« I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours. »
Lewis Carroll
game of madness
Run Boy Run [Pv : Petra]
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Run Boy Run [Pv : Petra]

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Adorable Stalkeuse
Yandere-Chan
Yandere-Chan
Yandere-Chan
Adorable Stalkeuse
7/7/2016, 21:45
Messages : 10
Age du personnage : 17 ans.
Pouvoirs / Particularités : Particularité : elle est insignifiante, si bien qu'elle ne se fait jamais remarquer.

Origine : Yandere-Simulator.

Orientation sexuelle : Senpaï-sexuel.

Il. Est. A. Moi.

jE dEvIeNdRaIs PlUs FoRtE pOuR lUi.


« Tuer est un art ! Est-il en train de parler avec elle ? Est-elle en train de l'ennuyer ? »

Ayano chantonnait, rêveuse. Un petit sourire au coin de son grand visage d'enfant, elle se promenait à Nain-Vert-Land, aussi insignifiante qu'à son ordinaire. Si bien que malgré l'air qu'elle humait, tout doucement, de sa voix claire. Elle dansait d'un pas léger dans la ville, sentant la pluie tomber sur sa peau laiteuse, alors qu'elle continuait de chanter son amour pour Cupidon. Elle ne se souvenait plus exactement où elle avait pu le voir, mais dès qu'elle repensait à son visage de poupée, elle sentait son amour éclore au creux de sa poitrine ; une douce chaleur, enivrante. Puis, lorsqu'elle repensait à la vieille femme qui lui parlait, ou la Reine des Neiges près de lui, sa main la démangeait. Ses doigts se refermaient sur sa paume, ses ongles se plantaient dans sa chair, et la rage avalait les pensées tendres qu'elle nourrissait à son égard.

Ayano s'arrêta devant une flaque de pluie, son regard redevint brusquement vide. Elle examina son reflet sombre dans l'eau, elle cligna des yeux. Lorsqu'Il n'était pas là pour éclairer sa journée, son regard était vide ; Yandere-Chan était alors une ombre perdue en plein milieu de la nuit. Elle se faisait avaler par les ténèbres, son corps était sa vie. Petite poupée vide, petite poupée de porcelaine amoureuse, pourquoi le jeu l'avait-il recraché ici ? Senpaï lui manquait. Elle ne pouvait pas vivre sans lui.  

Yandere-Chan posa une main sur sa poitrine plate, elle la tâta, comme pour vérifier si elle avait bien un coeur. Depuis quand ne l'avait-elle pas vu ? L'oisillon pataugeait dans la flac, et elle eut la brusque envie d'écraser son pied. Sentir ses os craquer, entendre le bruissement des ailes, alors qu'il essayerait de se défaire de sa semelle. Oh... oui... oui. Quel son délicieux que celui du piaillement étouffé d'un oisillon écrasé par la cruauté d'un enfant ! Ayano eu un vague sourire, elle lécha ses lèvres, puis elle se rapprocha de lui. Mais que dirait Cupidon en la voyant ? Quelque chose comme...


« Oh les oiseaux, c'est trop chou ♥♥♥ »

Ouais... bah... elle n'était pas de cet avis.

C'était petit, faible, ça chiait partout sur sa tête, et ça faisait un bruit monstrueux. Ayano plissa les yeux, cruelle, elle leva son pied dans l'intention de lui faire payer son existence, par le sang, et la douleur. Mais quand son pied retomba dans la flaque, l'eau éclaboussa sa jupe. Elle gronda, elle recommença en frappant une proie invisible, jusqu'à se tremper. Elle devait trouver une arme. Elle devait buter ces salopes qui L'entouraient. Elle donna un coup de pied dans le vide, puis elle fit volte-face. Une arme... une arme, comment pouvait-elle trouver une arme ? Un couteau ! Oui, un couteau, c'était très bien.  

jE tUeRaIs PoUr LuI.

tUeR. tUeR.

oMbRe.

Lorsqu'elle reprit plus ou moins conscience d'elle-même, comme si son cerveau s'éteignait tel un ordinateur tombant en veille, Yandere-Chan était devant le trône de l'Ombre. Seule, toujours invisible, elle inspecta les lieux. Non... ce n'était pas là où était Senpaï. Où était-il ? Elle voulait le retrouver ! Elle serra la mâchoire, puis elle se tourna vers l'Ombre. Elle l'observa, la naine, elle l'examina longtemps. Puis, elle baissa les yeux sur ses mains... tant que du sang ne venait pas la souiller, elle ne pourrait pas lui parler. Ayano se glissa dans le dos de l'Ombre, elle avala sa salive, et elle songea qu'elle pourrait l'étrangler... mais à sa connaissance, l'Ombre n'aimait pas Cupidon ; aucune raison de faire ça. Mais... elle voulait une arme.

jE l'AiMe. PeRsSoNnE nE mE l'EnlÉvErA.

Quand Ayano rapprocha encore ses mains de l'Ombre, elle eu soudain envie d'éternuer. Elle plaqua ses mains le long de son corps, mais sans le sentir, elle frôla l'Ombre. C'était son seul moyen d'apparaître : lorsqu'elle touchait les autres, lorsqu'elle portait du sang sur ses vêtements, on se rappelait de son existence. Elle se tourna, elle éternua plusieurs fois. Elle avait le bout de ses cheveux trempés, son petit corps menu se secoua plusieurs fois sous ses éternuements. Elle cligna des yeux, elle plissa sa jupe
.

« Atchoum ! »

Ayano éternua si fort qu'elle sentit la morve s'étaler dans ses paumes, elle grimaça et chercha un mouchoir dans les poches de sa jupe.

« Ah... c'est écœurant ! »

Lâcha-t-elle en frottant ses mains avec son mouchoir, un rapide air écoeuré apparu sur son visage. Elle ramena ensuite une mèche de cheveux derrière son oreille, et elle comprit que l'Ombre la voyait.

« Bonjour. »

Sa voix n'avait plus d'émotion.
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3/8/2016, 14:59
Run Boy Run
T r o l l • S n o w • W e n d y • H o o k • T r o l l • S n o w • W e n d y • H o o k . . .

Ces noms la hantaient. Ces noms étaient sans cesse dans sa tête. Ces noms-là, elle ne les oublierait jamais. Parce que ces noms-là c’est ceux qui l’ont rendue si amère, ces ceux qui l’ont forcée à devenir ce qu’elle est devenue. C’est ceux qui sans cesse ont détruit ses espoirs, son amour propre et sa confiance. L’Ombre n’avait dorénavant qu’un seul but : les détruire. Elle voulait les voir souffrir autant qu’elle avait souffert. Hook, elle en faisait son affaire personnelle depuis qu’il était de retour mais pour les autres… Elle devait enquêter, elle devait faire en sorte de ne pas échouer, elle voulait glisser sa main au plus profond de leur poitrine, leur arracher le cœur, les faire siens…. Si Wendy n’était pas morte… Si Wendy n’avait pas été… une si grosse pétasse ! Si Troll ne la lui avait pas volée ! C’est de sa faute, de sa faute, d e  s a  F A U T E !

Petra planait doucement dans la pièce, observant les décorations du plafond, glissant ses petits doigts entre les rainures, grattant de son ongle le bois pour faire tomber un peu de poussière. C’était pratique de pouvoir voler. Elle fronça les sourcils et caressa un décor en bois qui représentait un bateau, le Jolly Roger. Elle soupira et se laissa retomber sur le sol, sa robe se soulevant sous la vitesse de l’acte. Elle se mordit la lèvre et observa son doigt noirci par l’acte. Elle le porta à ses lèvres et le lécha avant de grimacer devant le goût amer et peut agréable de la chose. Quelle horreur. Elle s’approcha alors d’une longue table où étaient posé un pichet de vin et des verres, elle avait demandé à être seule, comme d’habitude, aucune vitre, aucun miroir dans la pièce, son reflet la révulsait. Rien que le faible reflet qu’elle avait pu apercevoir en remplissant son verre de vin la dégoutait.

Elle porta le verre à ses lèvres en ressentant une aura étrange dans la pièce. Elle fronça les sourcils mais finit son verre avant de le reposer et de se retourner vers la source de sa gêne.

Rien.

Le vide.

Un creux.

Comme son cœur. Comme son âme. Comme ses yeux. Comme son corps. Comme elle.

Elle est L’ O m b r e. Elle est le V i d e. Elle n’est R i e n.

Elle soupira et ferma les yeux un bref instant. Tâchant de se concentrer. Il y avait quelque chose. Elle fut frôlée, et la présence apparue. Ayano. Un fin sourire mesquin naquis sur le visage de la Cheffe de Nain-Vert-Land, et elle observa sa concitoyenne partir dans une crise d’éternuement dégueulasse. Elle se mord la lèvre et se détourne lentement et sans un bruit, pour tenter d’attraper une serviette sur la table de banquet. Mais elle avait beau tendre le bras et se hisser sur la pointe de ses chaussures à talonnettes, elle était toujours trop petite. Elle fronça les sourcils.

Trop P e t i t e.  Des seins trop P e t i t. M i n u s c u l e  PETRA !

Elle vola donc, légèrement, pour se soulever du sol afin d’attraper la serviette et se retourna vers l’étudiante, lui tendant le tissu pour qu’elle s’essuie convenablement. Ce n’est pas croyable, même ELLE est plus grande qu’elle. Même ELLE semble plus J o l i e. Pourtant, elle n’a pas de poitrine non plus. Bon ça va. C’est déjà ça. Son envie de meurtre sur Yandere-Chan s’amenuisait.

Bonjour. Dit-elle simplement de sa voix morne et linéraire.

Aucune émotion ne passait sur son visage de coquille vide. A y bien penser, nous pourrions croire que toutes deux sont sœurs, mais Ayano semblait plus vieille que l’Ombre. C’est dégueulasse.

Du vin ? Proposa-t-elle en avançant lentement le long de la table de banquet, observant la nouvelle venue.

Elle se disait que ses capacités pouvaient être intéressantes. Très intéressantes. D’ailleurs, elle pourrait s’en servir à des fins personnelles… Oui… Elle deviendrait meilleure avec le temps. Ayano serait un bon élément. Elle plissa les yeux noirs et globuleux, semblable à deux grandes cavités vides, mais n’aborda pas tout de suite le sujet.

Que me vaut ta venue, Ayano ?
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Adorable Stalkeuse
Yandere-Chan
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7/8/2016, 18:12
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Age du personnage : 17 ans.
Pouvoirs / Particularités : Particularité : elle est insignifiante, si bien qu'elle ne se fait jamais remarquer.

Origine : Yandere-Simulator.

Orientation sexuelle : Senpaï-sexuel.

Petra et Ayano... c'était un peu genre... des doubles ?

Deux petites poupées sans formes, deux enfants ayant l'air vaguement d'être des femmes. Ayano n'avait jamais rencontré l'Ombre, ou plutôt, elle ne s'était jamais intéressée à elle. Ça devait être la même chose chez Petra Pan, qui se souciait de la fille invisible ? Personne. Toutefois, elles se faisaient face, sans être ennemies ; la même facette d'une pièce rouillée, oubliée dans une ruelle, ou abandonnée par son propriétaire. Ayano était un peu déçue de voir que l'Ombre n'était « que » ça. Une gamine plus petite qu'elle, avec encore moins de nibards qu'elle... et c'était sa chef, ça ? Bah voyons. Au moins, elle n'aimait pas Senpaï. Dans son amour pour Cupidon, Ayano voyait en chaque chose un ou une rivale ; ça pouvait être la jolie fille souriant à son amour, ou la mouche osant se poser sur son épaule. La jalousie lui tordait le ventre, aussi fort que la haine réveillait la folie de Petra.

« Du vin ? »

Répéta Yandere-Chan en fixant Petra, et comme elle, aucune expression ne venait égayer son visage d'étudiante japonaise. Yandere-Chan ne connaissait pas ces plaisirs-là, le vin, l'alcool, le sexe, la chaleur humaine. Elle fit non d'un signe de tête, puis elle fit une courte révérence pour excuser son refus. Par méfiance, elle ne goûtait jamais à une chose qu'elle ne connaissait pas, ce qui minimisait toutes ses expériences en réalité. Elle ne goûtait pas à l'amour, elle l'observait, elle ne goûtait pas à l'originalité, elle se contentait d'entrer dans le moule de son jeu. Elle crispa ses mains sur sa jupe d'écolière, et à la question de Petra, Ayano haussa ses épaules.


« Je voulais voir si je pouvais entrer sans me faire repérer, j'ai presque réussi. »

Il n'y avait pas de fierté dans sa voix, une note continue, sans émotion. Au contraire, Ayano était triste de ne s'être fait remarquer « que » maintenant, elle aurait aimé qu'on puisse la trouver sans qu'elle ne rentre en contact avec quelqu'un. Son pouvoir était... non, ça avait toujours été comme ça ; elle était invisible aux yeux de tous. Elle ne savait même pas si Cupidon connaissait son existence, ou s'il se souvenait d'elle. Elle marcha dans la salle, observant les alentours ; mécaniquement, son cerveau cherchait ce qu'elle pourrait utiliser comme arme. Ayano improvisait toujours, le moindre objet devenait meurtrier entre ses petites mains blanches. Une paire de ciseaux ? C'était un peu difficile de percer une gorge avec, mais avec le bon coup de main, ça rentrait comme dans du beurre.

eLlE éTaIt InSiGnIfIaNte.


« Je me demande ce qu'il est en train de faire... »

Soupira Ayano en s'arrêtant, les mains derrière le dos. La jeune fille se tenait droite, les deux oeufs au plat lui servant de seins fièrement dressés... mais même de la sorte, Ayano n'était pas une femme. Une enfant. Berk.. !

Elle baissa les yeux sur la poitrine de Petra, et comme cette dernière plus tôt, Ayano compara sa taille de seins à la sienne. Elle fixa ses mains, elle toucha son torse, en poussant un soupir de déception. Elle aurait dû arracher les deux obus de Kokona et les agrafer sur son tronc, avec des trucs pareils, Cupidon l'aurait regardée. Elle aurait eu quelque chose de profondément monstrueux, une vache à lait avec deux gros pis à exploser... mais elle aurait été remarquable. Pas belle, mais moins insignifiante. Il y avait le bizarre, le gentilhomme aux curiosités qui prétendait que le grotesque avait quelque chose d'extraordinaire.


« Je ne voulais pas vous déranger, Petra-Chan. »

Ayano fit une autre révérence, courte, afin de s'excuser. Elle se redressa, puis elle continua de marcher dans la salle, curieuse. Le doigt sur la bouche, l'autre main derrière le dos, elle notait tous les détails, tous les aménagements que l'Ombre avait pu faire par ici.

« Quelles sont les nouvelles ? »

Ayano se sentait obligée de parler. Maintenant qu'elle était là, elle ne se trouvait rien à dire, un peu prise aux dépourvus. Alors le silence gênant en train de s'installer, elle luttait contre lui en balançant des banalités. Elle était tellement pathétique ! L'Ombre devait la trouver bien ridicule à la voir raconter de la merde pour mieux combler le vide de leurs conversations, et de leurs coeurs. Ayano s'arrêta de marcher, elle examina l'Ombre, et de nouveau, elle eut le sentiment bizarre de se compléter à elle... ou pas... Non... leur ressemblance était saisissante, mais quelque part très triste. Elle pensa à Snow, au Chapelier Fou, les autres dirigeants... et elle se demanda comment une enfant avait pu prendre le pouvoir. Elle fixa ses ongles, puis Petra.
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13/8/2016, 11:00
Run Boy Run
Regarde la… Même elle, même E L L E, elle est plus jolie que toi. Elle semble plus douce, plus grande, plus rusée… Elle plus importante que toi, elle va trouver l’amour elle, elle va avoir des amis elle, elle, elle sera H E U R E U S E ! Regarde toi… Comme tu es seule… Sans personne… Moche, si petite, si m i n u s c u l e Petra ! Tu n’es qu’une ombre, tu es l’ O m  b r e. Ta vie ne signifie rien, même elle, cette A y a n o, sera plus utile que toi sur cette terre. Prends-garde à toi !

Pourtant, les deux étaient semblables. Petra un peu plus petite et semblant plus pouponne, mais elles étaient similaires. La seule chose qui pourrait grandement les différencier ce sont leurs yeux. Ayano a des yeux qui peuvent être expressif. Petra n’a que deux immenses orbites qui semblent vides, noires. Si quelqu’un lui dit qu’on se perd dans son regard, c’est certainement à prendre au premier degré, littéralement, on pourrait tomber dans ces grandes cavités cernées. Tout comme Ayano, Petra voyait en chaque chose une rivale aussi. Celle-ci était plus jolie, plus attirante, plus intéressante. Elle, n’accueillerait que les moqueries de chacun, les gens la montrant du doigt, en s’esclaffant et s’étouffant dans leur salive. Qu’il c r è v e n t   t o u s ! T O U S !!

Devant le refus du vin, elle haussa simplement les épaules, reposant le pichet où il était, observant un peu autour d’elle avant de reporter son attention sur l’étrange jeune femme. Elle porta son verre à ses lèvres, et soupira, lasse. Elle n’en avait déjà plus envie. Boire du vin la rendrait-elle plus adulte ? Parler d’alcool la rendrait-elle plus respectable ? Elle n’y croyait pas une seconde mais la fragilité de son esprit la forçait tout de même à en faire trop. Si seulement elle était une vraie femme, du haut de ses 18 ans, elle ne ressemblait à aucune autre. A part un pédophile, qui aurait envie de faire d’elle une vraie femme ? Ses joues s’empourprèrent soudainement alors qu’elle secouait la tête pour chasser ces idées grotesques.

Et tu crois que l’on peut entrer ici comme dans un moulin ?

Rétorqua-t-elle un brin acerbe en fronçant les sourcils. Cette fille veut te t u e r, elle t’aura, et elle prendra t a  p l a c e !! Petra Pan se crispa légèrement sur son verre qu’elle tenait encore, avant de finalement l’abandonner sur la table de buffet. Elle se mit à marcher pour se calmer, ne laissant toujours paraitre aucune émotion sur son visage de cire. Son pas était lent, assuré, ses petits talons claquaient doucement sur le sol, tentative désespérée de G R A N D I R.

Elle s’arrêta subitement.

Il ?

Ce soupir.

Cette façon de parler.

Ayano serait-elle amoureuse ? Quelle H O R R E U R.

De qui parles-tu ?

Demanda-t-elle subitement en s’arrêtant pile face à elle, droite comme un piquet. Toutes deux avaient la même position, c’était affligeant. Petra grogna un peu, elle n’aimait pas avoir une jumelle de la sorte, mais, elle fait quoi là ?! Arrête de regarder, pétasse ! Elle voulait se moquer d’elle ? De ses petits seins ? Elle grogna à nouveau et fronça les sourcils en la voyant se toucher le torse. Oui… Elles sont toutes les deux aussi plates, c’est ridicule. Elle la laissa parler, trop parler, Petra aimait le silence, elle finit par soupirer et se détourner pour se remettre à marcher, agacée. Pour qui elle se prenait cette pimbêche ?

Ayano… Les nouvelles mhh ? J’ai besoin d’éléments exceptionnels pour un travail exceptionnel… Connais-tu FTWhat ?

Son plan se mettrait en place lentement, il lui fallait ses éléments…

Troll…….. T R O L L !

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Adorable Stalkeuse
Yandere-Chan
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13/8/2016, 20:26
Messages : 10
Age du personnage : 17 ans.
Pouvoirs / Particularités : Particularité : elle est insignifiante, si bien qu'elle ne se fait jamais remarquer.

Origine : Yandere-Simulator.

Orientation sexuelle : Senpaï-sexuel.

Haussement d'épaules, que faire d'autre ? Ce n'était pas de sa faute si personne ici n'avait été en mesure de l'attraper, lorsqu'elle s'était faufilée dans la demeure de l'Ombre. Ayano regarda cette dernière, les mains derrière le dos, elle lui répondit :

« Si je peux le faire, je le fais. »

Voilà tout. C'était dans les codes que son créateur avait écrit en elle ; dès que Yandere-Chan pouvait faire quelque chose, elle le faisait sans se poser de questions. De plus, elle n'avait pas de mauvaises pensées en tête ; ses pas l'avaient conduit ici, sans qu'elle s'en aperçoive. Et désormais, elle discutait avec Petra, du moins, elles tentaient toutes les deux de se tuer en se regardant pour l'instant ; c'était une façon de communiquer comme une autre. La jeune fille portait un regard vide sur sa chef, même si elle ne pourrait pas rivaliser avec sur ce point ; Petra avait des soucoupes noires à la place des yeux. Ayano ne songeait pas rencontrer de telles choses par ici. Son monde avait été longtemps fade, caricaturé, tout en polygones et couleurs. Ici, c'était l'univers de l'Ombre qui paraissait caricatural, sans chaleur, une maison de poupée. Ayano ne l'appréciait pas, toutes les deux ne pouvaient pas s'apprécier plus que mesure ; elles se ressemblaient.

« Oui... Lui. »

Sa raison de vivre. Son Âme Soeur.

Cependant, Ayano ne pouvait pas en dire plus à Petra. Elle protégeait son secret, vraiment amoureuse, craignant qu'elle se moque de ses émois de jeunes filles. Elle ne devinait pas que l'autre fille rêvait de sexe et d'amour, de forme et de dentelle fine. Ayano avait rarement ce genre de pensées ; elle adulait Cupidon, mais elle était encore trop timide pour le voir en homme. Elle l'aimait pour sa pureté, sa gentillesse, et ses goûts douteux en matière de vêtements, et de coupes de cheveux. Au moins, il avait posé sur elle son regard, il l'avait vu... elle qui était si insignifiante dans cet univers. L'Ombre pouvait l'envier, mais elle... elle n'était pas ignorée. C'était une coquille vide, certes, mais ses grands yeux noirs étaient vus par autrui. On voyait son vide. On la voyait.


« Oui... je connais. »

Répondit la jeune fille en observant l'Ombre. Oui, qu'elle connaissait FFWHAT... c'était là où Il habitait, c'était Son monde. Et elle, elle était coincée à Nain-Vert-Land à se languir de son absence, se demandant pourquoi elle n'était pas parue chez le Chapelier Fou. Parce qu'elle avait le caractère violent, l'âme ensanglantée, et une forte proportion à laisser la colère parler à sa place. Ayano était curieuse, l'Ombre venait de lui faire gagner un intérêt qu'elle n'aurait pas soupçonné en venant par ici. Mais Ayano ne faisait pas partie de l'armée, elle était une âme vagabonde, un fantôme faisant mine d'être humain. Les mains dans son dos, elle fronça les sourcils, et lui demanda :

« Pourquoi as-tu besoin de moi ? Tu veux que je te ramène quelque chose ? »

Ayano n'était pas la plus utile, comme l'Ombre, ce qui la caractérisait le plus, c'était la banalité. Une existence fade, sans originalité. Une petite poitrine, des cheveux noirs et des yeux sombres, un corps de gamine, avec le coeur d'une adolescente. Elle ne serait jamais une femme, au même titre que l'Ombre. La jeune fille pencha la tête sur le côté, quelques mèches noires tombèrent devant ses yeux, et son front ; l'index posé sur la mâchoire, elle observait sa vis-à-vis avec calme. Au moins, elle pourrait lui servir d'espionne.

« Ou bien... dois-je éliminer quelqu'un ? »

L'interrogea de nouveau Yandere-Chan, tandis qu'une lueur meurtrière passait dans ses iris noirs. Elle eut un bref sourire, à l'idée de faire couler le sang. Elle se lécha les lèvres, elle remit ses mains dans son dos. Elle espérait seulement que l'Ombre ne pensait pas à Lui, sinon, Ayano serait obligée d'en faire son ennemie jurée. Elle aimait Cupidon, à la folie, elle était prête à tout pour être la seule qu'il puisse adorer. Mais elle était aussi protectrice que possessive ; si quelqu'un Lui voulait du mal, Yandere-Chan n'hésiterait pas à passer à l'offensive. Soit... on était du côté de Cupidon, soit on était contre elle.


« Alors... Petra-Chan, que me proposes-tu ? »

Parce qu'elle n'allait pas faire ça gratuitement, tout de même ! Il ne fallait pas plaisanter. Yandere-Chan était une calculatrice, chacune de ses actions était intéressée, mais elle avait la plus formidable des excuses : l'amour.

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Anonymous
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5/9/2016, 12:54
Run Boy Run
Ils vont mourir… T O U S  ! Ils vont regretter le jour où ils l’ont fait souffrir. Oh oui ils vont mourir. Le plan se dessinait peu à peu devant ses yeux, elle les tuerait tous, ou bien, elle les ferait tuer. Et elle avait devant elle le visage de la personne la plus insipide au monde. Personne ne se méfierait d’elle, personne ne la verrait. Elle était l’ombre de L’Ombre. Quelle idée géniale ! Oh oui c’est G é n i a l ! Continues Petra tu es si i m p o r t a n t e. Elle se confortait dans cette idée en déambulant soudainement dans la salle du trône, la mine sombre. Elle ne faisait confiance à personne. Tout le monde voulait la tuer, tout le monde lui veut du mal. Elle doit éliminer tout le monde, absolument, sinon, ce sera elle qui mourra.

N e  P a s  M o u r i r !

Non elle devait survivre.

T O U S ! To u s  l e s  T U E R !

Elle aurait pu partir dans un rire machiavélique, mais c’était bien trop cliché et puis surtout, Ayano en face d’elle n’avait encore aucune idée de ce qu’il fallait faire. Petra s’autorisa un petit rire ronflé du nez, comme un petit cochon, avant de se frotter ce dernier, hochant la tête en marchant comme si elle se parlait à elle-même dans sa tête. Et la conversation semblait intense.

Ayano ! hihi. Dit-elle subitement en s’arrêtant, non loin des escaliers.

Elle pivota face à la jeune fille enfantine et la toisa attentivement. Sa respiration était saccadée par l’excitation, ses deux petites mains s’accrochaient nerveusement au tissu de sa robe, elle avait une idée de génie, Ayano était ce qu’il lui fallait !

Oui…. Oui hihihi… C’est ça ! Oui oui… Ayanooo… Elle ricana encore et haussa les épaules.

Elle s’approcha, rompant la distance entre elles, elle s’envola légèrement pour être plus grande et plaqua la jeune asiatique contre la table. Elle huma son odeur, se demandant si elle sentait le nem ou le riz cantonnais, ce n’était pas souvent qu’on croisait des bouffeurs de riz à Nain-Vert-Land. Elle agrippait fermement son haut, s’envolant un peu plus pour la faire tenir sur la pointe des pieds.

Tu vas devenir mon assassin… Il faut que tu le tues… Que tu l’élimines… Wendy hahaha… Ah non elle est morte… Et il va la rejoindre !

Enfermée dans sa démence, elle ne se rendait pas compte qu’elle ne faisait aucun sens, quand soudain elle s’écria.

TROLL ! Tu dois tuer TROLL ! Oui le tuer ! Le tuer ! … Ramène moi sa tête. Déclara-t-elle avec excitation.

C’était si fort, si puissant qu’elle ne sentait plus ses jambes. Elle relâcha l’asiatique, pour se reposer au sol face à elle, lissant le haut d’Ayano, songeuse, frottant juste au-dessus de sa poitrine comme pour effacer un pli imaginaire.

Je veux son sang, sa tête, son corps… Je veux tout… mais mort !
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Yandere-Chan
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10/9/2016, 15:45
Messages : 10
Age du personnage : 17 ans.
Pouvoirs / Particularités : Particularité : elle est insignifiante, si bien qu'elle ne se fait jamais remarquer.

Origine : Yandere-Simulator.

Orientation sexuelle : Senpaï-sexuel.

Pouvait-elle arrêter de rire en disant son nom ? C'était bizarre ! Yandere-Chan fixa Petra, comme si elle tentait de la surpasser dans son incapacité à avoir des expressions faciales. Peine perdue, Ayano n'avait pas ces grandes soucoupes noires à la place des yeux. La jeune fille plissa la jupe de son uniforme, espérant ne pas disparaître en plein milieu de la conversation ; ça lui arrivait parfois. Elle n'avait pas un total contrôle de son pouvoir, elle pencha la tête sur le côté. Elle fit quelques pas, ses cils se mouvaient lentement, tandis qu'elle suivait Petra se déplacer ; c'était étrange que le royaume fût dirigé par une si petite chose... songea-t-elle, soucieuse. Elle se mouilla les lèvres, elle rangea ses cheveux, elle retoucha à sa queue de cheval. Ayano ne libérait jamais sa chevelure d'ébène, craignant la forme de féminité qu'elle pouvait y trouver, sans doute.

« Troll ? »

Répéta la jeune fille, un peu curieuse, Yandere-Chan ne savait pas où Petra voulait en venir. Elle haussa les épaules, ne sachant pas trop quoi penser de ça. Elle serait un outil, elle fronça les sourcils. Ouais... mais pourquoi ferait-elle ça pour Petra ? Elle posa son index sur son menton, elle leva les yeux vers le plafond, et elle soupira :

« Que me donneras-tu en échange, Petra-Chan ? »

Elle allait être utile pour autrui.

Même si c'était pour le meurtre.

Mais ici, chaque personne avait une affection toute particulière et tordue pour le sang. Le sang, c'était une façon comme une autre de cracher sa frustration quotidienne ; Ayano y avait pris goût, parce que c'était inscrit dans son script. En dehors de son amour pour le meurtre barbare, elle n'avait rien pour elle. La jeune fille se mûra dans le silence, et elle disparu sans s'en rendre compte. Elle redevint la chose insignifiante qu'elle avait toujours été. Elle se fondit dans le décor, sans s'apercevoir elle-même qu'elle avait disparu. Elle avança au hasard, puis une fois qu'elle frôla Pertra, elle reprit forme par ici. Elle fronça les sourcils, elle soupira. Elle comprit qu'elle venait temporairement de disparaître.

« Un jour, on m'oubliera. »

Soupira la jeune fille en plantant ses yeux sur sa vis-à-vis. Ouais. On allait l'oublier. Elle n'était pas certaine de réellement exister, parfois. Elle soupira :

« Très bien, je tuerais Troll. »

Mais elle n'avait pas de pouvoir, l'ordinateur n'arrivait pas à se décider pour lui en donner un. Sa seule force, c'était la surprise, le don de prendre un objet et de le transformer en une arme meurtrière. Une paire de ciseaux, un livre, une chaise, une cuillère, tout ce qui touchait ses mains se mutaient en une chose dangereuse. Elle transpirait le sang, la soif de sang. C'était peut-être pour ça que ce Royaume l'avait choisi. Elle demanda à Petra :

« Bon... et... je le ramène comment ? Il est grand et fort ? Il ressemble à quoi ? Je ne l'ai pas vu. »

Ajouta-t-elle. Ayano fixait son existence autour de Cupidon... l'ange de l'amour... Ah... si ce n'était pas romantique ! Tomber amoureuse de celui qui d'une flèche décochait l'amour chez autrui.

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