|
|
| | Le temps était vaporeux, le vent sucré et la chaussé un peu collante. Normal, probablement pour la ville la plus dégoulinante de Wonderland. Enfin, au moins, dans le royaume de FTWHatters, ce n'était que de la matière comestible. Dans certaines contrées c'était plus organique, dans des tons bruns et ocres. Et ces lieux là, Arielle n'avait pas franchement envie d'y mettre les pieds - ou les nageoires. Pour quelqu'un d'aussi dépressif qu'elle, ce genre de spectacles lui donnait entre plus envie de se pendre. Au moins, ici, tout était heureux et joyeusement psychotique. Pas de meurtre entre deux maisons borgnes. Pas de cadavres décoratifs ou de créatures effrayées. Dans la Ville Moelleuse, les habitants étaient toujours heureux et fiers d'être stupides. Cela avait des vertus relaxantes sur les nerfs à vif de la petite sirène.
Il était assez tard, presque le crépuscule, et à travers les nuages de barbe à papa, un soleil déclinant commençait à se parer de son pyjama rouge. Toute la journée, Arielle avait signé des autographes à s'en casser les poignets. Quant à ses zygomatiques ils étaient dans un état avancé de tétanie. Bientôt, sa mâchoire allait se coincer et elle se retrouverait la bouche grande ouverte en pleine ville, telle une prostituée après une bonne nuit de travail. Mais contrairement à ces ouvrières du bas ventre, Arielle avait tellement d'influence qu'il était possible que les passants qui la croiseraient se mettent à l'imiter. C'était ça, être star de la Pop.
En attendant, notre magnifique princesse des sirènes et grande prêtresse du bon goût déambulait. Pour se détendre entre les belles boutiques de la capitale du bonbon. Dans ces quartiers huppés, ses fans se faisaient, non pas moins acharnés, mais mieux éduqués. Si cela était possible à Wonderland. Le monde où tout le monde souffre d'au moins 2 malades psychiatriques. Heureusement, la camisole chimique n'était pas quelque chose qu'on usait contre quelqu'un. On se l'infligeait parfois tout seul par contre....
Quel monde farfelu dont elle faisait partie! C'était déprimant toute cette sottise. Moins que les exécution publique, mais c'était assez affligeant quand même. Mais peu importait, Arielle avait au moins de l'argent à passer dans ces deux distractions préférées, les robes et la drogue. D'ailleurs, ces deux là commençaient à lui manquer. Il fallait absolument qu'elle en achète. Ici la première était légèrement plus facile à se procurer et Arielle avait jeté son dévolu dessus. N'importe quel vêtement excentrique lui ferait du bien. Elle portait sa jupe depuis déjà 6h, c'était beaucoup trop.
Mais, si vous avez du mal à vous imaginer le tableau, décrivons plus en profondeur le spectacle que vous avez devant vos petits yeux porcins. Arielle avait soigneusement appuyé son nez contre une vitrine comme si elle voulait y laisser son empreinte. La chanteuse était coiffée avec goût, du moins, le sien. Ses cheveux roux montés sur une estrade de pierreries bleus formaient une sorte de corne recourbée qui s'élançait dans les airs avant de revenir en direction de son front. Quant à sa fameuse jupe, elle n'avait de "jupe" que le nom. En fait, il s'agissait d'une sorte de bustier gigantesque qui s’étrécissait au niveau de sa taille pour se muer en une myriade de voiles et d'étoffes qui couraient sur ses jambes, rebondissaient sur le sol et qui répandaient comme la marrée. Bref, Arielle se voyait de loin et ne s'approchait pas de trop près, mais de toutes façons, c'était une star non ? | | | | Ya know, I kill people all day long... Feat - The Little MermaidLes écouteurs dans les oreilles et la musique à fond, imperméable au monde et à la réalité. Noh elle écoute de la musique, de la vraie. Comme elle se doit d'être écoutée, à s'en déchirer les tympans, tant mieux si ces mots de révolte son les derniers qu'elle doit écouter. Elle bosse, en ruminant comme une grosse vache, le cliché du vieux mécano. Sauf que c'est une femme, si, si, ça manque de féminité mais ça reste une femme. Elle a la culotte qui trempe dans la poussière de thé et sa chemise coincée dans l'élastique de son soutient-gorge. Ses doigts s'agitent dans les entrailles de la bécane, ça colle et c'est pas beau. Et pourtant elle n'hésite pas à saisir méthodiquement les pièces pour éventrer la machine tout en marmonnant dans sa bulle de chewing-gum rose layette. - Tfin mh kl chn! - Elle grogne et crache ce qui l'empêche de faire entendre sa complainte, sur un sol humide sans se soucier des giclures d'infusion sur sa chemise blanche dissimulant sa difformité. Ses mains quittent le tamboui pour venir étaler des traces brunes sur le col du type se tenant un peu plus loin et beugler comme elle sait si bien le faire, sa voix venant recouvrir celle du chanteur. Elle gueule juste pour le concept, juste par ce que ça l'éclate de voir le pauvre mec trembler au vu de l'arme pointant depuis sa sacoche. - Putain de dégénéré de mes deux! Non mais tu l'as vue ta merde?! Mais on a pas idée de vivre dans un endroit aussi foireux! - Sa moue se déforme en grimace se voulant imiter le propriétaire de la boutique et sa voix se fait excessivement aiguë et niaise. - Ha bah je comprend paaaaeuh! Mon PéCé y marche puu!!! - Sa voix se fait brusquement plus sèche et agressive. - ABRUTI! Bien sûr que ton PC il va cramer si tu lui fous du sucre dedans! Branle-toi y tant qu'à faire! Ça sera pas pire. Ducon. - ça y est, crise de nerfs terminée, elle relâche brutalement le col de son client avant de s'essuyer les mains sur sa chemise relativement blanche. Bon je vous l'accorde, son langage est aussi fleurit qu'un champ de Poneyville, sans compter que sa réaction est un peu excessive. Mais que voulez-vous comme un ado en manque de tarte aux pommes, notez la référence, elle est titillée par ses hormones. Sans compter que le type la gonflait déjà bien avant qu'elle arrive. C'était pas sa faute. C'était le Précurseur qui avait eut cette idée idiote d'installer des moniteurs dans cet endroit mièvre et glauque où les machines se pétaient en un rien de temps. Et bien sûr, c'était toujours à elle de se coltiner le trajet, sinon c'est pas marrant. La tournée de la ville moelleuse, l'odeur de barbapapa qui emplit l'air et du sucre venant s'incruster dans ses poumons... Le rêve. Une inspiration et elle en filerait le diabète à son mioche. Hasta la vista, bitch! Mais rien de tout ça ne marche, elle a déjà essayé. Elle soupire, agacée et se contente de balancer un: - Franchement, déménage, ou la prochaine fois c'est ta carcasse que je démantèle. Ya rien à faire. J'te laisse ranger. Seeya. - Elle ne prend même pas la peine de retirer un écouteur pour savourer les insultes que lui balance le client mécontent, elle ne les connait que trop bien pour les avoir si souvent employées. Elle récupère ses affaires et écrase le tapis de composants recouvrant le parquet ciré de l'échoppe tout en agitant la main, l'index toujours levé. Ça lui fendrait presque le cœur de voir la bête crevée et ses écrous dispersés dans la boutique minable de ce con qui pensais pouvoir la mater sans qu'elle ne l'ouvre, bien qu'elle se soit déshabillée sans lui demander son avis. Presque, j'ai dit. Si elle ne l'avait pas troqué contre la dernière console de jeu qu'elle tient entre ses mains. Elle retire un écouteur et s'en enfonce un autre dans l'oreille, laissant le cri en 8bits de Pikachu venir recouvrir la voix écorchée d'un chanteur qui beugle. Désormais les environs peuvent profiter de la cacophonie de son esprit. Les yeux rivés sur un paysage en pixels, plus rien ne peut l'en décrocher... Ou presque. Évidemment elle rentre dans une nana qui sortait de la boutique. Évidemment, elle en a oublié sa jupe. Évidemment, elle s'en fou et se contente de grogner un suave: - Bouge de là, chui pas d'humeur à m'faire une grognasse ce soir. Tu bloques le chemin avec ton gros cul d'vache. Et rêve pas, tu rentreras pas dedans. - Regard explicite et à peine appuyé en direction de la vitrine et elle appuie sèchement sur une touche de la console pour balancer un Fatal Foudre dans la tronche du Nidorina d'en face qui disparait dans un cri horrible. Premier meurtre de la journée, merci aux hacks de Pokémon. Ça lui avait manqué d'effacer des pixels, par ce que mine de rien mettre un vrai coup de poing ça faisait mal, surtout quand on sait pas taper. M'enfin voilà une réplique acerbe envoyée par la nana qu'arrive pas à marcher droit par ce qu'elle a pas été foutue de mettre une capote. C'est gratuit, après tout sa mauvaise humeur est toujours comprise dans la prestation et ceux qui la connaissent, de même que le contenu de sa sacoche, n'osent pas l'ouvrir. Par ce qu'au fond ça reviendrait à se mettre toute une faction à dos et voir tous ses petits secrets éclater au grand jour. -------------------------------HRP------------------------------- J'espère que ça te convient, désolé Noh est super grossière et agressive xD Si tu veux que j'édite dis le moi! ^^ | | | | [HJ : Tu décris quelqu'un qui sort de la boutique et qui convoite une jupe... Arielle est devant la boutique et porte la jupe... Alors j'ai fait comme si tu parlais à quelqu'un d'autre... Si je ne suis pas claire, dis le moi] Arielle regardait toujours par la fenêtre, tendait ses jolis petits pieds pour apercevoir le fond de la boutique à travers un dédale de mannequins et de costumes. Son nez était joyeusement incrusté contre la vitrine et il serait presque cruel de les séparer tant leur amour semblait grand. Mais malheureusement pour cet idylle naissant, Arielle fut bien forcée de se redresser. A sa droite, une cliente qui venait de sortir de la boutique de frusques fut renversée, quasiment expulsée, par une petite furie blonde. Non contente d'être la seule fautive de l'histoire, celle-ci se mit à grogner comme un Jabberwocky.
Je ne sais pas si vous avez déjà ressentit cela, mais tandis qu'elle assistait à la scène, Arielle n'avait qu'une envie, prendre un revolver et abattre froidement Noh. Comme ça, sans sommation. Elle se serait délectée de la vue de son cadavre s'effondrant - en silence -, écrasant son gros nez sur les pavés multicolores de la ville moelleuse. Oui. Un frisson de satisfaction lui étreindrait le dos. Elle dormirait mieux la nuit venue, ravie d'avoir débarrasser Wonderland d'une créature stupide et plus bruyante que la moyenne.
A rebours de ces pensées froides, Arielle portait ses mains à sa bouche et poussa un petit cri de surprise. Son petit visage délicat, aux joues rebondies et potelées, exprimait une telle horreur que même le Crocquemitaine se serait platement excusé. En un joli bond, semblable à celui d'une fée, elle s'agenouilla près de la femme à terre. Tandis qu'elle se mouvait, les voilages de sa jupe tournaient autour d'elle comme des flots de pacotille. Quelque part dans l'assistance hétéroclite qui se formait aux alentours, elle entendit une ou deux exclamations d'admiration. Mais l'adorable chanteuse, n'en avait cure. Pauvre cliente. Pauvre petite grosse ! Cela mit Arielle un poil en colère. Elle se retourna en direction de l'autre guenon névropathe et demanda de sa petite voix chantante !
« Ce n'est pas très Pipou de faire ça. Madame, vous devriez vite vite vous excuser ! »
« J'aimerais t'écraser la tête sur le trottoir lamentable connasse. » Songea Arielle tandis qu'elle prononçait ces mots avec tellement de gentillesse. Non loin, une vieille dame fut émue aux larmes par tant de candeur dans une seule phrase, et se moucha dans un mouchoir-parachute - à la mode il y a quelques centaines d'années à FTWHatter.
« Allons, allons, relevez-vous, mademoiselle. »
Murmura la Petite Sirène à la victime de l'attentat. Pour accompagner les efforts de cette dernière à se relever, Arielle agrippa fermement l'épaule de femme et la tira vers elle. Une fois sur pied, elle fit un pas en direction de Noh, histoire de s'interposer entre les deux. Ce n'était pas le courage qui parlait, simplement l'envie de rentrer chez elle, et de s'enfiler un rail ou deux de poussière de fée. Et pour que cela se fasse vite, il fallait que la situation ne s'envenime pas. Aussi, Arielle arborait un superbe petit sourire commercial, tout en dents blanches. Sur sa tête, l'espèce de corne que formait ses cheveux oscillaient joyeusement, accompagnant l'enthousiasme apparent de la chanteuse.
« Je pense qu'on devrait tous chanter en coeur pour se faire pardonner! »
Proposa la Petite Sirène en bondissant sur place, chahutant sa poitrine généreuse, qui abondait visiblement dans son sens. Autour de la scène et de ses trois protagonistes, la foule poussa une acclamation de joie, n'attendant maintenant plus que le signal de leur star de la pop préférée!
| | | | Ya know, I kill people all day long... Feat - The Little MermaidElle rentre dans une nana, pas grave. C'est elle la femme enceinte, c'est elle qui est à plaindre. Fin de l'histoire. Elle râle, pour changer, crache sa bile sans l'entendre, la voix du chanteur est plus brisée que la sienne, elle préfère ça. Fume encore t'y es presque, gamine. Elle est pleine de hargne, une véritable ado en révolte. Elle se trouverait pitoyable si elle se croisait dans la rue. Mais l'avantage d'être conne c'est qu'on a pas à affronter son propre reflet et assumer ses conneries. Pourtant elle le fait, depuis désormais des années, son boulet elle l'a avalé et se le traîne depuis trop longtemps déjà. C'est moche. Pas elle, non, jamais. La nana qui se tient un peu plus loin avec sa tignasse rouge et son air de princesse avec un balais dans le fion. Véritable thon sur pattes. Enfin, façon de dire. Elle est mignonne, beaucoup plus que Noh. Le genre de nana qui donne envie de la câliner, une sucrerie fourrée à la guimauve, dégoulinant d'amour et tout le tralalala. Un véritable cliché. Beaucoup trop pour que Noh y croie en tous cas. Trop quoi? Trop, c'est tout. La musique fait boum dans les oreilles de la blondinette, ponctuée par les notes électroniques de sa console de jeu et parfois par la voix de la starlette d'opérette à laquelle on n'avait rien demandé. "Pipou"... Pipou?! Non mais c'était quoi encore c'te connerie? Noh ne peut retenir une grimace de mépris tandis que la midinette poursuit ses convulsions grossières, véritable gymnastique gestuelle, réglée comme une poupée de boite à musique. Fade et mécanique. Tout pour plaire au grand public, un pur produit de consommation prêt à l'usage. Noh n'a qu'une envie, lever le majeur au ciel, en insulte à l'éternel dictateur et à cette traînée à laquelle il a offert tant de beauté alors que Noh, elle a toujours sa sale gueule de conasse ravagée. Et en plus elle l'appelle Madame. Elle l'a fait exprès, Noh le sait, du moins elle veut le croire par ce que ça lui ferait une raison de lui arracher son masque de parfaite petite poupée. Comme s'il lui en fallait une. La petite sirène continue à s'agiter, jouant la bonne samaritaine. Et v'là qu'elle relève la grosse boule avant qu'elle ne se mette à rouler, et qu'elle s'interpose. Mais personne l'avait sonné cette grognasse. Quelques abrutis qui la suivent et ça se sent plus pisser. Une vraie r0xXoR des bacs à sable. Noh se contente de grogner, en bon concentré de haine et d'hormones bouillonnantes qu'elle est. L'informaticienne n'a qu'une envie c'est de tout faire péter, électricité et circuits du royaume, balancer un putain de virus sur le réseau, quitte à compromettre les plans des Unmads. Ça la ferait même marrer de voir la gueule du Précurseur dans les basques du papa prêt à lui mettre une fessée par ce qu'elle a été vilaine. Une putain de blague. Comme la nana qui se tient en face et qui propose de chanter. Complètement déphasée. Meuf, faut arrêter la poussière de fée, qu'elle se dit la décolorée en cloque. 'Ya plus qu'à se mettre en cercle et chanter Kumbaya en se tenant les mains moites et humides et s'échanger les fluides dans une orgie de voix. Une putain de grosse blague. Et le pire, c'est qu'avec ses grosses loches qui s'agitent dans l'air sucré, elle arrive à entraîner des gens dans son délire de camée aux algues. Si seulement elle pouvait s'étouffer avec. Monde de merde. Société de merde. Putain de robots. Noh affiche une mine dépitée et soupire tout en se retenant de lui rouler dessus comme un rouleau compresseur avec son bide tout rond. Par ce que c'est pas bien. Que ça créerait une guerre entre les factions et Gnyah, gnyah, gnyah... Pourtant en voyant ce genre de gonzesse, Noh ne peut s'empêcher de penser que c'est peut-être ce qu'il faudrait... Les atomiser, comme aux bons vieux temps. Quoique pour Tchernobyl on repassera, la dégénérée aux cheveux rouges elle déjà des écailles, sans parler des neurones grillés, à défaut de partir en fumée. Avec un peu de chance au prochain épisode on aura peut-être le droit à un remake de Mangez-le si vous voulez. Le pied. Enfin, Noh retire ses écouteurs et fixe son interlocutrice aussi peu vêtue qu'elle, ou presque. La femme enceinte affiche toujours son regard con et vide d'intelligence en se disant que ça lui va bien de chanter dans la rue à la petite sirène, sans ses doigts de fée de l'informatique c'est probablement ce qu'elle aurait fait. Pas de scène, ni de télé pour la plébisciter. A la rue, comme les artistes de son époque. Elle regarde la rouquine du haut de son mètre cinquante-trois, la tête vers le haut et l'air méprisant. Ce qu'elle peut l'irriter, avec sa petite mine d'ange et ses mimiques sorties d'on ne sait quel film de cul pédophile. Noh reprend un chewing-gum tandis qu'elle prend une photo sans demander l'avis de la première intéressée et bidouille sa console sans se soucier de faire attendre la starlette et ses fans. Elle mâche comme une grosse vache, en faisant du bruit, sinon c'est pas marrant. Non mais franchement elle s'attendait à quoi la petite sirène? Un gros câlin et tout va bien? Les trucs mignons Noh elle les accroche sur ses vêtements alors à moins que la petite sirène ne veuille lui céder ses jolies petites nageoires elle ne risque pas de l'avoir son gros calinours. C'en est presque flippant tellement c'est mièvre et dégoutant. Noh se décide à parler, avec toujours le même ton agressif et sa petite voix de teigne blessée. - Ouais, c'est ça. Fais c'que tu veux. Tous en cercle et on s'fait une réunion des sourds anonymes en chantant Kumbaya. Non par-c'que franchement à force ils doivent avoir les tympans vrillés tes fucking "fans". C'est la seule explication pour qu'ils puissent continuer à t'écouter brailler. Ça doit être pour ça q'tu t'agites dans tous les sens comme une 'tain d'épileptique, histoire qu'ils s'fassent pas trop chier. Non franch'ment, t'as déjà pensé à l'exorcisme? Des fois on dirait une criss de possédée. Et viens pas m'dire que t'aimes la mierda qu'tu leur gerbe à la gueule et qu'tu les prends pas pour des cons. - Exactement le genre de personne qui l'énerve, vide et sans intérêt... Mais pas plus qu'elle. Quoiqu'il en soit Noh restera toujours la reine des connes qui ne s'assument pas. A parler comme une racaille doublée d'une bouseuse, juste pour montrer qu'elle est so d4rk et qu'elle a pas eut de parents pour l'éduquer. Elle a tellement de gros mots à son répertoire qu'elle en sort même dans d'autres langues. La classe internationale. Oppa kikoo style.Elle mâche toujours, son stylet est affairé à découper des photos et faire des montages grossiers où la sirène se prend des tentacules là où le soleil ne brille jamais, à moins d'avoir un vagin à facettes il s'entend. Au vu de la dégaine de la nana, ça n'étonnerait même pas Noh en fait. Elle s'éclate d'ailleurs à dessiner le fameux vagin lumineux et balançant des rumeurs idiotes sur la toile. Tellement jouissif. Une vraie rebelle avec du Black Bomb A qui sort de ses écouteurs et vient polluer l'air environnant. - Bouge-toi l'derche, princesse. Tes fans attendent de récolter ta diarrhée verbale. - Au fond c'est ce qu'ils représentent pour elle non? Un putain de rouleau de PQ, en or, il faut au moins ça. Mais la fonction n'en est pas plus noble. Un petit clin d'oeil faussement complice, elle a presque envie de lui envoyer un baiser. Au fond elle est pas si vilaine Noh... Elle est juste curieuse de savoir si le thon peut se transformer en barracuda quand il est énervé, un peu à la Hulk. Ou si ça se contente de rester sous vide, prêt à être dévoré. Elle doit être vraiment chiante sa vie à la blondinette. ---------------------------HRP--------------------------- En espérant que ça te convienne. Sinon MP puis j'éditerai o/ | | | Contenu sponsorisé Contenu sponsorisé | | |
| |
|