[Les bulles sortent de ses oreilles :)
Houuuuu, Mr tree ! Un coupain retardataire !
Pardon d'avoir prit si longtemps. La prochaine fois, si je mets trop de temps à répondre, sautez mon tour !]

Huuuu, il s'en passe des choses intéressantes ! Je ne suis pas le seul touché par le thé et mes yeux brillent de malices tandis que je vois le nouveau coup tordu des FTWhat qui prend toutes ses couleurs.
Splendide, splendide !
Mais rassurez-vous mes amours, comme nous sommes dans le même bain, je ne dirais rien, gardant tout pour moi, Kiss ! J'vous love.

Sauf toi, le brun. Tu ne réponds pas, et sache que je le vois bien. Tu détournes la conversation sur ton mouchoir brodé (MyZeus, qui n'utilise pas encore de mouchoirs jetable de nos jours?!) et j'y observe les initiales. Oeil de Lynx, mec. Il en faut pour repérer les imperfections quand on fait un soin du visage. Sauf que ça m'aide pas dans l'immédiat et ça me frustre un peu. Mes compagnons sont-ils si peu curieux ?

Mais plus curieux encore, qui me fait perdre mon air réjouit par une surprise entière, voilà un nouveau venu. Une belle plante (LOL) qui se prend les branches partout.

OhMyZeus, j'en ai vu, des trucs, mais ça, c'est… étonnant ! J'en attrape ma tasse vide, pour cacher l'air de con que je peux avoir pendant deux minutes (la classe avant tout). Mais voilà qu'au moment de la porter sur mes lèvres, cette dernière accourt dans un autre sens, comme moi lors des soldes quand j'ai repéré un petit haut trop chou, mais pour aller vers le tronc d'arbre. D'autres céramique ne se font pas prier pour y aller, agressant notre pauvre visiteur. Je regarde mes voisins, mais aucun ne semble vouloir se faire une session Lynchage de branchage à coup de céramique plutôt qu'à coup de cailloux. J'essaye d'attraper ma soucoupes, mais elle se fait la malle et s'écrase contre le feuillage.

« Oh, pardon ! » Chui's quand même désolé pour toi, Vielle branche, toi et ta gueule atypique, tu vas croire qu'on veut pas de toi. Mais j'te jure que si ! « Mon pauvre chou ! » une petite bulle mauve s'en va « Le thé semble en vouloir à tes racines ! Mais reste et sois le bienvenu quand même, hein ! Moi c'est Jack. » Avalanche de bubulles multicolores, c'en est 16 qui éclatent de mes oreilles. J'entends presque rien, avec le bruit de bain à bulle qui s'agite dans mes tympans. "J'voulais pas lancer la soucoupe. C'est le thé, j'pense." 7 nouvelles bulles.

Best Worst excuses ever.

[HRP : Nulle inquiétude, le sujet est là pour qu'on se marre avant tout ^^]

Parmi les convives s'ajoute une nouvelle plante verte.

(Tu vois, Cupidon, moi aussi, je peux me mettre à ton niveau.)

En temps normal, je n'aurais pas porté d'attention à l'étrange chose qui venait d'arriver, occupée comme j'étais à boire mon thé. Mais au moment où mes lèvres se posèrent sur la tasse, celle-ci s'envola de mon emprise et partit se coller sur notre nouvelle... plante verte (haha). Je hausse un sourcil, mon sourcil très fin partant vers mes tempes, bougeant sur mon front comme s'il était doué de volonté ; bref, tout ça pour dire, chat-on que mon expression était quelque peu contrite. Lorsque la plante verte s'écrasa sur la table, emportant sur elle la faïence alentour, je ne bougeai pas d'un cil. Je profitais d'avoir les mains libres pour prendre une serviette, et nettoyer le petit surplus de rouge à lèvres s'étant déposé sur la commissure.


Et à ma grande surprise, je vis mes pensées s'inscrire sur son écorce. Autant que je devais contenir ma salive corrosive... ou du reste, je devais me transformer en bisounours fade, afin de ne pas paraître trop cruelle. Mais... haha, ché-ri, entre la cruche des glaces, le roi dissimulé et gothique, mon tendre Cupidon, et ce rouquin prépubère.

Ah... je soupirai, et puis je décidai de laisser ma vraie nature revenir ; tu vois, cha-ton, être quelqu'un de détestable, c'est tout un art. Je me relevai, et prenant ma cigarette, je m'écartai. Je posai mes yeux sur la plante verte, je déclarai alors :

« Le brûler résoudrait son problème, j'aime danser autour d'un feu de joie, poil à la soie. »

La méchanceté ? C'était purement gratuit avec moi. Je souris, lentement, puis j'ajoutai avant que le papier toilette à branche ne s'offusque :

« Je plaisantais, poil au palet. »

Enfin...

Ché-ri... au moins, ça amenait un beau bordel, que mes sens de vieilles femmes dénigraient. Je tournai autour de la table, mes talons claquant au sol, tandis que je tentai d'aider la plante verte. Je pris une tasse que je tirai de toutes mes forces, mais quand je pu enfin la décrocher de sa branche, mon bras se retrouva brutalement attiré sur Mr. Tree. Je la relâchai aussitôt pour ne pas me faire emporter, et tomber. Je reculai alors en roulant mes hanches maigres.

« Que tout ceci est... ennuyeux, poil aux cheveux. »

Des fleurs, des plumes, et des feuilles. Martin commençait à se dire que tout ceci était sacrément merdique ; d'abord, il éternuait de plus en plus fort, et plus il éternuait, plus les plumes poussaient sur sa mâchoire. Et plus les plumes poussaient, plus il éternuait. Avec la sensation à chaque fois de cracher ses poumons par les narines, il en avait les larmes aux yeux. Il battait des cils, il faisait ce qu'il pouvait pour calmer sa crise d'éternuement, mais autour de lui, les plumes s'envolaient à chaque fois qu'un « ATCHOUM » perforait sa poitrine. Il mordit sa lèvre inférieure, et lorsque l'Arbre arriva, il s'éloigna aussitôt.

Mauvaise idée, très mauvaise idée. Je n'avais rien contre les arbres, je pouvais même m'entendre avec eux, mais... là, non, c'était tout bonnement impossible. Je reculai de plusieurs pas, sentant mon nez picoter le long de son arête jusqu'à dans les narines. Je fermai les yeux, je basculai la tête en arrière, et j'éternuai encore plus fort. C'était pire qu'un hoquet, là, ça finirait par me rendre dingue.

De plus, les plumes poussant sur sa mâchoire et sous son nez le grattaient fort. Le plumage était épais, et peu à peu, tandis que Martin éternuait comme un forçat, une moustache multicolore poussa sous son nez, et dessina le contour de sa mâchoire. Il tentait de les arracher, à bout de patience, tandis que la mégère essayait de reprendre la tasse de thé collé à Mr. Tree. Il s'éloigna de plusieurs pas, faisant ce qu'il pouvait pour calmer ses éternuements. C'était le genre de choses pouvant lui faire perdre patience, si bien qu'il craignait de se transformer par mégarde ; sa nature draconique était un secret.

Quelque chose dans mon regard change, tout doucement, sans que je puisse le contrôler. Et on perd tellement bien le contrôle, tous les deux, Narrateur que ça se ressent dans ton récit. Mes iris deviennent orangés, je sens que c'est la merde. Mince ! Raaaah !

Mais alors qu'il sent qu'il est sur le point de révéler sa vraie nature, Martin éternue de toutes ses forces sur Rebecka et Red King. De la morve rousse leur tombe dessus, il en mal dans la poitrine ; il pose sur eux un regard désolé, mais il n'a pas le temps de passer à autre chose. Une nouvelle volée de plumes apparait sur lui, et de désespoir, il se laisse tomber au sol. Il plaqua ses doigts sur son nez, le pinçant dans l'espoir de calmer ses éternuements, mais... toujours pour une courte durée. Au moins, il restait l'humain roux dont il appréciait la forme. Cependant, alors qu'il avait pas loin de lui la demoiselle qu'il cherchait à séduire, il éternuait des vagues épaisses de morves et de plumes devant lui.

Au moins, quand je vois l'arbre qui est un véritable aimant à porcelaine, je me dis que ma situation n'est pas aussi merdique.

« ATCHOUUUUUUUUUUM ! »

Hum, la situation commençait à devenir un peu gênante, et on pouvait lire dans ses sourcils son désappointement. Le roi me reprit dans sa main où était déjà le mouchoir, nous évitant de voltiger sans support.
C'est ainsi qu'un individue en bois arriva... Oh il n'était pas fait que de bois, et la vision du sang dans un arbre n'était guère courante, même pour un monde tel que Wonderland. Certaines plantes en avaient, mais peu sont des êtres vivants dotés d'un cœur, en l’occurrence, de plusieurs, et peu discutaient, se déplaçaient, ou réfléchissaient, tel un être humanoïde. Et quelques secondes plus tard, voilà la tasse de notre souverain collé à cette chose à branches, qui finit par briser la table, s'écroulant dessus. Il parcourait les flux de sang lumineux dans l'arbre de ses yeux scintillants, avant de remarquer que des écrits apparaissent sur l'écorce de cette chose. Des phrases bien construites visiblement, mais qui n'étaient pas dites tout haut, mais pensées très fort. Cela venait-il de l'arbre ?... Si il devait écrit toutes ses pensées, cela devait être très contraignant... Ou es-ce juste les pensées négatives?... es-ce que ça s'applique aux autres ici présents? Le roi y comprit?... Hum, néanmoins nous passeront sur le fait que le jeu du "qui est qui" était finalement terminé. Les masques tombaient peu à peu, et au moment où le roi se faisait ses réflexions, Il se fit éternué dessus, rien que cela... Il regarda cette fois le rouquin, levant un sourcil, de plus en plus désappointé, car ruiner ses vêtements était des plus déconcertant, même si il avait de l'estime pour cette personne, qui l'amusait beaucoup depuis le début qu'il l'avait rencontré. Visiblement, le mouchoir n'allait pas aider ce pauvre Martin se disait le roi. Mais ruiner son image est bien ce qu'il détestait le plus. Parlant d'image... Le rouquin eu les yeux qui changèrent subitement de couleur, ce qui cachait quelque chose de forcément intéressant. Ah, tant de personnalités a découvrir et pourtant, il fallait se changer cette fois.

"Hum, et bien, cette situation est plutôt incommodante..."

En temps normal il aurait d'abord proposer de quoi retirer la saleté à la lady à coté de lui, politesse oblige, mais cette option n'aurait été qu’inutile étant donné les dégâts actuels. Il se leva, se demandant si il devait confirmer son identité cette fois, ou si il devait les quitter. La première option serait-elle fuir un moment d'amusement de plus, une opportunité de briser l'ennuie, ou éviter que les choses n'empires... Et la seconde serait-elle risqué pour rien, serait-il plus sage de ne pas prendre de risques?... Oh voyons, le Roi Rouge aime jouer, mais pas perdre cela dit, alors il claqua des doigts et deux serviteurs du royaume rouge qui l'accompagnait, jusqu'ici simplement disparu entre les murs, apparurent d'un coup, lui changeant sa veste, et tendant un nouveau mouchoir, que lui même tendit à la jeune femme, suite à quoi ils disparurent aussitôt, tellement discret face à leur roi qu'on aurait pu pensé à un simple rêve.

[Omg pardon j’ai eus aucune notification comme quoi vous aviez tous répondus, my bad !]