie. Tu ne pouvais rien voir, mais tu le ressentais, cet agrégat d'émotions contraires qui envahissait le cœur de l'importune. Tristesse, de s'être ainsi faîte utilisée tel un vulgaire jouet, Colère, d'avoir été rejetée avec si peu d'égards, sans même un dernier regard, Souffrance, à l'idée d'être trahie, Dépit, lorsqu'elle s'en alla, elle aussi, ses joues perlant de larmes que, jamais, tu ne souhaiteras voir couler sur les pommettes de ton aimée.
Mais pourquoi tant de haine, Liam, peux tu seulement l'énoncer ? Les rejeter te comble-il de cruelle satisfaction ? Absolument pas, les maintenir à distance ne faisait que te préserver, non seulement toi, mais sûrement elles, par la même occasion, .
En y réfléchissant, te plongeant dans des souvenirs que tu espérais tant chasser, que t'avaient apporté les femmes, au juste, mis à part ruine et souffrance ? Cette phrase pouvait passer pour la plus épouvantable des excuses énoncée par le plus méprisable des misogynes, et pourtant, ignoré dès le berceau par une mère qui favorisait le pouvoir, traité comme pire qu'un chien par une sœur qui te méprisait, t'humiliait, te torturait même, des sévices qui, des années encore, hantaient encore ta mémoire, pouvait on seulement t'en porter rigueur ?
Très sincèrement, oui, plutôt deux fois qu'une, mais cette crainte était désormais si profondément ancrée en toi, prenant ses racines si profondément dans ton être, qu'il te semblait que jamais elle ne pourrait t'être entièrement retirée.
Elle y parvient, pourtant, à la faire taire, cette peur.
Elle la repousse, jusqu'au plus profond de tes entrailles. Le monde semble bien moins laid, bien moins insupportable, les ombres des temps anciens se dissipent sous une aube éclatante, les cauchemars se muent en rêve, la souffrance se tarit, et seul un futur radieux se laisse deviner à l'horizon.
Au fond de toi, tu le sentais, depuis ce jour où vos regards se sont croisés pour la première fois, où vos rencontres se succédèrent, jusqu'à cet instant où elle te prit, toi, le nobliau un brin trop flâneur, un brin trop insupportable, un brin trop soi-même, comme amant, qu'il n'y aurait jamais qu'une seule personne dans ce monde dégénéré capable de faire taire tes démons.
Et tu en profitais, allégrement, jour après jour, tu ne souhaitais rien de plus que la garder avec toi, contre toi, au point que le savoir ne suffisais plus, il te fallait des preuves, il te fallait t'en persuader. Tu t'étais attaché, tu pouvais lire en elle comme un livre ouvert, tu savais qu'à ton instar, elle ne désirait rien de plus.
Mais tu l'aguichais, la taquinais, trop souvent, trop rudement, contrastant avec ton effroi à l'idée de la voir s'éloigner, partir sans retour, parce que tu ne le supporterais tout simplement pas. Alors tu testes sa patience, tente sa jalousie car, malgré tout le mal qu'elle procure, elle met à la lumière du jour l'attachement qu'elle te porte, son désir que tu sois sien, oh combien réciproque. Tu la pousses un petit peu plus à bout, chaque jour, te rassurant comme tu le peux en te rappelant que quoi qu'il puisse arriver, elle restait à tes côtés.
Pourtant, elle s'était éloignée.
Et elle ne revenait pas.
… Et si elle ne revenait jamais ?
A peine les conséquences de cette pensée traversa tes synapses endormis que te relevais sans attendre, trébuchais dans ta précipitation, tant cette idée te glaçait jusqu'au sang, faisait frissonner chaque fibre de ton corps. Tu as toujours été lâche, oisif, tu ne voulais ni ennuis, ni efforts, au final, tu ne souhaitais rien de plus que cette quiétude, te tenir à l'écart du reste du monde, de ces complots et de ces trahisons, du trône et du pouvoir, tu ne voulais que sérénité.
Tu l'avais trouvé, bien des années auparavant et une fois encore, tu risquais de la perdre.
Alors, t'extirpant des affres de la frayeur, tu t’enfonçais dans la forêt de tes songes.
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| | _ Mental
Les ronces peinaient à freiner ta course, ne parvenant qu'à déchirer ton blouson rouge, ce même vêtement qui reflétait la lumière d'un soleil qui ne pouvait que laborieusement percer au travers du dôme végétal que formaient les géants des sylves plongés dans l'ombre. Eux même semblaient tendre leurs bras à chaque inspiration que tu prenais, tentaient de t'arracher du sentier sans jamais réussir à te freiner.
Qu'importait tes habits en lambeaux, qu'importait que ton long manteau à capuche incarnat ne perde une manche, que ton jean soit tranché au niveau des genoux, que tu perdes ta ceinture cloutée, tes chaussures sombres qui t'empêchaient de courir aussi vite que tu le devrais, qu'importait même si tu finissais par lui faire face dans le plus simple appareil ?
Tu pestais, perdais ton souffle, elle a toujours été plus sportive que tu ne le seras jamais.
Pourtant, tu ne voulais ni ralentir, ni t'arrêter, ne serait ce que quelques secondes, et ce, malgré l’éreintement qui pouvait se lire sur ton corps endolori. Loin de la démarche trop nonchalante dont tu te parais au quotidien, éthérée et sereine, tel un souffle d'air expiré par ta fiancée, tu portais désormais sur toi, comme par fierté, les séquelles de l'épuisement. Ta peau à la chair claire, toile immaculée où se dessinait des arabesques de veines bleutées, s’assombrissait sous l'effort, rougissait un peu plus à chaque lieue parcourue, jusqu'à ce que quelques gouttes de sueur se mettent à perler de tes tempes. Tes lèvres opalines, asséchées par l’inquiétude, meurtries par l'ivoire de tes dents, s'entrouvraient, exhalaient une buée qui se dissipait dans l'atmosphère en atteignant à grand peine ton nez régalien, l'un des rares vestiges d'une royauté qui te rebutait aujourd'hui encore, désormais froncé par la fatigue, tandis que tes yeux azurés se plissaient à la recherche de la moindre trace, du moindre signe trahissant la présence de ton aimée.
Elle ne pouvait s'être enfoncée si profondément dans cette forêt de cauchemars, n'est ce pas ? Elle ne pouvait pas être partie à jamais.
Les épines tiraillaient tes chevilles, tant tu accélérais par crainte de voir tes peurs devenir réalité, alors que les branches des hauts arbres giflaient ton visage, profitant de tes six pieds de haut pour te flanquer la rouste que tu méritais tant. Tes hautes pommettes se teignaient de taches violacées, tes joues creuses en devenaient couvertes d'entailles, ton cou trop gracile luisait d'ichor vermillon, et tes longs cheveux dorés qui voletaient dans ton dos à chaque pas, semblaient vouloir s’agripper à l'écorce de tes obstacles, semant des filaments d'or comme le Poucet sema les pierres, dans leurs vaines tentatives de se détacher de toi.
Le monde entier diffamait, se complaisait en palabres et superstitions. Ils alertaient le monde, « Prenez garde, méfiez vous du Big Bad Wolf. », , lorsque toi, tu courais, te plongeais dans sa gueule, tête baissée.
Tu es la seule personne dont elle devrait se méfier, Red t'es loin d'être idiot, tu sais que chacune de tes piques doit lui crever le cœur.
Si il te restait un quelconque mérite, néanmoins, ce devait être ton abnégation, l'abstraction de tout. A aucun moment tu ne laissais la douleur t'empêcher de tracer ta route au travers de l'orée, parcourais le chemin que tu te forgeais par toi même au travers des bois, écrasant broussailles et buissons sur ton passage, enivré par l'adrénaline qui ne te permettait plus de t'arrêter, de faire une pause de quelques instants, tu ne pouvais songer une seule seconde à baisser les bras avant de revoir sa silhouette, celle que tu aimais tant enserrer de tes mains trop douces, de tes doigts trop fins, de tes paumes qui n'avaient jamais connu autre travail manuel que le toucher du doux épiderme de ton amour lupin.
En ce cas, pourquoi l'avoir ainsi flagellé, Little, par jalousie ? Peut être parce que – tu le savais, au plus profond de toi, inutile de jouer les innocents -, malgré ta carrure svelte, mais longiligne, tout incapable que tu étais de suivre ta douce lors de ses séances d'entraînement, pire même, d'accomplir les tâches, même les plus aisées, que tu confiais à ses bons soins, tes épaules carrées, mais fines, tant tu rechignais à soulever le moindre objet lourd, et ton torse apparent, le poitrail marqué par l’encre et les côtes trop saillantes, tu n'auras jamais le quart de la vitalité, de la force, ni de la vitesse du Grand Méchant Loup.
Alors, tu te doutais, que si elle se mettait à s'enfuir, tu ne pourrais jamais la rattraper.
Arrête de jouer au con, Liam, tu te sens coupable à chaque fois. |
_ Histoire
Ce n'est qu'avec grand peine que tu peux te rappeler de ton passé, tant il te semble lointain.
Enfant bâtard, produit de l'adultère, de l'union entre la reine de Wonderland et son ancien amant, ta vie semblait tracée dès tes premiers cris : ton existence se plaçait sous l'auspice du rejet et du mépris, bannit par tous, considéré comme rien de plus qu'une tâche de sang souillant le linceul immaculé du règne de la Dame Blanche.
Dès tes premiers pas, tu pouvais la sentir, tel un insidieux poison qui infectait l'atmosphère, la morgue et le dédain que tu inspirais à la cour royale, toi, la preuve vivante de l’impureté de leur Souveraine Adorée, son imperfection désormais tangible, visible aux yeux de tous. Et pourtant, si ton existence soulignait ses tares et ses défauts, elle mettait également en lumière la bonté infinie de son époux, le Roi d'Eternia.
Il te prit sous son aile, alors même que vous ne partagiez aucun lien de sang, alors même que, contre ton gré, tu étais devenu le rappel constant de l’infidélité de sa chère et tendre, il te considéra comme son fils, et dans sa miséricorde, il t'éleva comme tel, t'accorda l'éducation et l'affection que ton égoïste de géniteur n'aurait jamais pu t'offrir, sans se substituer, malheureusement, à lui, qui disparut à ta naissance, loin de son fils et de sa maîtresse, lui qui, à aucun moment de ton enfance, ne vint se présenter à toi en tant que père.
Lorsque tu y reflechissais, au final tout ce que tu désirais, c'était une famille aimante, n'est ce pas Little ?
Mais même un voeu aussi banal, personne ne souhaitait te l'accorder.
Parce qu'au fond, tu n'étais qu'un obstacle, Liam, un heurt, un accroc. Pour celle qui te mit au monde, tu n'étais guère un enfant, encore moins le sien, et ce, pour une raison très simple, mais oh combien virulente, pour un pauvre chérubin atteignant tout juste l'âge de raison : Le pouvoir, car voilà bien tout ce qu'elle portait à cœur, à tes yeux. L'on te l'avait dit : Dans le cœur du royaume, ce qu'elle avait fait constituait une faute impardonnable, parce qu'elle avait trahit son aimé, et que rien ne l'empêchait donc, ainsi ; de trahir également son peuple. Cette traîtrise, tu lui donnais forme, tu en étais la personnification même, alors pour l'ensemble de ces faits qui ne dépendirent de toi, tu n'étais rien d'autre qu'une menace.
Jamais, oh grand jamais elle n'eut le moindre regard pour le fruit de ses entrailles, jamais elle n'esquissa le moindre geste tendre, jamais un mot à ton attention ne franchit la barrière de ses lèvres. Lorsque tu la croisais dans les couloirs, elle t'évitait, lorsque par malheur, vous vous retrouviez dans la même pièce, elle te traitait avec les égards d'une inconnue, dans l'indifférence la plus totale. Que dire de plus Liam, sur cette femme lointaine, froide et distante, si ce n'est que, dès les premiers âges, tu dus t'abstenir de la considérer comme une mère ?
Il te fallait regarder la vérité en face, Little, à ses yeux, tu n'étais pas seulement une menace, non.
Tu étais une erreur.
Et qui diable s'encombrerait d'une erreur ? La réponse semblait simple, aux premiers abords : Personne. Et de ce fait, personne ne désirait rester à tes côtés. Toutes tes journées passée a Eternia se sont déroulées plongé dans les affres de la solitude. Ignoré par celle sans qui cette vie de cauchemar n'aurait jamais débuté, maltraité par une sœur dont les sévices quotidiens hantent encore ton esprit, tenu à l'écart du reste du monde afin de ne point ternir la beauté de la famille royale, il te semblait que rien, ni personne, ne pourrait jamais te sauver.
Pourtant, il demeurait bien deux personnes qui acceptaient ta présence, qui ne traitaient pas tel un insecte indigne de toute considération. Mère-Grand, que tu as longtemps considéré comme ta seule parente, si douce, si calme, mais grégaire, incapable de sortir de son lit, dans sa maisonnée isolée dans la foret désenchantée.
Alors que toi, malgré tous tes bons sentiments, malgré tout l'amour que tu lui portais, tu étais incapable de sortir du château sans accord, et que cet accord, personne ne te le donnait, jamais, tu ne pouvais, et ne devais, pas faire honte au couple royal et a leur lignée. Un enfant laissé libre passait encore, mais un jeune fitz parcourant le monde, après le scandale qui avait secoué le royaume, quelques années auparavant, scandale dont il était l'épicentre ? Impossible, inconcevable mieux valait te garder a l'oeil.
Loin de tout.
Et alors que la solitude te pesait de plus en plus, lui, s'était montré être le plus indéfectible des soutiens.
Lui, ton cher petit frère.
Tu l'adorais, ton cadet, plus que n'importe qui d'autre. D'ailleurs, qu'aurais tu seulement fait sans lui ? Il était le premier, et le seul, à t'avoir tendu la main lorsque tout allait mal, lorsque tu t'isolais dans ta tour d'ivoire, à l'écart du reste du monde. Lorsque toute ta « famille » te tournait le dos, lui, demeurait là, il te tenait compagnie avec son immense sourire de gosse et son insouciance à toute épreuve, il rendait ta vie moins morose, une petite flamme de bougie vacillante dans l'obscurité, qui illuminait le reste du monde.
Et pourtant tu la sentais, tu la devinais derrière sa gueule d'ange, derrière chacune de ses mimiques, chaque geste, chaque parole, tu la soupçonnais, sa part de noirceur. Mais ce savoir acquit t'avait il seulement encouragé à t'éloigner de lui, ou même, à chercher à lui apporter TON support ? Cela t'avait il, également, empêché de considérer Blanche comme le centre de ton existence ?
D'aucune façon, comment aurais tu alors pu le considérer autrement que comme ton frère tant aimé ? Lui qui avait toujours été là pour toi, lui qui avait été le seul à te donner l'amour et l'affection familiale que tu espérais tant ? Cette adoration réciproque, et malsaine en un sens, aurait pu durer bien longtemps, des décennies, une éternité peut être ?
Foutaises, elle cessa le jour de son ascension sur le trône.
Le jour ou tu t'enfuis,fuyant la folie de ton frère cadet, courant jusqu'à te perdre dans les bois, vers la seule famille qui te restait encore, et qui, tu l’espérais, ne t'abandonnerait pas, vers cette femme que tu ne pus voir des années, des décennies durant, son visage marqué par le temps, le seul qui te souriait lorsque tout allait mal, lorsque le monde semblait se placer sous l'égide du chaos.
Cette vieille, très vieille femme qui mourut seule dans sa bicoque trônant, solitaire, dans une clairière de la forêt désenchantée, où draps et couvertures couvraient encore l'ivoire de ses os jaunie par les ans.
Tu étais seul désormais Liam, véritablement et desesperement seul, il ne restait plus personne, tu étais seul dans ton château, seul dans les bois, à la merci du Big Bad Wolf.
Tu étais seul, oui, jusqu'à ce qu'elle te retrouve en réalité, adossé contre cette bâtisse qui subissait les outrages du temps, qui tombait en ruine sans que tu n'oses y pénétrer. Après que tu ais parcouru la forêt des mois durant, tu retrouvais enfin un visage amical. Enfin, pas tant que ça, aux prémices, mais presque.
Et alors que vos rencontres se firent de plus en plus nombreuses, de moins en moins espacées, que lentement, tu appris à lui parler, à rire, à la faire rire, à te tenir à ses côtés sans méfiance, à l'accepter, lui faire confiance jour après jour, lorsque tu ne supportais plus de ne plus savoir où elle se trouvait, comment elle pouvait se sentir, si elle avait perdu la vie au cours d'une bataille ou la raison sous forme lupine, lorsqu'elle t'offrit un toit, un véritable foyer, puis lorsqu'elle s'offrit à toi, le visage amical devint un visage aimant.
Un visage aimé, depuis la toute première fois.
Alors court petit chaperon rouge, n'échappe pas au grand méchant Loup, cours lui après, hurle son nom, appelle le, lorsqu'elle se retourne vers toi, te fixe de ses grands yeux emplis de larmes, alors qu'esseulé et couvert de feuilles, le souffle court et le visage rougeoyant, que tu ne sais plus que dire, que les mots refusent de traverser la barrière de ta gorge, laisse la sauter dans tes bras, serre là contre toi, ferme les yeux, puis serre là d'autant plus fort. Dans cette étreinte muette, promets lui que ce sera la dernière fois, une fois de plus, sans parvenir à lui avouer ta contrition.
Tu pensais pas que ton Conte aurait une fin heureuse, alors pitié, cesse de tout gâcher.
Ou il n'y aura plus personne la prochaine fois que le monde s'effondrera autour de toi.
| | _ Behind the screen• Pseudo HRP? : J'ai de nombreux noms qui traînent • Parles nous de toi : 21 Hivers, j'aime nombre de choses, ce forum comprit • Comment es-tu arrivé ici? : Ramené par une Alice • Quelque chose à nous dire? : Content d'être de nouveau parmi vous • Avatar : Gunji -Togainu no chi • Rang désiré : Bestial Lover • Code avatar : - Code:
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<a class="imginfo">[b]Gunji[/b]<span><img src="https://zupimages.net/up/18/40/8jwj.png" width="100px" /></span></a> {Togainu no chi} [i]feat ~[/i] [b]Little Red Cap[/b] • Particularité (si magique) : - Code:
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<i>Télépathie</i> (Entendre les pensées des personnes proches de lui): Little Red Cap • Pouvoir : - Code:
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| | | Liam Eden Highless Liam Eden Highless Tromper le destin.... Et les apparences.... Messages : 17 Age du personnage : Environ 19 ans. (Pour plus de précisions demandez au four. ) Pouvoirs / Particularités : Real Body / Accel World. Origine : Le Petit bonhomme... en pain d'épice. Orientation sexuelle : Bi. | | | | Snow White Snow White Red Queen Messages : 1646 Age du personnage : 19 ans Pouvoirs / Particularités : Contrôle des ronces empoisonnées et vol de vie. Origine : Blanche Neige- Alice in Wonderland Orientation sexuelle : Homosexuel | Rebienviendue )o) (t'es bon(ne) *out*) | | | Little Red Cap Little Red Cap Messages : 21 Age du personnage : 24 ans Origine : Little Red Riding Hood Habitation : Chez Wolfie | Merci )o) (Garde tes mains loin de mon cul )o) ) | | | Snow White Snow White Red Queen Messages : 1646 Age du personnage : 19 ans Pouvoirs / Particularités : Contrôle des ronces empoisonnées et vol de vie. Origine : Blanche Neige- Alice in Wonderland Orientation sexuelle : Homosexuel | | | | Little Red Cap Little Red Cap Messages : 21 Age du personnage : 24 ans Origine : Little Red Riding Hood Habitation : Chez Wolfie | Moi aussi frérot
Mais loiiiiiiiiin de mon cul | | | Snow White Snow White Red Queen Messages : 1646 Age du personnage : 19 ans Pouvoirs / Particularités : Contrôle des ronces empoisonnées et vol de vie. Origine : Blanche Neige- Alice in Wonderland Orientation sexuelle : Homosexuel | Mais viiiiens, je vais te montrer, c'est super bien!!! Même White a appris à aimer )o) tu verras... | | | Big Bad Wolf Big Bad Wolf Allons-y Alonso Messages : 55 Age du personnage : 22 ans Pouvoirs / Particularités : Transformation en Loup/Un vent souffle quand elle parle Origine : Trois petits cochons, chaperon rouge [...] Orientation sexuelle : Little uniquement (Demi-sexuelle) | Hiiiiiii Touche ton cul, celui là est mien. | | | Snow White Snow White Red Queen Messages : 1646 Age du personnage : 19 ans Pouvoirs / Particularités : Contrôle des ronces empoisonnées et vol de vie. Origine : Blanche Neige- Alice in Wonderland Orientation sexuelle : Homosexuel | NEVAR!! C'était mon bro avant d'être ta bitch! D: | | | Big Bad Wolf Big Bad Wolf Allons-y Alonso Messages : 55 Age du personnage : 22 ans Pouvoirs / Particularités : Transformation en Loup/Un vent souffle quand elle parle Origine : Trois petits cochons, chaperon rouge [...] Orientation sexuelle : Little uniquement (Demi-sexuelle) | C'est ça la différence. Ce n'est pas ma bitch, c'est mon aimé. J'en prends soin, moi, ne t'en fais pas. | | | Little Red Cap Little Red Cap Messages : 21 Age du personnage : 24 ans Origine : Little Red Riding Hood Habitation : Chez Wolfie | Je crois que je vais suivre la jolie demoiselle plutôt que le pervers psychopathe.
Ça me semble être une brillante idée | | | Snow White Snow White Red Queen Messages : 1646 Age du personnage : 19 ans Pouvoirs / Particularités : Contrôle des ronces empoisonnées et vol de vie. Origine : Blanche Neige- Alice in Wonderland Orientation sexuelle : Homosexuel | Mec, tu respectes pas la famille là D: Jme casse... *va préparer un plan pour le kidnapper* | | | Big Bad Wolf Big Bad Wolf Allons-y Alonso Messages : 55 Age du personnage : 22 ans Pouvoirs / Particularités : Transformation en Loup/Un vent souffle quand elle parle Origine : Trois petits cochons, chaperon rouge [...] Orientation sexuelle : Little uniquement (Demi-sexuelle) | | | | Little Red Cap Little Red Cap Messages : 21 Age du personnage : 24 ans Origine : Little Red Riding Hood Habitation : Chez Wolfie | Voyons bro, tu sais que je t'adore, fort, c'est juste que Wolfie, je l'adore incroyablement plus.
Et qu'elle connait la notion de consentement mutuel. | | | Snow White Snow White Red Queen Messages : 1646 Age du personnage : 19 ans Pouvoirs / Particularités : Contrôle des ronces empoisonnées et vol de vie. Origine : Blanche Neige- Alice in Wonderland Orientation sexuelle : Homosexuel | Bah c'est pas ma faute si t'es pas consentant D: t'es pas coopératif!
Tseuh! Préférer des chiens errants aux membres de sa famille... | | | Little Red Cap Little Red Cap Messages : 21 Age du personnage : 24 ans Origine : Little Red Riding Hood Habitation : Chez Wolfie | C'est le principe du non consentement, mon frère adoré
Soit dit en passant, elle fait partie de ma famille, donc de la tienne )o)
(J'essaye de finir l'histoire demain, du coup je vais vous harceler de mp, prenez garde )o) ) | | | Snow White Snow White Red Queen Messages : 1646 Age du personnage : 19 ans Pouvoirs / Particularités : Contrôle des ronces empoisonnées et vol de vie. Origine : Blanche Neige- Alice in Wonderland Orientation sexuelle : Homosexuel | | | | Deadpool Deadpool « T'as vraiment une sale gueule » Messages : 106 Age du personnage : Il fait dans les 30 ans Pouvoirs / Particularités : Il saît qu'il est dans un rp / Facteur guerisseur + tp Origine : Marvel DC | Bon "demain" c'est super relatif, et l'histoire craint à en vomir des papillons arc en ciel mais c'est fait
(Je suis sur qu'y'a plein de trucs à rajouter maiiiiis je visualise pas quoi .w.) | | | Snow White Snow White Red Queen Messages : 1646 Age du personnage : 19 ans Pouvoirs / Particularités : Contrôle des ronces empoisonnées et vol de vie. Origine : Blanche Neige- Alice in Wonderland Orientation sexuelle : Homosexuel | Wouhou )o) GG! Je lis ça quand je reviens de WE )o) | | | Deadpool Deadpool « T'as vraiment une sale gueule » Messages : 106 Age du personnage : Il fait dans les 30 ans Pouvoirs / Particularités : Il saît qu'il est dans un rp / Facteur guerisseur + tp Origine : Marvel DC | Merci )o) Profites en bien ! (Ca me laisse le temps de corriger mieux )o) ) | | | Little Red Cap Little Red Cap Messages : 21 Age du personnage : 24 ans Origine : Little Red Riding Hood Habitation : Chez Wolfie | (Beaucoup en fait, genre, je vais tout arranger avant que tu reviennes =T)
(Le double post c'est le mal les enfants) | | | Sherydan Bosch Sherydan Bosch Le type du wagon 6 Messages : 154 Age du personnage : 22 Pouvoirs / Particularités : torde le métal/ vision x sur androïde Origine : ma tête; Ecosse Orientation sexuelle : Androïdophile Habitation : Wagon-lit numéro 6 / Train des Unmads | | | | Sherydan Bosch Sherydan Bosch Le type du wagon 6 Messages : 154 Age du personnage : 22 Pouvoirs / Particularités : torde le métal/ vision x sur androïde Origine : ma tête; Ecosse Orientation sexuelle : Androïdophile Habitation : Wagon-lit numéro 6 / Train des Unmads | C'est bien
(J'ai vole une tablette, laissez moi jubiler et troller de joie) | | | Alexandrov O. Mordvilko Alexandrov O. Mordvilko Héraut de la Désolation Messages : 39 Age du personnage : Physiquement pas loin de la trentaine Pouvoirs / Particularités : Miasmes / Changeforme Origine : Russie, Guerre Froide Orientation sexuelle : Pansexuel Habitation : Chez Mizz | | | | Sherydan Bosch Sherydan Bosch Le type du wagon 6 Messages : 154 Age du personnage : 22 Pouvoirs / Particularités : torde le métal/ vision x sur androïde Origine : ma tête; Ecosse Orientation sexuelle : Androïdophile Habitation : Wagon-lit numéro 6 / Train des Unmads | Vas y là, t'as un problème le russe ? | | | Contenu sponsorisé Contenu sponsorisé | | |
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