« I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours. »
Lewis Carroll
game of madness
Le loup dans la bergerie... qu'il se méfie des moutons, c'est fourbes ces trucs.
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Le loup dans la bergerie... qu'il se méfie des moutons, c'est fourbes ces trucs.

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Allons-y Alonso
Big Bad Wolf
Big Bad Wolf
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Allons-y Alonso
2/7/2015, 11:58
Messages : 55
Age du personnage : 22 ans
Pouvoirs / Particularités : Transformation en Loup/Un vent souffle quand elle parle

Origine : Trois petits cochons, chaperon rouge [...]

Orientation sexuelle : Little uniquement (Demi-sexuelle)

Un amour de louloup ♥


Wolfinette
♦ Nom civil : Meryl Ulvur
♦ Age : 22 ans, son temps s'est arrêté à ses 19 ans.
♦ Existe à Wonderland depuis : sa naissance.
♦ Orientation sexuelle : Demi-sexuelle. Elle n’éprouve de l'attirance qu'envers les personnes avec qui elle a un fort lien émotionnel. Le genre de cette personne importe alors peu.
♦ Groupe : les Nains-crevables.
♦ Race : Déjan'thé.
♦ Origine : Le petit chaperon rouge, les trois petits cochons… et partout où il y a besoin d'un grand méchant loup.
♦ Fonction : Aînée (depuis peu) chez les Béhémoths.
♦ Âme : détenue par l'Ombre.
♦ Particularité : Quand Meryl parle, un vent se met à souffler ; la force augmente parallèlement au volume de sa voix. À volume normal, le vent est à peine perceptible tandis qu'en hurlant au maximum de ses possibilités, elle peut aller à un vent de force 7 dit « grand frais » ( Merci Wiki 8D)
♦ Pouvoir : Elle peut se transformer en loup géant et carnassier. C'est un pouvoir qu'elle n'apprécie pas.
♦ Classe sociale : Plutôt aisée.
♦ Participant au Game of Madness : Non.


I'm FABULOUS!



« J'te présente Clara, Wolfy !
-Non, c'est Sarah.
-Ta gueule, chaton. »

Tu le reconnaît bien là. Avec sa maladresse à draguer une fille pour te rendre un peu jalouse, tout ça pour quoi ? Parce qu'il t'a vu boire un coup avec un homme hier ? C'était ton ancien ainé, celui qui avait prit soin de toi et qui, maintenant que tu étais aînée aussi, pouvait te donner des trucs et conseils. C'était la première fois que tu pouvais lui parler d'égal à égal. Tu avais le droit, non ? Tu avais le droit. Et lui, il a vu, il a ruminé et ce soir, il a été draguer une femme. C'est un bar quelconque dans lequel vous vous trouvez et à son air goguenard, tu comprends bien les intentions, tu comprends que s'il s'est mit dans cet établissement, bizarrement sur ton chemin pour rentrer, c'était bien pour que tu le remarques. Et ça te frustre de sentir que ça marche, que ça ne te laisse pas tranquille. Tu tournes les talons, sors ; le patron mérite pas que tu mettes la merde pour ça.

Lui il te suit, lançant quelques répliques qui font parfois mouche et tu fermes ton visage, mordant de tes dents blanches tes lèvres bordeaux pour ne pas hurler. Il te taquine, mais ça fait chier.

« Au moins, elle, elle ressemble à une femme ! »

Là, ça t'arrête. Tu te retourne vers lui et dans tes yeux, une lueurs de détresse passe. Tu fais partit d'un corps armé, qu'y peux-tu ?
Tu porte toujours des tee-shirts ou débardeurs de coton ou de lin -qu'importe- tant que tes mouvements ne trouvent pas d'entrave. Tes jambes sont cachées par des pantalons aux coupes militaires, aux couleurs grises, vertes ou bleus sombres et tes petits pieds sont habillés d'une paire de Rangers confortables, sans doute un peu trop usées, mais que tu aimes trop pour te défaire. C'est un peu comme une deuxième maison. Par dessus le tout, pour te déplacer dans la rue, tu portes souvent ce même manteau bordeaux à la couleur passée, un peu large, droit, mais confortable et pratique. Une capuche cerclée d'une fourrure synthétique habille ton dos. Ta silhouette n'est pas mise en valeur par tel attirail. Pas plus que tu ne t’embellis par un maquillage quelconque ou des bijoux.

Tes cheveux bruns, souples et ondulants, sont attachés comme tu le peux en un catogan pratique, parfois des tresses, voir des chignons selon les jours. Mais de tailles inégales, beaucoup arrivent à retrouver le chemins de la liberté et encadrent ton visage fin d'un carré déstructurés.
Tu pourrais être une belle femme. T'as ce grain de beauté sur le front qui, couplé à ta peau dorée, te donne un air de beauté indienne, comme disent les Alices. T'as des yeux à faire fondre n'importe qui ; d'un bleu-vert, pailleté d'or qui s'embrasent à la lumière du soleil couchant. Des cils longs et épais encerclent tes yeux et les mettent en valeurs. Tu as des pommettes hautes, douces, des joues fines. Ton nez est fin, haut, remontant un peu et surplombe des lèvres sombres, bordeaux, presque couleur sang.

Tu as un cou gracile qui se pose sur des épaules un peu carrée, taillée par l'exercice, des bras fins et sans graisse où sous ta peaux, on peut deviner tes muscles qui s'agitent. Tu as les mains un peu fines, quoi que calleuses et abîmées par les exercices que tu fais.
Puis t'as de la poitrine. Elle te gêne parfois, bien ronde, elle t'as même handicapé, une fois, à passer dans un tunnel en te bloquant. Ça avait vraiment été une journée de merde, tiens. Depuis, tu la sers dans des brassières peu élégantes.
Tu portes un ventre plat, une taille marquée, des hanches de femme et des fesses musclées, des jambes galbées même si on ne le distingue pas sous tes pantalons droits.
T'as des chevilles toute fines, aussi, mais qui le remarque quand elle sont cachée dans tes chaussures ?

Tu pourrais vraiment être une belle femme. Mais certains te reprocheraient sans doute cette carrure trop musclée. Certain disent même que si ta peaux est légèrement basanée de base, elle devient ambrée à rester trop sous le soleil sans te protéger et qu'une femme qui se néglige, ce n'est pas attirant. Pourtant, tu apprécies quand même ton corps. Il est souple, fluide, tu te sens maître de tes mouvements dedans. Il est adroit. Faut dire que tu t’entraînes dur pour ça. Quand tu marches, peu t'entendent te déplacer et tu aimes bien venir dans leur dos pour leur faire peur quand ils se retournent. Une démarche de loup, s'amusent à dire des gens de ton groupe. Tu aimes ton corps, ça oui. Pourtant, quand il te dit ça, comme ça, tu te mets à avoir des doutes dessus.

Et s'il ne t'aimait plus à cause de ce corps ? Qu'est-ce que tu ferais ?

Tu n'as pas de démarche sensuelle, pas de roulement de hanche qui ferait frémir n'importe qui. T'as pas de cette aura de femme qui fait que ta simple présence émoustille toute libido. T'es juste une militaire, plutôt bien foutue, franchement sportive. Puis t'as cette réputation qui te colle à la peau. Méfiez-vous du grand méchant loup.
Forcément, ton côté attirant se prend alors un sacré malus. Mais tu t'en fiches, tu veux pas être attirante. Pourtant, quand Lui, il remet en cause ça, d'un coup, tu te sens bien fragile.
Puis quand tu vois qu'il affiche un petit sourire satisfait, que c'est précisément ce qu'il avait planifié, qu'il s'amuse de toi… ça t'agace. Assez pour serrer les poings, bander les muscles, prendre une inspiration et gueuler, de ta voix un peu rauque qui évoque presque un ronronnement permanent en temps normal :

« Tu. Fais. CHIER ! »

Ça l'a surprit, juste assez pour le faire tomber en arrière. Tu parle toujours doucement d'habitude. Tu redresses la tête, une moue courroucée sur le visage et, encore au milieu des feuilles et brindilles qui volent de ta voix qui a éclatée, tu te mets à cavaler loin de lui, alors qu'il tousse de la poussière avalée que tu as soulevé.

Quand tu cours, personne ne peut te rattraper.





Je suis fou, et vous?



Tu as fait quelques bons mètres et tu n'es même pas essoufflée, habituée à l'exercice. Tu regardes derrière toi, t'attendant presque à le voir surgir et là, là…
Là tu regrettes. Tu soupires contre toi même, t'adosses au mur et te laisses glisser au sol, ramenant tes genoux contre toi.

T'es intelligente, tu sais bien comment et pourquoi Liam agit comme ça et pourtant, tu te laisses avoir. T'as un caractère doux et souple, pourtant, souvent tu perds tes moyens face à ses nouvelles idées. T'es presque pas capable de lui dire non et quand tu y arrives, tu t'en veux -comme là-, tu retournes le voir et le couvre de ''pardon'', de ''je suis désolée''.
Tu luttes pour ne pas le faire tout de suite. Tu sais que t'es pas en tord, tu le sais.

Car ce verre avec ton ainé, il était uniquement amical. Lui, il t'apprécie, tu le sais, mais c'est tout à fait professionnel entre vous. Tu ne cherches pas les aventures, te considérant déjà en couple et étant d'une fidélité à toute épreuve. T'es même fidèle envers un pays dont tu ne partages pas toutes les idées, qui t'a arraché contre ta volonté ton âme et qui pourrait te menacer constamment avec. Ils savent pour ton pouvoir, t’entraînent avec, s'en servent et le voit comme une bombe à lancer ; tu détestes ça. Et pourtant, tu restes, pourtant, quand ils ordonnent quelque chose, tu le fait du mieux de tes capacités, voir au delà. T'es une aînée des Béhémoths, t'as fait tes preuves et c’est même pas que parce que tu as un pouvoir du loup. C'est parce que tu t’entraînes comme une folle chaque jour dans l'espoir qu'un jour, c'est de l'officier dont on aura besoin, plus du loup.

C'est dur d'être toi. Tu as cette magie violente qui te hante, rien qu'à tes paroles, ou dans pires, tes moments d'inconsciences. De gamine passionnée, tu t'es construite une personnalité calme et douce, maîtrisée, pour ne pas laisser déborder les élans bestiaux dont tu peux pourtant être capable. T'as prit du temps pour t'accepter, mais tu l'as fait et aujourd'hui, tu essaye juste d'être toujours mieux, toujours plus loin, plus vite. Tu brûles presque ta chandelle des deux côtés.
Tu n'es pas de ceux qui suivent leurs instincts et préfères toujours observer avant d'agir. On te dit presque inébranlable, à toujours prendre les événements avec toute la sérénité dont tu sais faire preuve. Il y en a qui ont alors pensé que c'était un trait de faiblesse et on regardé pour en abuser. « Trop bon, trop con » qu'ils pensaient. Ils ont vite découvert que non, tu as un mental fort et adaptable qui te fait tenir, comme un roseaux. T'as la justice dans le sang, déteste l'inégalité et ça te conduit à être droite, franche voir parfois dur.
Surtout envers toi. T'as cette discipline ferme que tu t'appliques, te pardonnant peu tes erreurs et faisant justement de ton mieux pour en commettre le moins possible ou rectifier. Alors qu'envers les autres, tu te montres souvent conciliante, arrangeante et tu pardonnes vite, leurs accorde une souplesse que tu t'interdis.

Avec tes cadets, tu te es gentille et souriante, n’hésites jamais à donner de ton temps pour aider. Un conseil, une perle de sagesse à partager, un bon coup de pied au derrière de ceux qui flemmardent, tu es une aînée présente et protectrice. Si beaucoup aimerait t'avoir en supérieur, d'autres jaloux s'en sont un jour prit à tes protégés. Ils apprirent bien vite que c'était une mauvaise idée et depuis, on sait qu'il ne faut mieux pas embêter tes louveteaux. Tu es quelqu'un sur qui on peut compter, sans aucun doute et de tous, tu es la dernière personne qu'on s'attendrait voir sombrer. Tu t'es faîte force de la nature qu'on imagine presque inébranlable.

Et pourtant. Pourtant, il existe en toi ces doutes qui planent, cet instinct de loup qui te fait peur. Il existe Liam qui te fait perdre tes moyens rapidement. Une parole de lui et tu perds toute maîtrise, tes sentiments éclatants comme des bourrasques, tu doutes de toi, te remets en cause sans raison. C'est parce que tu l'aimes, ça c'est certain, ça te rends presque faible, craintive sur de nombreux points. T'es prête à tout par amour, prête à te consumer s'il le faut, par amour de tes proches, de tes amis, du corps de l'armée qui est maintenant comme une deuxième famille. Pour Liam. Tu oses t'interposer à lui, parfois, mais souvent tu perds tout discernements et agit. Ta franchise est ravalée comme tu grognes à mi-dent, n'osant dire non que si c'est trop pour toi. Tu détestes cette part faible en toi. Mais tu n'arrives pas à arrêter d'aimer. Tu es quelqu'un de foncièrement bon, fondamentalement aimant. Alors tu t'es construite cette méfiance, ce léger détachement qui fait que même à côté, tu donnes l'impression d'être un pas plus loin. Tu sais que tu deviens conne quand il s'agit d'amour que tu redeviens la gamine passionnée que tu étais. Ça te fait faire des conneries.

Alors tu pleures quand t'es seule, te bats contre tes démons et tremble dans ton coin, sans rien montrer aux autres. Comme un loup solitaire, tu t'éloignes pour panser tes plaies.

T'es la dernières personne à qui tu ferais confiance.





Il était une fois...



Toi, t'as toujours cette impression que malgré quelques belles intention, tout finit par déraper un jour et tout va s’effondrer. Par exemple, tu t'en souviens ? L'enfer est pavé de bonnes intentions. Les bonnes intentions, ça peut partir d'un rien, comme un sentiment d'injustice, une envie de rétablir le juste à gros coup de pied dans le derrière.
Tu avais huit ans, t'étais une gamine énergique qui vivait de ses passions dans le petit monde paisible de Bellua. T'étais la fille la plus forte de tout les temps, personne pouvait te mettre KO. T'étais la justicière de ces temps modernes et tu te sentais invincible. Les uniformes qui t'entouraient te faisaient tourner la tête.

Alors, quand un de tes petit voisin est passé en pleur devant la fenêtre de la maisonnette où tu avais grandit, dans une rue populaire mais calme de ton quartier, tu t'es élancée. Tu as vu qu'il reniflait, ton sens de la justice n'a fait qu'un tour et tu t'es planté devant lui, droite, les bras croisés. Que tu sois plus jeune que lui de quelques années ne l'a pas dérangé à déballer son histoire d'argent de poche volé.

« Par qui ? T'as demandé.
- Les trois frères. »

Il reniflait si fort que t'avais à peine compris la suite. Mais t'avais très bien pigé qui étaient les coupables. Les trois frères sévissaient depuis un moment dans ton quartier. Depuis qu'ils étaient arrivés, en fait. Ils étaient trois, grands et forts et ils en profitaient pour faire régner une terreur infantile dont les adultes ne comprenaient pas la gravité. C'était des adultes. Qui font des trucs d'adultes. Tu pigeais rien à ce qui les agitaient et t'avais bien mieux à faire. Comme trouver l'argent de poche perdu.
Ils s'en prenaient jamais à toi, les trois. Parce que t'es une fille, qu'ils disaient.  Parce qu'ils ont peur , savais-tu ! T'étais la plus jeune des trois enfants de ta famille, la seule fille, aussi, t’avais bien du faire valoir tes droits avec tes deux frères. Et dans un quartier militaire comme le tient, c'est par le poings, pas par la matière grise.
Tu leurs avais un jour ou l'autre foutu une raclée, à tes frères, aux trois brigands, et depuis, tout le monde te respectait. Mais cette fois, c'est toi qui allait chercher les noises. T'as laissé la victime là où il était, pressée d'en découdre.

T'as vite trouvé le premier frère. Il s’appelait… il s'appelle… tu sais plus. Tu te souviens juste que tu as un instant étudié la structure dans laquelle il se cachait. Une cabane d'herbe, toute simple, mais joliment élaborée. Mais tu étais une justicière. Alors, instrument du bien, tu te fichais de cette base de méchant, aussi bien élaborée soit-elle. Tu t'es mise à menacer l'autre.  Qu'il sorte ! Ou tu détruira sa base !  
Il a refusé, tu as juste réitéré ta menace plus fort, les brindilles se sont misent à danser.
Encore.
Encore.
Plus fort.
Jusqu'à ce que la cabane se défasse et que l'herbe folles redeviennent plaine ondulante. T'as vu le coquin s'enfuir. Tu l'as poursuivit, tu courrais déjà vite.

Faut-il vraiment raconter la suite ? Celle où il est allé dans la cabane de bois de son frère pour s'y cacher, où t'as menacé, crié de plus en plus fort, aimant ce vent qui faisait bouger tes cheveux, qui te donnait cette impression de puissance et de force ; ce moment où tu as vu la cabane chanceler un peu et les deux qui, de leurs mouvements de panique, ont finit de déstabiliser leurs faible tourelle, qui s’est effondrée à tes pieds. Ils se sont p'tet fait mal dans la chute. Il t'en importait peu, les méchants, c'est fait pour avoir mal, non ? Ils n'ont pas voulu rendre l'argent, tu leur as foutu une raclée.

Tu as poursuivit le dernier jusque dans sa maison. Là, tu savais que ton vent ne servirait à rien. Parce que la maison était solide. Parce qu'il y avait un adulte. Tu ne voulait pas avoir de soucis avec un adulte. Que les soucis d'enfants restent avec des enfants !
Accompagnée des deux frères qui gémissaient, tu les fait entrer chez eux, leur intimant que l'argent te sois rendu, sans quoi, la journée d'aujourd'hui ne serait rien comparée à demain. Toi, tu attendais à la porte. Ils sont rentré et tu as croisé les bras, te questionnant s'ils allaient vraiment, ou non, revenir. Ta petite bouche s'est plissé à mesure que les minutes passaient sans retour. L'impatience t'as fait céder, tu t'es approché de la porte, t'imaginant élaborer un mensonge à base de « je suis une copine » ou quelque chose du genre pour t'introduire dans les lieux. Mais quand la porte s'est ouverte, tu t'es senti bien petite et bien seule.
Ton courage s'arrêtait à un mètre quatre-vingts-dix.

C'était leur père. Il t'a demandé ce que tu voulait. Tu n'arrivais plus à réfléchir et as avoué l'argent de poche volé à ton camarade. As-tu dis des noms ? Tu sais plus, tu te tordais les doigts, faisait des cercles du bout de ta chaussure. C'était la maison la plus pauvre du quartier. Tes parents t'avaient bien dit de ne jamais y aller. Que l'homme était méchant. T'as baissé les yeux. Tu t'attendais pas à ce qu'il te jette à la figure les pièces réclamées. Ça t'a fait un peu mal et ça t'a étourdie, le temps qu'il ferme la porte. Toi, indécise, t'as ramassé l'argent et tu as entendu des voix qui se sont haussées, plus fort que tu ne le pourras jamais, des supplications… et tu les as entendus hurler.
Comme des porcs qu'on égorge.

T'es partie, t'es jamais revenue à cette maison, jamais approchée des trois frères. C'était une victoire bien amère, l'une où sans doute, le mal causé devient alors plus grand que le préjudice initiale. T'en as bien eut conscience.

Les choses se sont agitées, peu après. Le monde des adultes s'est percuté violemment au tient.

Tu avais 10 ans quand d'un coup, ce coin de Bellua ne fut plus Bellua. Tu avais 10 ans quand tu fut séparée des tiens, de tes amis, de tout, que tu te retrouvais perdue dans un décors à la fois familier et que tu ne reconnaissais plus. Cette rue que tu arpentais hier en riant te faisais maintenant peur. Personne pour te sauver, pour te prendre par la main et te faire manger à l'heure, s'occuper à ce que tu sois propre et éduquée. Tu t'es prises en pleine face ta naïveté d'enfant, ta bêtise d'avant et maintenant que tu avais perdu tout tes privilèges, tu te rendais comptes combien tu avais été stupide de ne pas plus en profiter ; en même temps que venait la faim. T'as du te démerder, développant un formidable instinct à la survie, quoi qu'il t'en coûte. Tu as commencer par la mendicité, puis par la rapine, par rendre un service ici et là, peu regardante sur qui demandait ou sur l'activité. T'es devenue super agile à te faufiler, à courir pour pas te faire choper, à te cacher dans l'ombre pour filer. T'as grandit, vachement plus vite qu'en temps normal, perdant vite l'illusion de pouvoir un jour retrouver ta vie d'antan et quoi que ce soit s'en rapprochant. Un trait dessus, c'était bien moins douloureux ; Salut papa, salut maman et à jamais. Tu pouvais plus compter que sur toi.

C'est peut-être pour ça que ton visage a vieillit, plus vite qu'il n'aurait du. T'étais mineur, des passants te reluquaient déjà dans la rue quand tu marchais. Avant, avant, t'aurais fait quoi ? Tu leur aurait mit la main dans la gueule, t'étais invincible ! Maintenant… tu baissais juste la tête et filait un peu plus vite, fermant tes bras sur cette poitrine qui grandissait. Pourtant ça t'a servit. C'est sans doute grâce à tes formes, ton visage un peu mûr et à quelques artifice que t'as réussit à décrocher un job de serveuse à tes 16 ans, un truc stable avec un patron bourru mais qui possédait quand même un bon fond. Il était pas regardant quant à ton âge, ni par rapport à ton passé. Et comment aurait-il pu l'être ? Au fond, ton histoire était semblable à tant d'autre que tu en devenais presque sans histoire.
Tu travaillais avec ferveur, te servant de ce job comme d'une nouvelle chance. T'avais de quoi te payer un foyer -une chambre de bonne-, retrouver une hygiène stable, des horaires, une vie normale. Ça te rendait presque heureuse de voir qu'avec ta débrouillardise, tu pouvais faire feu de tout bois.
T'avais presque pas d'éducation, tu te forçais à compter pour pas te faire avoir avec les paiements. Si un client grugeait, c'était sur tes pourboires que ça partait. T'avais honte de souvent rien piger à ce que racontaient les gens que tu servais. Ils te faisaient référence à un truc, tu souriais et te dépêchais d'aller servir quelqu'un d'autres, plus pour cacher que tu ne connais pas la réponse que parce que tu étais réellement débordée. Tu voyais beaucoup d'uniforme, dans ton bar.
Normal, le pays se militarisait, se préparant à une guerre ; ça, tu l'avais bien pigé, c'est bon. Mais les uniformes ne te faisaient plus rêver, personne n'avait été là pour te sauver, après tout. Les années ont passé, chaque journée t'usant un petit peu d'avantage. Puis c'est arrivé : physiquement, tu ne changeais plus, tu craignais comprendre ce que ça voulait dire et intérieurement, tu te sentais de plus en plus grignoté par ce qui s'offrait à toi. Pas d'éducation, pas d'amis, pas de futur. Comment allais-tu t'en tirer ?

Tu ne savais pas vraiment et tu semblais t'en fiche. Tu te sentais au dessus de tout ça. Ou en dessous. Le jour où tu dû aller donner ton âme, tu y es allé avec un détachement étrange. Tu te disais que le dirigeant ne gagnerait pas grand-chose à t'avoir, c'était certain. Tu en avais entendu parler dans ton bar : une étrange personne, qui se tient debout bizarrement, à l'équilibre précaire. Triste dirigeant pour une triste vie ! Tu la méprisais avec hauteur presque tandis que tu approchais du moment fatidique. Et là, il s'est passé un truc étrange en toi. À un moment, ton estomac s'est noué. Sans t'en rendre compte, tes mains se sont serrée sur ton tee-shirt, comme pour protéger ton cœur, comme si on allait le voler. Plus tu approchais, plus tu appréhendais.
Tu t'es mise à te souvenir de tes discutions avec tes frères ; des super-pouvoirs qu'on peut avoir si on n'a pas son âme. D'avoir rit combien ce n'était pas utile comparé à voler, tirer des laser des yeux ou avoir une super force ! Vous vous imaginiez sorte d'élus, pensiez à ce que vous feriez. Vous aviez même essayé d'avoir des pouvoirs sans l’inconvénient de perdre son âme. Bah ça pas marché, vous étiez super-normaux. Vous vous demandiez si vous pourriez vous débrouiller pour perdre votre âme. C'était des jeux d'enfant. Tu t'es rendu compte combien c'était stupide. C'est stupide, un enfant. Tu es stupide. Aujourd'hui, elle te semblait si précieuse, cette âme.

Quand tu t'es retrouvée face au dirigeant, t'as pas su quoi dire, quoi faire. Tes mains tremblaient tandis que ta bouche s'asséchait. Tu t'étais imaginer mille fois la scène, où t'étais noble et fière, mais là, t'étais juste pathétique et perdue. C'était ça ! Tu pensais t'être trouvé une place dans ce monde et là, tu te rendais compte que ça faisait neuf ans que tu vivotais, t'étais toujours la même paumée qu'à tes dix ans. Toujours aussi conne qu'un gosse. T'avais soudain des questions qui martelaient ta tête brune : est-ce que ça faisait mal ? Est-ce qu'on sentait quelque chose ? Est-ce qu'on en était changé ? Est-ce que…
Pourquoi tu ne t'étais pas préparé plus tôt ? T'avais neuf ans pour voir venir, t'as juste fermé les yeux. Sacré contre-coup.
Alors, quand tu fus face à lui, t'étais pétrifiée, t'avais l'impression d'avoir de nouveau dix ans. T'as presque eut envie de dire que tu étais perdue, mais ta voix est morte dans ta gorge et tu es restée là, bras ballant. D'un mouvement, il a plongé sa main dans ta poitrine et tu t'es mise à carrément flipper. La scène t'a fait écarquiller les yeux, t'a étranglée au point que tu n'arrivais plus à bien respirer. Aujourd'hui, ta seule fierté, c'est de ne pas avoir crié, ni pleuré.
Un sentiment de vide s'est mit à te remplir. Une demi perte de conscience, ou un rêve éveillé. Tu n'est plus sûre. D'autant que tu t'en souviennes, tu as reprit pleine possession de tes moyens, de ta conscience, tu étais dehors, à errer dans une rue étroite. Toujours perdue. Tu voulais revenir à cette époque où tout allait bien. Tu t'es assise à même le sol. Tu as pleuré un moment.

Tu avais l'impression d'avoir terriblement froid.

C'est ton patron qui t'a retrouvé et qui t'a ramené. Il t'a mit un coup de pied au cul pour que tu reprennes ta vie et ça a marché, t'as finit par oublier, arrêter d'y penser et presque avancer, plutôt que reculer. T'as finit par voir qu'on pouvait bien vivre sans son âme et petit à petit, une idée encore adolescente s'est mise dans ta tête. Hey. Pss. Si ton temps s'est arrêté. Si t'as plus d'âme. C'est que tu as ton pouvoir ? Tu t'es mise à le chercher.Chaque jour, c'était ta pause, cet instant où t'étais seule avec toi même et où tu te cherchais. Alors, tu fermais les yeux et pensais à un endroit différent, te demandant si tu y serais… et non, pas de téléportation. Est-ce que tu pouvais contrôler le feu ? Non plus. Faire apparaître des trucs, peut-être ? Toujours pas. Même si c'était frustrant de ne pas trouver, ça te plaisait de chercher. C'était tes moments à toi.  Finalement, les choses n'allaient pas si mal ?

Puis t'as rencontré cette femme de l'armée, Mercedès Grant.

Mercedès était belle. Tellement belle que t'en as eut les joues qui ont rosies quand elle t'as parlé la première fois. Elle était belle, mûre, elle était forte : tu l'as compris quand t'as vu qu'elle parlait d'égale à égale aux autres soldats présents. Elle portait les vêtements de Neverland, riait quand elle racontait où elle était quand l'Ombre a revendiqué cette partie de territoire. Ton oreille indiscrète a perçu qu'elle n'avait nullement détesté ce changement, bien au contraire. Qu'elle fut une des première à jurer fidélité, non pas par contrainte, mais parce qu'elle était tout à fait charmée par ce regain d'animation. T'admirais la force qu'elle dégageait, elle te rappelait un peu toi, quand t'étais gamine. Celle qui domine. Toi, t'étais passée dans la case des victimes depuis bien longtemps.

Tu lui as servit ses consommations, un sourire d'admiration un peu plus large à mesure qu'elle-même te souriait. Son sourire était enjôleur et charmant. Elle avait ce petit magnétisme qui t'attirait, faisait que dès qu'elle voulait un nouveau verre, tu arrivais en quatrième vitesse, prête à répondre à ses besoins ; avec le sourire avec ça.
Est-ce que c'est cette ardeur qui a été mal interprétée ? Tu te le demandera toujours car quand est venue la fin de ton service, que tu fermais le bar avec ton patron, lui souriant un « bonne nuit » fatigué et que tu t’apprêtais à rentrer chez toi, tu l'as croisée dans une ruelle. D’abord, tu ne l'as pas reconnue, ne voyant que le bout flamboyant de sa cigarette. Puis de cette faible lueur, avec tes yeux un peu plus accommodés à la pénombre, t'as perçu les courbes de son visage, sa gorge nue. T'as vite baissé les yeux, aucune chance qu'elle t'attende… si ?
Si. Elle t'a fait signe, t'a sourit. Tu y es allé, mal assurée, car quelque part, tu n'aimais pas mélanger ta vie boulot et ta vie privée. Elle t'a minaudé des mots doux « mignonne, ma jolie » et soudain, son assurance t'a mise mal à l'aise, sa supériorité t'a écrasés, ta timidité t'as étouffée. T'as essayé de partir, c'était pas de son goût. Elle t'as attrapé le poignet et t'as sentis que t'étais vraiment qu'une gamine : tu t'es débattue, as essayé de t'éloigner, tu n'arrivais qu'à te faire mal, à te tordre inutilement le bras. Elle t'as prise le visage, l’approchant du siens tandis qu'elle se passait la langue sur les lèvres. Une main baladeuse t'as touché, tu gémissais, tu disais non, tu suppliais.
Elle t'as passé une main dans les cheveux, t'as presque eut l'impression que sa paume était brûlante tant tu trouvais ça désagréable. Quand elle as appuyé ses lèvres contre les tiennes, tu y as trouvé un goût infecte. La cigarette ? Le reste aussi. Tu as peur, tu as peur !

T'as mordu, c'était ta pathétique tentative pour t'en sortir. T'as senti son sang dans ta bouche, tu te sentais fébrile et tremblais d'une adrénaline terrifiée. D'une main brusque, elle t'as attrapé le cou, t'as plaqué sur le mur avec une telle violence que ta tête y a rebondit, t’assommant presque. Une douleur sourde dans l'arrière du crâne, tu n'as pas prêté attention quand elle portait sa main à ses lèvres, en tirait un peu de sang et te le montrait. Elle aboyais quelque chose, tu répondais pas, noyée dans ton cauchemar éveillé. Elle t'as giflé fort, t'es tombé à terre comme une poupée de chiffon. La peur est revenue, elle étouffait ta conscience. Tu as peur, tu as peur !
T'étais plus humaine, tu tentais de t'enfuir à quatre pattes, le sol te semblait plus mouvant que du sable. Elle t'as foutu un coup de pied dans le ventre, ça t'as fait cracher l'air que tu gardais dans tes poumons qui suffoquaient déjà. T'as perçu qu'elle disait quelque chose comme « personne dit non. » Tu as tellement peur !
Où sont les uniformes pour te sauver cette fois, où sont-ils ? S'ils t'ont pas aidé jadis, c'est pour maintenant, c'est obligé ! Puis y'a eut un nouveau coup qui t'a coupé le souffle, t'as comprit. C'est elle l'uniforme, les uniformes ne sauve pas, jamais, t'es toute seule. T'as peur.

Quelque chose a craqué en toi, tout est devenu noir. Puis d'un coup, t'as plus eut peur du tout.


Quand tu t'es réveillée, tes yeux ont papillonné un instant avant de percevoir la lueur du petit matin. Tes méninges se sont étirés avant que tu comprennes que la nuit était finie. Tu regardais à gauche, à droite, reconnaissait les murs sales de ta piaule et tu soupirais de soulagement. C'était finit, bien finit. Happy End. Tu te lovais dans tes coussins, t'enfouissais dans les draps dans lesquels tu t'étais enroulé comme dans un cocons. Mais t'avais le cœur aux bords des lèvres, tu te sentais mal. Tu t'es levé, presque fiévreuses -à avoir chaud, à avoir des frissons- et t'as titubé jusqu'au coin qui te servais de salle de bain. Là, t'as fais couler un peu d'eau et t'en es aspergée le visage, t'as vu du rouge se diluer dans l'eau qui retombait dans le lavabo. Tu as levé la tête, as regardé le miroir ; t'as vu un loup. T'as eut peur et t'en es tombée à la renverse. Tu t'es relevé, inquiète, as observé le miroir de nouveau et cette fois, c'est ton reflet que t'y as vu. Mais t'étais pas tranquille pour autant. Tu t'observais, tu regardais tes dents rougies, t'y as vu des morceaux de tissus. T'en as reconnu presque la couleur. T'as compris. Ça te fait vomir.
T'as pas voulu savoir ce que tu vomissais, t'as fermé les yeux et t'as vidé ton estomacs dans le noir. Tu t'es remise à trembler avec violence, te sentais sale, affreuse. T'avais des flashs, tu voyais dans des yeux de loups ; une gorge déchiquetée, une femme qui étouffait et crachait du sang. Tu savais, tu voulais plus comprendre. Tu t'es jetée dans ta douche, toujours dans ton draps,  t'as lancé l'eau sans faire attention qu'elle était trop chaude pour toi et tu t'es brûlée. Tu as eut un hoquet et tu t'es mise à pleurer, les yeux ouverts dans le vide, tremblant à en avoir presque des convulsions, claquant des dents, claquant, claquant, clac ! Clac. Clac.

On t'as retrouvé plus tard dans cette position. C'était l'armée qui était venue te chercher. L’assassina d'un des leurs n'était pas resté sans suite et franchement, ils n'ont eut aucun mal à te filer. On a tous une raison de dénoncer son voisin. Un gros loups ne passe pas non plus franchement inaperçu ; plus, la porte défoncée de ta chambre a été une sacré aide. On t'a attrapé par les bras et on t'as soulevée. Tes pieds traînaient au sol tandis que tu n'émettais aucune résistance. On te parlait mais tu pigeais rien. Tu t'es juste dit qu'enfin, on allait p'tet mettre fin à ta vie. Une vie bien merdique, tu pensais à peine, mais te consolais ce ne serait pas un grand mal.

Pourtant, plusieurs jours sont passé sans qu'il ne t'arrive rien. T'étais dans une cellule composée d'un lit et d'un coin toilette, on t'apportait une bouillie infecte tout les jours à laquelle tu touchais pas, pensant qu'on n'a pas à nourrir un condamné à mort. Mais tu mourrais pas. On s’inquiétait presque même pour ta santé. Tes facultés mentale revenaient tandis que tu refoulais les derniers jours et tu essayais de comprendre. Tu avais tué Mercedès Grant, surnommé avec raillerie « mère grand » par ses camarade. Quelqu'un de peu apprécié. Des témoignages parlent d'un loup énorme qui l'aurait égorgée. On estime que ce loup vaut plus que Merc Grant, ordre de l'Ombre.

Chapeau gamine, tu venais de te trouver un Job à vie.

On t'as accordé une espèce de pardon, mais à condition que tu bosses pour ceux qui te pardonnaient. Un deal dont tu n'avais, très franchement, aucun pouvoir de rétractation. Ton nouveau quotidien s'offrait alors à toi.
T'étais une espèce de détenue qu'on entraînait, on te forçait à faire de l'exercice, à avoir une hygiène de vie correcte, on étouffait l'affaire t'entourant et surtout, on tâchait de t'exercer à ce pouvoir. On souhaitait que tu contrôles, on voulait que tu sois fiable.
C'est une sacré rigolade au début, tiens ! Tu savais même pas comment te transformer. T'as eut la mauvaise idée d'être honnête et de raconter cette première fois. Bah, ils ont eut de la suite dans les idées, ceux de l'armée : ils ont recréé la situation.
La première fois, t'as franchement cru que c'était une farce. T'étais dans une cage avec deux gros loubard de l'armée, juste habillée d'un tee-shirt et pantalon de toiles, alors qu'ils avaient des barres en fer et des lames. Une partie de toi se disait que c'était qu'une mise en scène, qu'ils te feraient pas vraiment du mal. T'avais tord. T'as bien morflé cette fois là, et les fois suivantes.
On a reproduit, rien que pour tes beaux yeux, des scènes de plus en plus oppressantes, toujours pour but que tu fasses sortir le Loup qui sommeillait en toi. Et ça a marché, ça devait marcher, car tu savais que ce petit jeu, ils s'en lasseraient. Que si tu n’apprenais pas vite à te transformer à volonté, ils se lasseraient et te jetteraient. Quand tu voyais comment ils te traitaient déjà, alors que t'avais de la valeur, tu préférais même pas imaginer ce qu'il adviendrait de toi si tu la perdais.

Chaque fois où tu te réveillais, avec du sang qui n'était pas tiens sur toi, tu te dégouttais un peu plus encore. Tu vomissais. Pourtant, t'as eut cette envie folle de survivre qui a fait que tu t'accrochais, qui te faisais prendre le partit de t’exercer toi même. Pompes, abdos, tu t'es mise à travailler dur pour ne plus être une victime. Tu arrivais même, des fois, à te défendre avant de céder au loups, dans tes séances d’entraînement. Et quant tu te réveillais, le sang t'émouvait de moins en moins.
Quant au loup, tu commençais à comprendre comment le faire venir. Tu savais comment revenir à ce crac initial, à te laisser sombrer… mais jamais tu ne pu le maîtriser. Puis un jour, on a bien vu tes efforts. T'avais développé ton petit syndrome de Stockholm, toi aussi, tiens. Hilarant ! Tu faisais de plus en plus pour plaire, tu te surprenais à sourire quand tu fichais un type à terre, tu étais obéissante et était désolée de ne pas contrôler totalement ton pouvoir. T'as alors retrouvé un truc que t'avais pas eut depuis longtemps, qui traînait par terre et était sale comme une chaussette oubliée. Ta liberté. T'as franchement pas su quoi en faire, t'es restée dans l'armée, car finalement, t'appartenait enfin à quelque chose, t'avais ta place d'engrenage dans cette machinerie qu'est l'armée. Tu n'étais plus paumé. Et c'est bien ce qui était escompté. On t'a laissé avoir ton appartement, on t'a payé. T'en as profité pour acheter des livres, encore et toujours plus. Tu te sentais si sotte que ça te frustrait, que tu as passé tout ton temps libre entre entraînement et lecture. Tu t'es forgée une personnalité douce, forte, cultivée, tu t'es même prit du temps pour arrêter de te détester.
Apprendre à t'aimer, même.
Ça t'a prit des années, ça t'a mit une pression de fou et une discipline de fer. T'étais alors pas quelqu'un de drôle avec lesquels les gents aimaient bien traîner. Mais t'étais gentille, alors, on te détestait pas non plus. Les années ont passés, les as-tu vues se dérouler sous tes pieds ? T'es-tu rendue compte de ta situation qui évoluait ? Tu t’entraînais toujours plus dur pour être parfaite, pour que, tu l’espérais et l'espère toujours, on ne fasse plus appelle au loup, mais plutôt à Meryl.  

Et des fois, quand t'en pouvais vraiment plus, dans tes journées libres, tu laissais tout derrière toi, tu allais marcher -loin loin loin- tu t'en foutais des frontières, tu t'en foutais des tentions, tu t'en allais juste. Tu revenais, toujours, mais le temps d'une journée, t'étais vraiment libre. Dans ces fuites, tu retrouvais presque des vieux copains, tu rencontrais de nouvelles personnes… puis te l'a rencontré lui, sur une terre neutre.

Liam Vermillon. T'as franchement pensé que c'était un nul. Mais un nul attachant, qui avait un petit quelque chose qui te déplaisait pas non plus. Tu le trouvais un peu gauche, dans le fond et tu lui excusais tout. Lui qui était solitaire, t'aimais être à ses côtés. Quand vous étiez séparés, tu n’attendais que de le revoir, tu te demandais s'il allait bien. Tu connaissais pas sa situation exacte, tu t'en fichais, tu voulais juste sa présence à tes côtés, tu pensais à lui sans arrêt. Rien que de voir son visage, ça te faisait sourire. Ça faisait longtemps que t'avais réapprit à sourire, mais pour une fois, c'était tout ton cœur qui était en joie. Merde, tu l'avais carrément dans la peau.
T'étais amoureuse et quand t'y repenses, tu te dis que ça devait être la cas dès votre première rencontre. Puis y'a eut un moment où t'en pouvais plus de plus savoir s'il y aurait une prochaine fois, s'il n'avait pas d'ennui quand t'étais pas là, s'il mangeait bien. Tu l'as fait venir chez toi, tu lui as offert ton toit et toi, aussi. Pour la première fois, les caresses ont été agréables, les baisers n'ont pas eut un goût amère, les étreintes n'ont pas été étouffantes. Tu l'aimais, malgré tout.

Et tu l'aimes encore, à en crever. Alors quand là, il pointe le bout de son nez car il t'as cherché, il a couru pour te retrouver à en être tout rouge et à même pas réussir à dire un mot... tu te redresse, tu vas à lui et le serre fort contre toi. Tu lui demande pardon, tu l'embrasses, tu te laisse aller. Il t'en fait voir de toutes les couleurs, tu lui en veux parfois, sans parvenir à te passer de lui. T'aimes pas cette impression qu'il se sert de toi comme d'une chose plutôt que comme un être aimant. T'aimerait qu'il te voit mieux, te considère mieux… Pourtant tu fais rien contre lui.

Dans ses bras, tu crois aux happy-ends.




♦ Pseudo HRP? : Whity, Pino, Wolfy y'a le choix, non ? :3
♦ Parles nous de toi : On prend la même et on recommence. Et de trois !
♦  Comment es-tu arrivé ici? : En un seul morceau.
♦ Quelque chose à nous dire? : Bon, j'espère que je n'ai pas fait trop de fautes d'interprétations. J'ai essayé de rester vagues sur la prise de Bellua par l'Ombre parce que je sais pas, finalement, comment ça c'est vraiment passé (et je me disais que Snow allait plus en pouvoir si je venais encore toquer à sa boite à Mp)… plus, j'ai fait très courts sur la rencontre avec Little pour en discuter avec ce dernier et pas imposer le tout. J'espère que ça ira. Sinon, je modifierai, évidement o/
Ah, et dans les fiches de prédefs, sur la relation Wolfy de Little, y'a marqué « Il est très jaloux et ne supporte pas qu'on l'approche de trop près »… mais j'ai pas réussi à savoir qui est le jaloux 8D Alors, j'ai dit « un peu des deux ».
ça en fait des choses à dire ! Oui, je suis bavarde ! ^.^
♦  Avatar : un original de Yuumei.
♦  Rang désiré : "Allons-y Allonzo !" (ou la référence avec un lien compliqué à trouver) comme sugéré <3

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Dahmer's girl
Mizz Delivrance
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Dahmer's girl
2/7/2015, 17:29
Messages : 22
J'aime cette fiche, ma tendre '^'

"Allons-y Alonso" ? 8D
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Allons-y Alonso
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Allons-y Alonso
2/7/2015, 22:53
Messages : 55
Age du personnage : 22 ans
Pouvoirs / Particularités : Transformation en Loup/Un vent souffle quand elle parle

Origine : Trois petits cochons, chaperon rouge [...]

Orientation sexuelle : Little uniquement (Demi-sexuelle)

Merci, ça me fait vraiment plaisir que la fiche te plaise ♥
J'espère qu'il en sera de même pour Snow.
Eeeet... "Allons-y Alonso" en rang ? Je comprends la référence à...
MAIS SI. Dr Who avec Rose et Bad Wolf, c'est ça ? ha ha xD
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Red Queen
Snow White
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Red Queen
2/7/2015, 22:55
Messages : 1646
Age du personnage : 19 ans
Pouvoirs / Particularités : Contrôle des ronces empoisonnées et vol de vie.

Origine : Blanche Neige- Alice in Wonderland

Orientation sexuelle : Homosexuel

Je dis +1 pour la ref °^° (En plus c'est rigolo car sur l'autre forum c'est Mizz qui jouait Wolf 8D)

Enfin ton TC <3 je lis ça dès que j'ai un moment !
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Allons-y Alonso
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Allons-y Alonso
3/7/2015, 00:15
Messages : 55
Age du personnage : 22 ans
Pouvoirs / Particularités : Transformation en Loup/Un vent souffle quand elle parle

Origine : Trois petits cochons, chaperon rouge [...]

Orientation sexuelle : Little uniquement (Demi-sexuelle)

Muhuhu ♥ On n'a qu'à partir là dessus.
Et ça ne presse pas, j'ai quand même deux autres comptes, donc, prends ton temps ^^ (Plus, après, t'en auras un 4ème à lire, houéhouéhoué)
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Rotten minds
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4/7/2015, 13:34
Messages : 56
Fufufu ~ My god j'adore ce que tu as fait de Wolfynette <3 Cette fiche est superbe! Par contre si son temps ne s'est pas arrêté elle ne peut pas se séparer de son âme, donc pas de pouvoir

Faudra que je fasse un descriptif pour la prise de Bellua, ça serait pratique =w= ... si j'oublie pas xD
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Allons-y Alonso
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Allons-y Alonso
4/7/2015, 14:55
Messages : 55
Age du personnage : 22 ans
Pouvoirs / Particularités : Transformation en Loup/Un vent souffle quand elle parle

Origine : Trois petits cochons, chaperon rouge [...]

Orientation sexuelle : Little uniquement (Demi-sexuelle)

8D
Ah. J'avais jamais compris que l'âme ne pouvait être retirée que quand le temps s'était arrêté, tiens. ça me met la chronologie en l'air, ha ha ha.
:ahahah:
BON, ce n'est pas un problème *auto-conviction*.
Mettons que je mette que c'est bien à ses 10 ans que Bellua est prise par l'Ombre. ça me laisse 12 ans pour caser des trucs (dans l'idéal, j'aimerai bien garder l'idée qu'elle a vu Bellua sOmbrer -OHOHOH, le JEUX DE MOT !- quand elle était petiote... mais s'il faut, je changerai, hein ! ).
Durant 9 ans, elle vit de rapine, service puis de petits boulots.
19 ans (et elle fait un peu plus), c'est la sale année pour elle : son temps s'arrête, l'Ombre lui prend son âme du coup et elle boulotte Merc Grant. L'armée la récupère et tout ce que j'ai écrit après.
ça laisse plus ou moins 2-3 ans pour qu'elle passe de cadet à ainée dans l'armée. Limite, elle pourrait être une jeune ainée. Et c'est avec son ancien ainé qu'elle buvait un verre (je n'ai aucune notion d'en combien de temps on passe de cadet à ainé à Nain-vert-land ♥️).

Est-ce que ça pourrait coller ou pas du tout ?

En tout cas, ça me fait plaisir si cette interprétation te convient. Merci pour le commentaire :)

Et oui, du boulot en plus :p
Faudra que tu fasses un nouveau coin "les chroniques de Wonderland" où les gens écrivent des histoires passées de leurs persos et toi des pays, ce sera merveilleux.
Moi je crois que je vais me relire un peu tout le contexte pour plus faire d'erreur à la con ! x)
PS : tu pleures si je te dis que j'ai aussi finie mon autre fiche ? (mais elle est plus courte)
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Rotten minds
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4/7/2015, 15:21
Messages : 56
Oui c'est parfait :3

Et ouais ça pourrait être chouette faudrait voir comment organiser ça x)

Me semble que la partie sur le temps avait été virée à la màj sans que j'y fasse gaffe, faudra que je trouve un coin où la mettre xDD

Et non c'est super! *w* T'as bien bossé /o/
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Dahmer's girl
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4/7/2015, 16:42
Messages : 22
BRAVOOO )o)

*va remplir la fiche : "a faire" dans les stickers, comme ça..zou )o)
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Allons-y Alonso
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Allons-y Alonso
4/7/2015, 17:37
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Pouvoirs / Particularités : Transformation en Loup/Un vent souffle quand elle parle

Origine : Trois petits cochons, chaperon rouge [...]

Orientation sexuelle : Little uniquement (Demi-sexuelle)

Ok, je te préviens dès que j'ai finit les modifs (et mettrais les changements en gras, que tu te retapes pas la relecture. Journée de bonté ! ) ! =)
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4/7/2015, 23:07
Messages : 56
Héhéhé d'accord et merci! /o/
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Allons-y Alonso
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Allons-y Alonso
5/7/2015, 20:09
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Origine : Trois petits cochons, chaperon rouge [...]

Orientation sexuelle : Little uniquement (Demi-sexuelle)

C'est changé, Chef ! o7 (smiley qui fait un salut.)
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Red Queen
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6/7/2015, 09:50
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Origine : Blanche Neige- Alice in Wonderland

Orientation sexuelle : Homosexuel

Blblbl •w• j'aime beaucoup les ajouts j'aurais juste une petite remarque, peut de gens savent que l'ombre est en réalité une jeune fille après wolfynette aurait pu le comprendre a l'odeur *sort* mais si tu pouvais juste changer le jeune fille par personne ça serait parfait <3

En attendant je te valide déjà par ce que c'est un détail et que je fais du favoritisme (et surtout que je te dois toujours un début de RP xD) je te met t'es couleurs des que j'arrive au taf et tauras pas mon super copy/paste par ce que sur tel c'est galère mais... *vomit quand même des arcs-en-ciel*
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Allons-y Alonso
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Allons-y Alonso
6/7/2015, 12:34
Messages : 55
Age du personnage : 22 ans
Pouvoirs / Particularités : Transformation en Loup/Un vent souffle quand elle parle

Origine : Trois petits cochons, chaperon rouge [...]

Orientation sexuelle : Little uniquement (Demi-sexuelle)

Merci chef !
Pas de favoritisme, j'ai changé ça avant le copy-past, hé hé. Puis quant au jeu du, je peux aussi le commencer, hein !

Par contre, ça m'amène à une petite série de question (j'ai pas encore relu tout le contexte, n’hésite pas à me dire "va lire" au cas où). Et oui, ENCORE ! :D

J'ai compris que l'âme détenue en otage, c'est un moyen de pression, ok o/
Mais par exemple, pour un Alice, c'est le passeur qui rencontre le mort et qui l'emmène dans son royaume. (tiens, déjà, est-ce que le passeur colle l'Alice jusqu'à l'emmener face au dirigeant pour que ce dernier face son affaire ? ou y'a d'autres trucs ?) -à quand le guide du passeur ?!-
Pour un danjan'thé... est-ce que c'est aussi quelqu'un qui emmène ? Ou le danjan'thé est gentiment convié ?
De même, il n'y a que le dirigeant qui peut récupérer l'âme, c'est bien ça ? (et Il en fait quoi après, d'ailleurs ? Il le colle dans un carnet de timbre ?)
Pour Petra, ça voudrait dire qu'elle a vu passer touuut Neverland qui certes, est un pays plutôt jeune, mais où personne -ou à quelques exceptions- n'aurait vu qu'elle est une demoiselle ? Parce qu'elle se fait un trip Palpatine encapuchonnée ?

Moi ça me va, hein ! C'est juste que j'aime bien TOUT comprendre quand je suis sur un forum. C'est ce qui fait de moi une joueuse chiante :siffle:

Amour et paix sur toi ♥️
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Red Queen
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6/7/2015, 22:16
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Origine : Blanche Neige- Alice in Wonderland

Orientation sexuelle : Homosexuel



Tu es validé!

Hell'come, te voilà officiellement membre du forum! Désormais tu ne pourras plus partir.... MUAHAHAHA!
Maintenant que tu es ici chez toi penses à recenser ton avatar et ton personnage, ton pouvoir. Aussi, tu pourras demander une maison, ou encore chercher des copains pour RP.
Et puis c'est tout, j'espère que tu te plairas parmi nous, n'hésites pas à voter sur les top-sites et à nous faire de la pub autour de toi!


°^° toujours des questions *décède*
Alors voui, en général le passeur colle l'Alice, surtout ceux des nains et de crimson par ce que voilà hein, mais il arrive que des Alices s'échappent, et le guide du passeur... viendra... un jour... peut-être... *décède encore une fois*
Pour le déjan'thé c'est dans la description des races, temps qui s'arrête > lettre des factions intéressés, puis harcèlement pour certains, s'il ne rejoint aucune faction > paria, rejeté ou chassé blablabla °^° (voui je meurs de fatigue mais je veux au moins répondre à tes questions avant de filer xDDD) et pour ceux issus des livres c'est pareil sauf si quelqu'un a demandé à ce qu'ils en soient extraits, dans ce cas la personne ayant fait la requête les laisse gambader librement, les kidnappine et si c'est un dirigeant qui manquait de sujets bah... Il lui pique son âme sans se faire prier °^°
xDDD le dirigeant est l'équivalent d'un talisman vivant si on veut, il les stocke en lui, et voui toooooooooooooout Neverland est passé devant Petra, sauf ceux qui étaient à Bellua lors de sa prise (cf. contexte et tout le blablabla, si un royaume est annexé les âmes sont transférées au nouveau dirigeant) et ouaip TGCM °^° et plus sérieusement, elle s'en approche pas tant que ça hein, Petra reste à l'écart des gens et lorsqu'elle leur prend leur âme c'est expéditif elle prend pas le thé avec non plus :3 (elle tire son coup et pis s'en va /poutre/)

Et je vais m'enterrer maintenant <3
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Allons-y Alonso
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Allons-y Alonso
7/7/2015, 13:06
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Merciiiiii !♥

Mais comme Sig, j'aurais pu attendre, tu sais :3 Mais c'est super gentil d'être passé et d'avoir encore répondu à mes questions. Un jour, je serais à court, va ! Et je pourrais te donner des coups de mains pour rédiger des trucs, si tu veux !

Et repose toi bien quand même, je me sens coupable de te tourmenter ainsi, moi, à force évè
J'te laisserai te venger envers White. *

*Offre limitée et soumise à condition. Voir le règlement qui n'existe pas encore.


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