« I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours. »
Lewis Carroll
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Un morceau d'éternité - Feat Hikaruga
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Un morceau d'éternité - Feat Hikaruga

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Stratège des Ombres
Icare
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Stratège des Ombres
20/8/2015, 03:00
Messages : 87
Age du personnage : 19 ans apparent
Pouvoirs / Particularités : Particularités phoenixiennes / Clairvoyance

Origine : Mythe d'Icare

Orientation sexuelle : Minosexuelle ♥

Habitation : Cîme d'Onyx

Fiche de personnage : https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2015/14/1428248133-katarina.png

Un morceau d'éternité
« Né un lundi »

Les pâles éclats du soleil matinal transcendaient le dôme verdâtre de cet agglomérat de feuilles et de branches, laissant se dessiner sur le sol préservé de la chaleur étouffante de l’astre implacable les ombres des résidents de ces géants de bois. Le cycle primal se répétait de nouveau, inlassablement, et au travers de mes paupières closes, je sentais la forêt s'éveiller hectare par hectare, une symphonie qui aurait pu sembler conduite par le chef d'un orchestre de grillons et de fanes se déhanchant au rythme d'un doux zéphyr, tant elle semblait mue d'une irréelle harmonie

« Baptisé un mardi »

La rosée s'écoulait de ces membranes percées d'ostioles, de ces longs doigts fins qui apportaient aux colosses l'essence même de la vie, le souffle créateur, celui que j'inspirais doucement à mesure même que ma gorge relâchait dans l'atmosphère un soupir désabusé, alors que ma frustration s'élevait en une fine buée opaque a mesure que je me souvenais de la raison de ma présence en ce lieu, bien à l'écart de la Ville, effleurant sur son passage l'épais feuillage de cette forêt inconnue. Et alors que l'unique goutte qui y perlait chuta de ses hauteurs et termina sa course sur mon front, j'ouvris les yeux sur un paysage de la même couleur émeraude que les iris de mon ancienne amante, envolée à mon reveil.

« Marié un mercredi »

Seule, hissée sur mon perchoir de pierre au beau milieu d'une clairière, j'observais le monde dans sa beauté la plus pure, la plus nue, dénuée de toute pudeur, à l'instar des dryades, invisibles, qui dansaient aux alentours alors que le vent soufflait entre les arbres, laissant les rayons d'Hélios conter l'histoire des temps anciens sur ce support végétal, et les nymphes se mêler aux eaux miroitantes du lac en contrebas, leur peau nacrée illuminée par la lumière de l'aube triomphante.

« Malade un jeudi »


Mais le calme ne peut être éternel, tout silence se doit d'être brisé, et c'est un concert de soupirs murmurés et de craquements étouffés qui se joignit à celui, tout aussi atroce, des plaintes et des cris de ceux qui prirent racines en ces lieux depuis bien des décennies. Une bête traquée par son supérieur, l'échelle alimentaire ordonnée par dame nature ? Que nenni, qui viendrait mourir dans cette forêt ? Personne, mais s'y égarer …
C'était bien cela qui faisait s'envoler les rapaces de jais, ces spectateurs morbides, et c'est leurs cris qui résonnaient dans la forêt tel un adagio funeste.
Celle que j'attendais venait d'arriver.
Alors, enfin, je descendis de mon trône de reine de pacotille, et je m'élançais à travers les bois.

« A l'agonie un vendredi »

Les ronces peinaient à ralentir ma marche en déchirant mes vêtements blanchâtres, ces mêmes vêtement qui reflétaient la lumière alors que la torque d'argent qui trônait sur ma poitrine la réfléchissait des milliers de fois, éblouissait chaque recoin sombre à chaque pas que je faisais, effrayait des prédateurs qui n'étaient point ceux que je recherchais à chaque fois que mes talons écrasaient le sol brunâtre où se tapissaient ceux dont ils se repaissaient. Et ce n'est qu'à l'instant où un autre reflet, plus obscur que ceux dont j'étais la dépositaire, me parvint à travers la flore, que mes yeux de la couleur de l'océan meurtrier exsudèrent à leur tour d'un éclat semblable à celui du char d'Apollon, illuminant l'ensemble de mon visage de cette lueur chatoyante teintée d'amusement tandis que l'adrénaline due au Jeu s'écoulait dans mon organisme, réchauffait mon cœur, et traversait mes membres jusqu'à atteindre la paume de ma main hâlée.

« Mort un samedi »

Et la Flamme la franchit, ses filaments rougeâtres se condensèrent au centre de ma paume, jusqu'au bout de mes ongles tendu vers celle que je venais d’apercevoir, et c'est lors qu’enfin l’énergie me sembla être à son paroxysme que je la relâchais, qu'elle fusa dans l'air aussi vivement que la foudre, lance divine de Zeus venue s'abattre sur le sol devant la pauvre martyr égarée, embrasant une bûche de bois mort, laissant les flammes vers la demeure des dieux en illuminant la clairière.

« Enterré un dimanche. »

Et le bois mort s'effrita doucement, morceau par morceau, sa carapace d’écorce impie s’évapora aussi sûrement que les braises se libéraient, au point que j'en avais presque envie de les tenir entre mes doigts, des pans entier de ce géant décédé semblèrent se détacher en millier de parcelles avant de s'envoler vers un lieu inconnu, l'après vie. Que ce soit dans les profondeurs du Tartare ou bien l'endroit où résonnent les cloches du salut, cela semblait préférable à cet état horrible de décrépitude, entre deux personnes vouées à se rencontrer, sous l'impulsion d'un Destin et d'un morceau de papier.

« Ainsi finit la vie,  de Solomon Grundy »

Et alors que les cendres se dispersaient de la même manière que le ferait la fumée d'une cigarette, mon menton indiqua à la personne en face de moi que je l'avais effectivement remarquée, au sein de cette forêt ombragée, alors que mon attention entière se retrouva accaparée par celle qui avait, apparemment, reçue la lettre par laquelle je l'avais conviée en ces lieux.

« Tu dois être ma nouvelle recrue. »


Je plantais mes yeux dans ceux de la femme que je pouvais désormais voir, dans l'ombre des dieux protecteurs de la forêt, alors que le feu saphir qui encerclait mes prunelles se rivait dans celui qui consumait les yeux de la demoiselle.

« Et c'est la première fois que nous nous voyons, n'est ce pas ? »


Qu'aurais je du faire alors ? M'incliner en gage de respect et de bienvenue ? Il en était tout bonnement hors de question, nullement devant l'une de mes subordonnées. Je me contentais de m'approcher doucement, louvoyant vers la nouvelle résidente de la Cîme d'Onyx, croisant les bras sur ma poitrine pour retenir tant bien que mal le tissus que les épines n'avaient nullement épargné, d'avantage par peur de ressentir le Froid que par égard pour la nouvelle venue et ce que pourraient apercevoir les orbes sous ses chastes paupières. Je lui avais donné rendez vous dans un lieu calme, propice aux longues discussion, mais je l'avais fait par obligation, par respect de l’étiquette et si elle ne pouvait convenir, elle finirait comme toutes les autres, utilisées puis jetées dans la Fosse.

« On me nomme Icare, stratège de l'Ombre et maîtresse des léviathans, je suis ravie que nous nous rencontrons enfin, mademoiselle … ?  »


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Anonymous
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20/8/2015, 09:05
Cette tension du combat, la transpiration dans l’arène, la foule en folie à chaque blessure, chaque mort puis... Le silence pesant de la fin où face à son adversaire on sait qu’un seul s’en sortira au dépend de l’autre. Ce silence qui parcours la foule assoiffée de sang qui n’attend que la fin de cette boucherie pour acclamer le malheureux vainqueur. On observe, l’adversaire tente une charge avec sa lance on lève alors l’épée flamboyante et on le tranche. Le pauvre n’avait pas un pouvoir utile au combat et n’avait survécu que par couardise, Hikaruga ayant prit soin de se débarrasser des grosses cibles en premier. Victorieuse, soulagée et abattue Hikaruga rangea son katana dans son fourreau avant de partir sous l’acclamation de la foule. Le sang n’avait pas coulé, du moins pas autant qu’il aurait dû, résultat du pouvoir de la nouvelle recrue de l’armée. Ce combat haletant où l’on sacrifie tant de vies à l’autel de sa propre survie hantait maintenant son sommeil comme ses journées. Lui laissant à jamais une marque, celui du monstre qui vit en chacun de nous.

Aujourd’hui c’était le jour de son intégration. La lettre mentionnait un endroit assez mystérieux dans les montagnes. Il était très tôt mais de toute façon Hikaruga n’avait pas dormi de la nuit trop anxieuse pour ce jour et trop effrayée par les démons qui l’enveloppaient dans son sommeil. Elle avait les yeux un peu cernés et le regard plus dur qu’avant, disons, moins innocent qu’avant. Redressant le col de sa chemise elle fit cérémonieusement son noeud de cravate avant d’enfiler par dessus son haut d’apparat. Elle épousseta le tout d’un geste de la main avant d’enfiler ses gants. Avant de sortir elle vérifia son arme. Elle émettait toujours celle chaleur rougeoyante sur la lame, c’était… Rassurant. On ne sait jamais, ce pouvoir aurait pu être temporaire. Le katana glissa alors dans son fourreau alors que son possesseur claquait la porte de son habitation nouvellement acquise dans les beaux quartiers.

Elle n’était pas repassé dans les bas fonds depuis ce combat dans l’arène. Ils n’avaient pas changé les murs comme les gens semblaient se figer dans le temps, ils tenaient à peine debout, marqués par les années et la pauvreté. Il n’y avait plus rien à craindre ici, les gens de son rang étaient bien trop puissants pour les pauvres âmes ici bas qui ne s’y tenteraient pas, même par désespoir. Une seule personne ne s’était pas écarté du passage de la nouvelle recrue. Une vieille dame qui ne semblait pas pouvoir se mouvoir rapidement. L’argent n’aidait pas spécialement dans les bas fonds, Hikaruga lui donna alors quelques friandises et des rations qu’elle avait emporté avec elle avant de reprendre la route, dévisageant les éventuels badauds qui avaient remarqué ce geste, les défiant de voler la vieille femme.

Elle sortait maintenant vers la montagne. Il était encore très tôt et les rayons pointaient à peine à travers l’épais feuillage de la forêt qui s’étendait en face de la jeune femme. Il suffisait de continuer tout droit depuis la rue d’où elle venait et elle tomberait sur Icare lui avait-on dit. La main sur la poignée de son arme, Hikaruga pénétrait dans cette forêt à l’ambiance si féerique.

La nouvelle recrue utilisait astucieusement son pouvoir pour se mouvoir parmi les ronces, repoussant cette végétation sauvage grâce à son champ de force. Elle prêtait surtout attention au positionnement de ses pieds parmi les racines noueuses qui s’étalaient entre les arbres qui semblaient se battre pour le moindre bout de terre. Soudain une lueur attira l’attention d’Hikaruga, par réflexe elle sortit la moitié de son sabre de son fourreau pour contrer la boule de feu qui heureusement tomba sur une buche qui gisait à ses pieds. Le chef des Léviathans lui faisait face, les vêtements arrachés par la nature la montraient presque dans son plus simple appareil.

Aux deux premières questions Hikaruga répondit avec un hochement de tête. Ses joues prenaient leur couleur rouge habituelle. Ses lèvres étaient serrées impressionnée par la prestance de son interlocutrice.

Hik… Hikaruga Hidaka, Mada… Maîtresse... Je suis à votre service.

Alors qu'elle se penchait respectueusement en avant, les mains jointe sur son fourreau au niveau de ses genoux, sa voix se faisait frêle, c’était surtout... Mignon. Une façon comme une autre de sauvegarder l’humanité qu’elle avait en elle et qu’elle sentait s'effriter dans ce monde si dur.
Alors qu’elle se perdait dans les yeux d’Icare elle se tenait prête à un éventuel test, la main droite toujours sur la poignée de son arme. Reprenant ainsi de l'assurance elle ajouta.

Honorée de faire votre rencontre.
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Stratège des Ombres
Icare
Icare
Icare
Stratège des Ombres
21/2/2016, 03:25
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Age du personnage : 19 ans apparent
Pouvoirs / Particularités : Particularités phoenixiennes / Clairvoyance

Origine : Mythe d'Icare

Orientation sexuelle : Minosexuelle ♥

Habitation : Cîme d'Onyx

Fiche de personnage : https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2015/14/1428248133-katarina.png

Un morceau d'éternité
« Maîtresse. ». Le mot résonnait dans l'atmosphère calme et sereine de la forêt d'émeraude jusqu'au sommet des monts qui jouxtent la Cîme d'Onyx, alors que je fixais l'ingénue qui venait de le prononcer en battant lentement des cils. Je voyais encore le dernier vaincu du Massacre le murmurer en implorant mon nom, ses trois dernière syllabes condensées dans son dernier soupir avant que ma lame ne se fige dans sa jugulaire et ne le fasse taire à jamais. J'entendais encore mon amante le geindre du bout des lèvres son corps luisant de sueur ondulant contre le mien en une synergie parfaite, tandis que de son regard enfiévré elle me suppliait sans un mot de ne point cesser ces lascives caresses. Guidés par la crainte où le désir, nombreux sont ceux qui m'ont affublés de ce titre, lors de jours de guerre ou de nuits de tendresse, et une nouvelle fois ce schéma se répétait, inlassablement, un cycle sempiternel qui semblait ne jamais pouvoir trouver son terme.

C'était une marque de respect, dénuée de crainte, à l'instar de la proie qui observe son prédateur de ses grands yeux d'innocent lorsqu'il montre les crocs. Cette pauvre petite chose à l'aspect si fragile semblait si intimidée à l'idée de me rencontrer … Avait elle déjà ouïe mon nom ? Si tel était le cas, pourquoi ne ressentait elle ni appréhension, ni effroi, ces deux sentiments inhérents à ceux qui s'imposaient ma présence, que je me complaisais à faire ressentir et qui me gonflaient d'orgueil ?

Non, elle me connaissait de titre, de rang, mais n'avait nulle idée de ce dont j'étais capable.

Cette simple idée s'infiltra le long de mes synapses, engendrant un frissonnement d'excitation le long de mon épine dorsale. J'avais face à moi une personne pour qui les us et coutumes de ce monde que j'arpentais depuis des temps immémoriaux étaient complètement inconnus. Elle n'en avait eu qu'un bref aperçu lors du Slaughter, et ensuite ? La misère des bas fonds et la richesse des hauts quartiers ? Les dieux savent que cela n'est là qu'une partie immergée d'un iceberg de vicissitude.

Mais je tempérais mes ardeurs, quand bien même je tenais là l'innocence d'une pauvre jeune fille entre mes longs doigts fins tel un fruit défendu. Aucun plaisir ne doit être gâché par trop d'impétuosité, rien n'est plus délectable que de le savourer, laisser son arôme éveiller nos sens, jusqu'à l'infime instant où, n'en tenant plus, les canines acérées se plantent dans la chair écarlate pour se repaître de son cœur.

Alors mon regard se riva une nouvelle fois dans celui de l'Ingénue, mes iris d'un bleu trop profond, trop perçant, transcendant presque mes prunelles alors que lentement, un pas après l'autre, je louvoyais vers elle en soutenant les haillons de mes paumes, tissus déchirés suggérant sans ne rien laisser voir, tel un rideau opaque préservant la pudeur de celle qui faisait désormais partie intégrande de l'armée du Léviathan.

« De même, j'imagine. Cela fait fort longtemps que je n'ai pas entendu quelqu'un bégayer en ces lieux. C'est étrangement touchant.»


Lors qu’enfin j'arrivais au niveau de ma subordonnée, et que mes lèvres s’étirèrent d'un sourire que peu auraient jugé maternel, je levais doucement la main et saisi son frêle menton entre mon pouce et mon index, sans lui faire le moindre mal, simplement pour l'empêcher de détourner une nouvelle fois le regard, pour la redresser et faire en sorte que les mots qui traversaient la barrière de ma gorge soient ouïs par celle qui venait presque, par ses gestes, de me jurer allégeance.

« Tu dois avoir un certain nombre de questions. »


Je la relâchais doucement lors qu’enfin elle se tint droite et profita de cet instant d’accalmie pour effleurer sa joue de l’extrémité de mes ongles, les laissant descendre jusqu'à sa gorge avant de reculer d'un pas, laissant par mon geste chuter mes guenilles sur le sol, dévoilant par ce fait, sous le soleil de l'aube naissance, ma nudité apparaître, triomphante, dans le plus simple des appareils.

« Je serais ravie d'y répondre. »

Je n'y prenais guère garde, après tout, comment pouvait elle être gênée à la vue des courbes d'une femme, aussi séduisante cette dernière soit elle ? Je n'étais pas un homme, je n'étais pas de la même espèce que ces barbares, la vision de mon corps ainsi dénudé ne pouvait donc point faire naître une quelconque chaleur au creux de ses reins, quand bien même mes attributs me valaient la pâmoison d'une population plus qu'honorable de femmes guerrières au service de l'Ombre.
Mais ces dissidentes se faisaient rare, et une autre partie, bien plus conséquente, préférait se cantonner aux hommes. Elles ne savaient pas ce qu'elles loupaient.

Plongé l'espace d'un instant dans mes pensées et mes caprices, je lui tournais le dos, lui offrant le doux spectacle de mon verso, et entreprit de me diriger vers le lac aux eaux limpides que j'admirais avant qu'elle ne parvienne jusqu'à cette clairière. Une jambe après l'autre, je m'engouffrais dans le minuscule bassin d'à peine quelques mètres d'envergures et duquel je pouvais toucher le fond, et laissa mes lèvres s'étirer encore d'avantage. Si l'océan m'effrayait, je ne trouvais rien de plus relaxant ou de plus agréable qu'une source d'eau chaude, alimentée par la chaleur qui fulminait au centre des monts, qui caressait ma peau et la recouvrait d'une fine pellicule translucide lorsque j'en émergeais en redonnant mon entière attention à la jeune femme au sabre.

Et alors que je m'adossais contre une roche, m'assit contre l'une d'entre de manière à ce que mon corps ne soit immergé qu'en dessous de la taille et pressa l'arrière de mon crâne contre une structure minérale, je tendis l'une de mes mains hâlée vers celle qui n'avait pipé mot jusqu'à ce que je parvienne a ma destination et, sans que mon doux sourire ne quitte les lèvres, lui murmura une simple phrase parfaitement audible, portée par un zéphyr lointain.

« Ne prends pas garde, plonge donc, et j’éclaircirais du mieux que je le peux les ténèbres qui obscurcissent ton âme. »

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