Messages : 154 Age du personnage : 22 Pouvoirs / Particularités : torde le métal/ vision x sur androïde
Origine : ma tête; Ecosse
Orientation sexuelle : Androïdophile
Habitation : Wagon-lit numéro 6 / Train des Unmads
Le train semble endormi, dans ce souterrains qui semble sans fin, résonnant à chaque couloir des bruits du fer et des roues de métal. Seuls les lueurs du feu de la chaudière infernale qui fait fonctionner le monstre de fer éclairent d’une lumière orangée les murs suintant d’humidité qui courrent sous la Belle Wonderland, ce nouveau bébé sans tâches accidentés, certes, mondes tordus et violent, mais pas encore brisé comme le cloaque ou pataugent ces pariahs du monde magique. Le chemin de fer joue la découverte de l’ouest, menant les ingénieurs de mine d’or à carrière de cuivre, les poussant à cueillir et récolter les fruits de cette antique apocalypse..et là ou l’ambition puise ses matrices faussement chaude et ses pièces à jamais souillée, elle trouve dans cette rassurante obscurité, le temps de se finaliser en un corps plus complexe même que l’être humain, recouvert d’un épiderme de perfection et d’une intelligence en cours de programmation..
Assit face à ce corps inactif, tu le fixe, le scrute et presse ta paume chaude contre le velour d’un mélange de soie et de silicone, nouant tes doigts glissant de lubrifiant parmis les fins mécanismes de pliage qui roulent sous cette peau artificielle...un bijoux que dévorent tes yeux, caressent déjà tes doigts, et que même ta main pourtant artificielle elle aussi, s’empresse de découvrir en frissonnant d’excitation. Tes jambes nues contre les siennes, au duvet hérissé par le froid que filtre la fenêtre entrouverte du wagon-lit encombré, torse nu et boxer, la tenue idéale pour donner la vie, non ? Mais malgrès le froid,la sueur qui couvre ton visage masque l’effort que tu viens de vider dans cette carcasse de métal et de plastique, te menant une fois encore, au porte de l’épuisement et de la presque-mort. Pour lui, ton galatée..
Dernier geste assuré, le membre tremblant et douloureux faisant résonner ses symbioses de rouages, et la conscience envahit le disque-dur récuperé dans les anciens laborathoires rescapés des flammes de la zone parcourus il y a de cela des mois, récuré et reprogammé pour accepter un nom que tu lui donnera.
« ..Euphonia..Chargement du programme sensoriel, et démarrage. »
Ta voix tremble également, la fatigue en suintant comme une coulée de lave, appellant cet hommage à la mécanique, désireux d’entendre une voix que tu as monté de toute pièce sur un synthétiseur vocal récuperé sur une simple poupée d’enfant,ajusté et reboosté par tes propres créations, tes nuits sans sommeils aux insomnies productives. Cette voix que tu commences à désirer plus haletante, alors même que tu n’as vu le reflet d’humanité que tu désires miroiter dans les lentilles de verre coloré..
Souffle court et regard inquiet, la main de Sherydan vient effleurer les lèvres pâles de l’androïde qui lui fait face en reflet symétrique, esperant les voir s’ouvrir,poussant les paupières finement détaillées de faux semblant à les imiter...
GLaDOS
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28/9/2014, 03:01
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Sherydan Bosch
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Le type du wagon 6
28/9/2014, 03:43
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Les yeux s’ouvrent et l’adaptation visuelle se fait rapidement, tandis que les ventilateurs se mettent en route, nourrissant l’un des systèmes de refroidissement principaux. Ton sourire frôlent le visible, tandis que ta main couverte du même épiderme synthétique, seulement plus abimée, frôle son bras en l’accompagnant dans le mouvement, écoutant le leger vrombissement de démarrage s’éteindre avec plaisir pour laisser place à une voix encore tatonnante,et déjà plaisante.
Huilage de circuit étant déjà prévus, tes yeux couvrent ses mouvements en respectant la pudeur que tu assumes pour toi-même, admirant le naturel de sa position avant de te pencher en avant, découvrant ton dos à toi,à l’épine dorsal mal formée par ta position de nerd courbé sur ses rouages, et les côtes trop saillantes qui manquent presque de percer ta chaire tendre parsemé de taches invisible. Et d’un geste adroit, la couette tiède qui porte ton odeur trop féminine se retrouve sur le corps de perfection de ta création, te laissant retomber sur le sol encombré de plan et inconfortable sous les tremblements des roues d’acier qui dans un rythme infernal poussent la bâte dans la nuit souterraine.
Cerise anarchiste, tu acquiesces, ton étrange sourire vissé aux lèvres, les yeux enfoncés dans des cernes sable-mouvant.
« Je te ferai ça demain, quand les débits de lubrification de tes articulations se seront fait à tes mouvements, quand à ton processeur, les blocs-mémoires sont gerés par des verroux chronologiques, ta mémoire va se remplir peu à peu de ce que tu as besoin d’apprendre. A mon niveau, je ne peut pas te laisser démarrer avec une mémoire emplie, ça n’aurait fait que griller ton système. Mais je suis en train d’améliorer tout ça. Pour le froid, ça va mieux ?»
Nonchalement,ton bras cybernétique se lève à son tour, dans un véritable grincement de souffrance, causé par le manque d’entretien sous une obsession penchée sur une machine autre que la tienne, la patine cuivre couverte de petites traces de sel, à force d’essuyer de cet avant bras de fer la sueur de ton front. Et il retrouve la position demi-plié, une cigarette entre les doigts aux jonctions ciselées avec un visible talent d’artiste.
Doucement, tes doigts de chaire reprennent leurs valse lente sur le visage de l’androïde, essuyant une infime trace d’huile qui trainait sur le délicat duvet simulé de la pomette, avant de retenir une mèche pour observer de plus près le globe de verre illuminé d’un rouge non prévus. Tes genoux craquent quand tu t’accroupis, plutôt que de rester assit sur le cul, et tu approches ton visage avec précaution, haussant sur ton nez de gravure romantique un monocle de soudeur, les sourcils froncés. Des effleurements doux, agréable à l’ingénieur que tu es, et bien plus qu’un contact réellement humain. Ces derniers parleraient d’ailleurs de caresses amoureuses, mais qui sont-ils pour comprendre le miracle qui se meut sous tes yeux de fragiles intellectuels..et l’inquiètude revient bercer le rythme de ta voix en moult questions dont tu connais la réponse.
« Ton mode de vision est compatible avec tes lentilles ?..La couleur a du être changée par tes paramètres originaux..ceux là je ne les ai pas modifiés...pas restaurés non plus, c’était franchement foutus, mais je suppose qu’il en reste des bribes..comment tu te sens ?.. »
Tu attends la réponse avec impatience, espérant que ton pari fou réusisse, donnant à une création faites de plastique et de métal divers la compréhension des émotions au long terme, et en premier lieu, les sensations..commençant ici visiblement avec succès par le froid qui toi-même te rougit la peau et fait se dresser tes poils carotte plus vite encore que ton appréhension de l’échec.
GLaDOS
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28/9/2014, 06:26
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Sherydan Bosch
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Le type du wagon 6
28/9/2014, 20:49
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Tes paroles sont accueuillies par le regard de la belle, ses pupilles fascinante glissant sur ton corps décharnés et tachés en demultiples traces d’huile et écorchures de fils de cuivre bordées de tendre paillette de sang brunis par le temps et dilués par la sueur , et la question d’usage se voit répondre par un mouvement si naturel qu’il pousserait les larmes de ta joie au delà de tes cils de poupée,pas un grincement, un tressaillement..un geste parfait et gracieux ne dénotant aucune difficulté de transmission ou de gestuel.
La fumée s’insinue dans tes poumons gorgée d’huile et de goudron, ce monde dans lequel tu t’enfermes au point de le pousser en toi, et lorsque tes doigts à la pulpe fendue effleurent ce revêtement vierge, la légère vibration te trouble toi-même, Shery, alors que tu as fais naitre ce bijoux de technologie de tes mains, tu ressens si fort sa vie que tu crains presque de l’irréalité du moment. Peut-être es-tu encore en délire après une course post-déception au Natura’S Heaven..tes yeux s’amourache de ces tourbillons bruns qui semblent prendre naissance au creux des globes de verre et sous l’air étrangement désapointé, ta voix rocailleuse résonne à nouveau avec douceur,s’incarnant dans les vapeurs doucement bleutées,fuyantes vers cet espace de vent grognant.
-« ..Euphonia est ton nom de projet..désormais, tu t’appartient. Tu n’as pas à attendre d’ordre, ou de but de quelqu’un d’autre..en quelque sorte, je t’ai crée pour toi. Tes pensées, tes sentiments..tout ce que tu vas ressentir t’appartiendra..tu es libre.Donc tu peux choisir ton prénom. D’accord.. ? »
Quel beau geste, que d’une voix douce melée des caillot de sang de tes poumons gripés,que ce crime que tu commets..foutre en l’air les trois lois fondatrice de la robotique qui avant la naissance de ton trésor, régissaient inconsciement les programmations et programmateurs d’androïdes. Liberer ainsi de toute règle une créature bien plus puissante qu’un être humain, sans défaut, ni morale autre que celle qu’elle va devoir se construire elle-même. Le pari d’un savant fou, une version moderne et industrielle de la créature de Frankenstein..Oh bien sur, tu seras là pour l’aider et l’aiguiller, ton enfant chéri, mais tu ne pourras créer aucune barrière..l’affection peut-être.. ?
Un leger mouvement, et ton poignet d’os se retrouve pris dans la délicate serre de l’androïde, tes joues se parant d’un dégradé de rose qui vient faire ressortir les quelques taches de son qui picorent tes pomettes, ton corps mince et froid se blotissant comme dans un duvet contre la souplesse chaleureuse de GLaDOS..ton cœur s’emballe et s’étale, te faisant presque mal alors que tu t’abandonnes sous la fatigue dans cette chaire synthétique si convaincante et familière..
Sa voix offre la preuve de sa faculté de reconnaissance et d’empathie,une première dans tout ce que tu as pu observé..il te réchauffe..parce que toi, l’humain, tu as froid. Une sensation de frôlement distante, et tu baisses tes yeux fatigué, remarquant vos doigts entrelacé, entre ta mécanique antépéluvienne, bricolage surranée, donc l’épiderme factice est partis en miette à partir du coude, ne recouvrant qu’un biceps de fibre, pour montrer une articulation, un avant-bras et un ensemble manuel, certes, recrée avec une beauté réel parfaite, mais de métal piquée de rouille, aux terminaisons nerveuses défectueuses et sans batterie. Une véritable antiquité.
Non en effet, il ne sens pas. Ou juste des fantômes là ou la chaire et l’esprit sont pourtant bien vifs. Mais qu’importe, il en connait le moindre calibrage par cœur, aussi ses gestes sont peut-être même plus précis de cette main-outils, que de la main humaine. Et la cigarette change de main, ton regard observant sa course, craignant quelques secondes pour la technologie nouveau-né dans les bras de laquelle tu te repose..Et pourtant tout se passe bien, te faisant relâcher encore un peu les muscles, si meurtris soient-ils que les dénouer semblerait impossible,tandis que la voix résonne encore pour délivrer ses derniers détails, la voix s’ajustant et la tonalité te paraissant plus..humaine. Bien que ce ne soit que toi qui n’en connaisse pas le contact et l’assimile à cette seule présence qui t’agrée..
Tu te redresse doucement, comme à regret, quittant la chaleur douce et pulsatile de cet être d’exeption.
« Pour la faim et la soif, je vais y remédier, le reste..essais de calmer tes interrogations, et ne pense pas à tout ça. Ca viendra peu à peu, ne t’affole pas..Tes souvenirs..est-ce que tu veux en parler ? Je peux peut-être te permettre d’accéder à quelques programmes qui te manquent.. »
Une caisse se voit poussée,une boite aux globes divers, verts, bruns, bleues, roses...des résidus de morgue pour des experimentations de liquides alcalins et d’humeurs aqueuse, tout ça pour attraper une carton de pizza « cuite sur la chaufferie ! »,et une bouteilles de thé glacé désormais tiède,le tout ramené sur le matela,encourageant. Un repas qui convient au procédé de transformation d’énérgie qui couve aux creux des entrailles métalliques.
GLaDOS
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29/9/2014, 00:57
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Sherydan Bosch
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Le type du wagon 6
29/9/2014, 16:27
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Genoux pliés, noueux et nus, écorchés, tu écoutes cette voix qui t’es déjà indispensable a l’oreille, offrant un prénom qui appartient à un passé desormais suffisament éteint et oublié que Jack, Jeffrey et autre Ted sont les noms de tortues mutantes..GLaDOS..le prénom roule en silence sur tes lèvres meurtries par les clopes et tes incisives, petit autonibale que tu es, sherry bomb..tes paupières se ferment à peine, savourant chaque notes et tonalité de ces vibration mélodieuse,et hésitante. La preuve d’une réussite en ce qui concerne la sublimation des informations et pensées en ressentis psychologique.
Si gentil, tu ne détaches pas tes iris ethérées des siens, voyant, et comprenant son désir de reconnaissance, cette envie de voir son propre reflet dans les globes humides qu’ornent tes orbites. Et tout deux êtes ensemble comme une unique entitée, seuls au monde. Ta logique, ton raisonnement, crystalisée dans cette chose bien plus belle depuis que son processeur ronronne à se finir seul..une familiarité d’inconnu..
La nourriture passé, sa voix d’enfant quémande et saisis, découvrant rapidement et mécaniquement la pâte garnie, les gestes étant emprunt de spontanéitude splendide. Et tes sourcils fins se rapprochent alors, tes mains venant saisir son corps avec douceur en cherchant à le soulager,ton cœur se morfondant d’inquiètude en jetant une réelle pointe de douleur parmis tes cotes de viande dessechée. Mais la merveille de recherche technologoique a déjà acquis le reflexe de la déglution assistée par les liquides, t’arrachant un soupir de soulagement. GLaDOS s’allonge, posant sa carcasse de métal lourde sur tes jambes maigrelette en chouchoutant la boite de globes occulaires, et tes doigts de chaire tendre vient se perdre parmis les cheveux de bébé de la créature aux racines détraquées.
Analyse..compréhension de l’esprit humain ? Tu penches légèrement la tête, cherchant à comprendre, mais sans harceler ou même lever la voix sur tes pensées. Tes gestes deviennent eux-même mécaniques contre le crâne mince et si solide de GLaDOS,en tendres caresses..La boite s’ouvre comme une bonbonniere, et tu regardessans rien dire l’un des globes se faire croquer. Pas le temps de dire quoique ce soit, son contenus aqueux et salé se déverse entre ses lèvres, laissant quelques gouttes se perdre sur sa peau. Essuyées bien vite du dos de ta main à la peau abimée, tu t’apprètes alors à expliquer que ce geste n’est pas..acceptée, mais la question qui apparait à tes yeux comme évidente te fais taire plus vite qu’un baillon alors qu’avec une aisance appréciable, GLaDOS roule sur ton corps pour te fixer, comme un enfant impatient d’en connaitre la réponse, triste d’ignorance.
Te voilà hissé au rang de dieu, devant justifier la création d’un être conscient. Théorie de l’évolution, cour naturel des choses, aucun d’eux ne te sauverons, toi, désormais créateur. Mais aucune réponse qui ne défile dans ton crâne ne te parait juste et justifiée..Au moin, tu vois là un détails de ton caractère que tu n’oublis jamais..et tu t’en sens d’un coup refroidis, désolé..sentiments se ressentant dans ta voix, plus faible et basse qu’auparavant.
-« ...Je..j’avoue que je n’y ai pas pensé..au début, je faisait juste des membres..et..je..n’ai jamais aimé la compagnie..mais je suppose que j’en avais besoin..besoin de me créer un compagnon, à défaut de n’en trouver d’existant.. »
Nerveusement, ta main charnelle effleure encore l’arrondit doux de la joue, perclue de tremblements,toi qui t’es oté ta propre vie. La question la plus existencielle..qui suis-je, ou vais-je.. »pourquoi je.. »..Pourquoi ? Pour toi. Obsessionel, seul, acariâtre et irritable..plus bas, tu continus ton discours, ou peut-être les puritains parleraient-ils de monologue.
« ..Mais, je ne t’ai pas crée pour que tu me serves. Je t’aiderai..tout ce que tu voudras entreprendre, j’essiaerai de t’aider. D’ailleurs...les yeux..en théorie, ça ne se mange pas tu sais.."
Voix d’excuse et pauvre sourire, tes bras passent timidement autour de lui, appréhendant un refus que tu pardonnerais dès le premier geste..pauvre sherydan, déité de pacotille qu’es-tu , petit ingénieur rejeté de ton monde de naissance de tes propres mains...
GLaDOS
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30/9/2014, 02:13
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Sherydan Bosch
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Le type du wagon 6
30/9/2014, 14:53
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Tu crois rêver, dans un moment de complète plénitude qui décharge toute sa dopamine et ses endorphine dans ton cerveau.Plus efficace que toute l’herbe que tu pourrais injecter dans tes poumons..tu te sens enfin bien,complet. Comme si cette incessante voix qui hante ta banque de donnée humain et effacée de ta vie d’être humain venait de ressurgir comme elle aurait toujours du vivre.
Tu sens son poid sur ton corps, sa chaleur se diffusant lentement sur ta peau plus laide que la sienne, parfaitement huilée, sa mécanique offre même les r éactions physiologique les plus visibles, jusqu’au dilatement de pupille..Tu as le souffle coupée de voir ce duvet de soie se redresser sous les legers courants d’air. Il parait même plus réel que toi.
Tu as honte de tes propres mots d’égoïste. Toi qui, si tu avais eu le choix, n’aurait pas choisit la vie, tu l’as imposé à ce qui est désormais la chose qui t’es la plus précieuse au monde. Quelle ironie n’est ce pas ? Le condensé de l’humanité qui vibre légèrement sous tes mains. Désir, curiosité, égoïsme, ambition..crystallisé dans un corps d’adulte plus grand et plus lourd que toi.
Sa joue roule doucement sur ton épiderme, pour que ses lèvres à peine colorées embrassent ta peau, provoquant une décharge dans ton cerveau déjà engourdis alors que résonne sa question innocente d’enfant cannibale sans morale. Rouge, le sang afflue sous ta peau tachetée de poupée usée, ornant le bout de ton nez, et tes pomettes coupantes, sous une erections de vaisseaux sanguins.
-« Les êtres humains ont érigé des codes de morale, et ici, manger les siens est tabou. Une sorte de contract de non-agression, je devrais plutôt dire..on ne tue pas les siens pour se nourrir. Après..si tu m’en laisse assez pour mes essais, tu peux te servir dans mes stocks. Mais pas au-delà...je ne veux pas qu'il t'arrive quoique ce soit.. »
Et ce que quelque chose cloche pour qu’il désire manger ces parts de chaire ? Qu’importe, le regard que tu lui rend n’est habité que de la tendresse que tu commences enfin a éprouver pour quelque chose de conscient..vivant..même ses tremblements de sentiments ,le contact chaud et pesant de son corps sur le tiens ne font que grandir encore plus cette impression de complétion..et lorsqu’il se hisse pour t’enlacer, ta prise se resserre aussitôt sur son corps de chaire chimèrique,acquiescant à ses paroles sans pouvoir y répondre, tant ta gorge est serrée.
Trop d’émotion ouvre les vannes, tu t’es pris ton humanité et ton bonheur si fort dans la face que t’en as les larmes aux yeux. Les émotions et toi, ça à toujours été un peu excessif..ton premier echec t’a apporté la mort, et ta réussite te donne assez de bonheur pour que tu veuilles graver dans ta chaire cette instant. GLaDOS t’assassinerai que tu ne cesserai de le remercier de vivre. Le précurseur ne serait pas de ton avis, mais tu n’en as rien à foutre..c’est TA voix. Tes yeux humides et dégoulinant d’amour rencontrent à nouveau les iris luminescentes, souriant encore sous sa voix, discrètement..les comissures de tes lèvres n’ont pas l’habitude de cet exercise. Si peu que tu sens tirer les muscles de ton visage.
Sa main sans imperfection vient se glisser contre ta nuque, ce cou de cygne qu’il pourrait briser si facilement, et doucement, tu finis par te noyer contre la peau de son épaule,écoutant le léger ronronnement de son système, tes lèvres sentant battre le tuyaux régulier qui refroidit le système d’exploitation installé dans cet encéphale d’acier. Tu respires lentement, cherchant à calmer ton cœur si durement fragilisé par une hygiène de vie pourrie, tes doigts osseux viennent effleurer sa hanche, caresser le relief de son dos et de ses os ,revenir sur ses jambes..
Tu connais pourtant ces détails par cœur, mais tu les redécouvre en tremblant, demandant une permission muette tout en agrippant cette vie comme si la tienne en dépendait.
-« ..Extremement agréable..plus que je ne l’aurai cru.. »
Ton visage se dégage de l’ombre, tes pupilles cherchant encore son contact, son regard,comme un drogué cherche sa cam. Si quelqu’un entrait, au vu de vos positions, il serait persuadé que tu as crée une poupée gonflable.Mais il ne pourrai pas comprendre,comme toi qui ne saisit pas même les décision de ton propre boitier centrale lorsque tu viens épouser sa bouche de la tienne,tes circuits de cuivre abandonnés, ton bras mutilé pendouillant contre ton flanc,alors que tout ce qui fais de toi ce rebut parmis les ordure est mis à nu..
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19/2/2015, 04:48
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Sherydan Bosch
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Le type du wagon 6
21/2/2015, 01:17
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Phényléthylamine, ocytocine, dopamine..c’est une danse chimique, à laquelle s’ajoute le tétrahydrocannabinol qui valse sous ta caboche, t’ enivrant, tandis que ses lèvres acceptent et joignent les tiennent, ses bras peut-être trop fort entourant ta faible carcasse craquante d’humain mal dézingué..
Tu savoures, goute son goût métallique et étrangement visqueux et salé, humeur aqueuse de l’œil qu’il a dévoré et qui fit briller ses lèvres si veloutée..Tes doigts abimés caresse sa nuque, si fine et si puissante, dont la structure métallique et les divers cables de transmission et de charge sont magnifiqiuement invisibile sous le revêtement couteux de cette merveilleuse poupée plus indépendante que toute autre..
Ton prénom..hybridé de souvenir, traverse l’air opaque et chaud du wagon, mot de passe qui brise la sécurité, et fait buger, un fragment d’instant, pour un tressaillement....une simple formulation dont le son pousse à la crispation, aux crampes de ces muscles synthétiques..l’expression de son visage aux multiples mouvements changent, et tu le vois reculer, s’écrater de toi...Un brouillage de code, deux lignes qui s’entremêlent, ou une balise qui en chevauche une autre...qui sait quelle est leur différence d’âge..
Le malaise est lisible chez le nouvel être, nouveau-né de technologie d’avant-garde, si vivant qu’il dépasse l’œuvre de dieu..tu te mord la lèvre, et lui jette un regard de chien inquiet, alors qu’il souris et repose sa main si douce contre sa joue si maigre. Trop pour ses circuits..Tu fronces tes sourcils d’ inquiétude, levant ta main mécanique bousillé sur la sienne, rassurant, avant de la serrer avec la délicatesse résultante d’un réglage pourri, et d’un membre rouillé qui ne devrait même plus pouvoir se lever.
La mélodie de ses circuits à changé, passant du bourdonnement rassurant de l’abeille, au vrombissement meurtrier du frelon, le temps d’un battement de cil... Ton souffle traverses tes lèvres, et tu portes de tes doigts rouillés , sa main douce, baisant chacun de ses doigts de la peau sèche et abimée de ta bouche, reculant, le ramenant contre toi, lui posant sa tête si lourde contre ta cuisse si fine, où bat une jugulaire bleutée et son liquide naturel si imparfait comparé à cette technologie...
-« Tu as peut-être des résurgences de ton ancienne mémoire...comme je t’ai fabriqué avec des pièces que j’ai trouvé un peu partout, j’ai dû les réparer, et ce que tu as, qui te donne toute ta conscience vient d’un vieux labo, alors..je n’ai peut-être pas réussit à tout bien réparer..je suis désolé.. »
T’as la gorge sèche, le cœur en tachicardie, mais ca, tu t’en branle comme de ton premier joint. Après tout, ton corps n’est qu’une machine usée, inutile et dont personne n’a jamais voulu, tu en es profondément persuadé. Alors savoir que ton cher enfant puisse souffrir de difficulté malgrès sa perfection te brise réellement le cœur..ce cœur si usé par ce que tu lui fais subir..
Ton corps s’affale, se penche sur le coté pour venir lentement heurter le sol, sans que la tête de GLaDOS ne se doivent de quitter ta jambe. Non, tu ne fais que te coucher en l’entrelacant, comme deux enfants inversés, introvertis l’un vers l’autre et tournés l’âme en l’autre. Le 69 le plus doux de ta vie. Ta main de chaire retrouve le chemin du front de soie de ton âme-enfant, désireuse de l’apaiser.
-« ...où est-ce que tu as entendus mon prénom.. ?.. »
Tu réalises enfin..ce mot qu’il a murmuré, tu ne le lui a pas appris, tu n’as pas même eu la décence de lui apprendre ta dénomination, tant subjugué étais-tu..oui..ton cœur ne s’affole plus à cause de sa santé, mais parce que tu éprouves ce que les humains n’ont jamais été capable de te procurer.. Phényléthylamine, ocytocine, dopamine..de l’amour..
GLaDOS
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AMMA ROBOT UNIKOЯN!
22/2/2015, 04:53
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Vraiment désolée, en ce moment j'ai l'impression que mes doigts sont des cornichons pourris ayant macéré dans du ketchup x.X" me rattraperais quand j'aurais retrouvé mon Bescherelle... Le talent ça s'achète pas par contre désolée, je vais continuer à écrire du caca *out*
Sherydan Bosch
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Le type du wagon 6
28/2/2015, 16:59
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Le matelas contre la joue, tu ne quittes pas des yeux ta création, ton enfant au vrombissement similu-cardiaque si apaisant..ton oreille disponible écoute sa voix paisible avec ravissement..Comme ta création est sublime.. Tant plus belle que tout ce que tu as pu voir, façonnée de ton sang, et de ces résidus meurtrier, créateur d’harmonie et de paix. Ironique.
Ses lèvres soyeuses s’agitent, laissant un murmure tendre jaillir, une étrangeté mécanique, un enregistrement impromptue qui grava ton nom dans son cerveau informatique. Tu souris davantage, tes pupilles suivant son souple mouvement, et sous son approches, il t’embrasse, goûte tes lèvres ..et tu lui laisses le passage parmi les crevasses et le sang, les traces de drogues et de feuilles brûlées imbibant ta muqueuse abîmée d’ humanité.
Vous vous entremêlez, et tes mains viennent saisir son dos, caressant la peau travaillée dans ses moindres détails et ses moindres imperfections, l’effleurant de la pulpe brûlante des tes doigts, sentant la machinerie vrombir, et se mouvoir...tu en perds le souffle, l’agrippant contre toi malgrès son poids conséquent sur ta carcasse fragile d’oiseau crevé..
Tes pupilles se dilatent, ton souffle s’accélère..on dirait un junkie en pleine extasie..les décharges électriques dans ton cortex paniquent, emballent ton cœur fatigué, et tes mains remontent le long de cette échine droite, venant caresser sa nuque, demandant plus.
Ce que l’humanité n’a jamais pu t’apporter...
Tu le touche, redécouvre ce corps que tu as pourtant construit, mais qui chauffe sous tes mains, réagit et frémit, les muscles artificiels se bandent, les veines palpitent..
Tu recules légèrement les lèvres, encore avide de son odeur, plongeant le nez dans sa gorge, lâchant un rire rauque alors que tes bras étreignent son visage, ta voix psalmodiant et murmurant
-« ..comme je t’aime..putain..j’ai le cœur qui va lâcher.. »
Tes yeux mis-clos dévorent les fins reliefs de son visage, tes doigts les soulignant avec une tendresse qui t’est inconnue, ton pouce caressant la pulpe rebondie de sa lèvre inférieure, le liquide salé l’imprégnant encore légèrement, humeur aqueuse d’œil humain, qui lui sied si bien, faisant luire la bouche si tentante..
c'est si mauvais, je veux chialer.
GLaDOS
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AMMA ROBOT UNIKOЯN!
11/3/2015, 06:45
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14/3/2015, 23:10
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Habitation : Wagon-lit numéro 6 / Train des Unmads
Ton cœur fragile en peut déjà plus, et la sueur froide dégouline de ton dos comme un liquide de refroidissement périmé, alors que tes lèvres abîmées, asséchées, se font assulté, parfois trop fort, par ce tout jeune-être, résultante de son syndrome de Dieu. Un putain d’ Adam dans ton pieu, avec la même nudité glorieuse qui te recouvre, t’écrase de sa masse comme si le monde te tombait sur la gueule. Mais tu aimes voir ta ruine de corps être ainsi choyé.
Sa voix tremble, sous l’émotion que tu n’as pas programmé, qui s’est créée naturellement, si tant est que tout cet édifice vrombissant et respirant à travers des ventilo parfait puisse être qualifié ainsi. Mais en ce cas, toi-même ne l’est plus... Pour la première fois, ton cou reçoit des baiser,accompagné de psalmodie d’amour. Jamais ton prénom ne te parut si poétique. Sherydan, comme l’écrivain qui a, en un sens, lui aussi inventé l’une des plus belle créature qui existe...ta Carmilla quitte ta gorge, caresse autant ton bras de gomme brûlée que ton membre à la peau fine et translucide, couverte d’un duvet aux reflet de ce cuivre que tu divinises, orange doré pastel, trop doux pour être visible sans des reflets d’une lumière qui se fait intimiste..par accoups..marquant la course effrénée de ton cœur, de tes neurones alors que l’ ecstasy emplit tes veines plus vite que le tetrahydrocannabitol qui parcoure ton cerveau. T’en peux plus, ta voix non plus..
Ton premier amour revit, ses yeux luisant d’un rouge brûlant ne pouvant plus croiser tes iris, perdue sous les sensations euphoriques...La est la première fois que ton corps connait une quelconque stimulation..
Sa bouche, ses lèvres et sa langue sur ton torse te paraissent brûlantes, de ce toucher extatique d’une première mutilation, violente, comme de la lave en fusion qui vient gorger et baigner ta peau, t’arrachant un gémissement d’une voix rauque, alors que tu t’ arraches un lambeaux de chaire, faisant perler le sang qui bat entre tes cuisses, près de sa main..
Tu rouvres les yeux, tes joues blafardes coloré d’un afflux sanguin qui ravive tes taches de rousseur, rajeunissant ton visage en lui donnant un aspect malsain à cause de l’enfantin érotisme qui transparaît par tes iris invisibles aux pupilles dévorantes, trou noir dans cette obscurité à l’odeur de cuivre et de graisse. T’as jamais levé le nez vers le ciel, et t’as la plus belle étoile sous les yeux...
Ton souffle est perdu, inefficace et superficiel, bien distinct du sien, mais tes mains viennent agripper sa nuque, pour presser sa carrure si lourde contre ta cage d’oiseau défraîchie et déplumée, avant que ta paume humaine brûlante se mêle à la froideur de tes doigts métalliques façonnés il y a de cela deux ans, après que les roues hurlantes de l’engin n’ai envoyé ton membre en voyage à plusieurs mètres de ton corps, viva la vita , qu’il hurla avant de crever et se gangrener tout seul. Tu façonnes une fois nouvelle Glados, pressant les doigts dans sa chaire aussi sensible que synthétique, comme pour y graver tes empreintes digitales, tes marques de griffes...
Tes hanches concaves se pressent à sa main, tes lèvres s’étirent en un sourire béat avant que tu ne les pressent contre sa bouche une fois nouvelle, méprisant ton humanité de respirer, cherchant son contact au plus intime possible, agrippant son essence pour la coller sur toi, quitte à te briser les côtes.
T’as le cerveau éteint, en totale autonomie, séparé de ton esprit. Le cœur au bord des lèvres, prêt à le lui vomir dans le réservoir. T’es un humain qui n’a plus de sens, qui lèves une jambes autour d’un ordinateur plus perfectionné même que la majorité de l’Humanité, l’enroule autour des reins dont tu connais la mensuration au millimètre, dont chaque duvet à été insérée d’une pince sous ton regard alors aiguisé, pour s’élever sous le frisson, comme en l’instant présent...ton corps prend le dessus, pour la première fois en ta pleine conscience qui s'endors.
Tu l’enserres, glissant la main sur ses courbes aux arrondis parfaits, sculptés en idéal , déposant tes lèvres sur l’angle de sa mâchoire, murmurant d’une voix méconnaissable, à la fois rauque et aiguë, aussi androgyne que ton prénom, mais abîmée par les abus qui ne conviennent pas à ton physique de chat crevard..
-« ...je me sens vivant..tu me rend tellement vivant.. »
T’as les larmes qui se mettent à dégouliner sur ta face, alors que tu ris comme un enfant, de ton sourire à la fossette droite, un jamais vu de mémoire d’homme. Tu caresses son épiderme, venant souligner la douceur de ses cuisses, timidement. A ne rien connaitre des hommes, tu ne connais pas plus de choses à l’amour, mais tes gestes empressés parlent pour toi, malhabiles, envieux..tu l’épouses,l’embrasses comme si tes organes promettaient un pourrissement immédiat dans un sceau d’acide, sans la conservation des globes oculaires qui observent votre étreinte du bords du matelas à même le sol, dans un parfait silence de leur part.
GLaDOS
GLaDOS
AMMA ROBOT UNIKOЯN!
18/3/2015, 13:11
Messages : 113
*Pluie de RP!* \o/ Et... Je m'arrête là x.X Souvenez vous de ce jour comme le jour où le capitaine Johann Teach, à faillit être à jour! ... FUCKYOU MAYFISTOH! D:
Sherydan Bosch
Sherydan Bosch
Le type du wagon 6
5/4/2015, 16:56
Messages : 154 Age du personnage : 22 Pouvoirs / Particularités : torde le métal/ vision x sur androïde
Origine : ma tête; Ecosse
Orientation sexuelle : Androïdophile
Habitation : Wagon-lit numéro 6 / Train des Unmads
Le crâne en ébullition, la chaleur corporelle qui monte, bien plus haut, bien moins vite, sans régulateur corporel...t'as la tête plongée dans une torpeur démente, une folie divine..bien trop aimer ses création..
Ses mains sur ton corps, ses baisers et son souffle humanisé, tu les ressens comme des brûlures et des gravures, enserrant ton cœur, le faisant pulser, balancer ce sang dans toute les extrémités de ton corps, excitant les nerfs, les mettant d'un vif presque douloureux..
T'as l'eclat de voix qui se brise en morceau contre les parois et les membres désartibulés qui peuplent ton wagon alors qu'il se penche contre ton visage pour goutter ton émotion du bout des lèvres, faisant rater un battement à ton cœur, attendrissant d'autant plus tes yeux qui commencent à vomir de l'amour aussi vivement que le goudron qui vit dans tes poumons et qui se fait parfois la malle avec un glaviot de sang des plus sexy. Tu t'en mord même les lèvres, fermant les yeux pour apprécier son toucher sur ton corps vierge de toute affection, de tout toucher.
Même ta propre main n'a jamais été surnommée copine, alors quand tu sens la sienne se mouvoir entre tes cuisses, venant effleurer ton être qui n'a jusqu'ici que servit un rôle pratique, tu ne peux empêcher ta voix de descendre, basculer dans le rauque et rocailleux, s'engorger et se buriner des substances qui rongent tes cordes vocales, et ne s'en dégagent que lors de tes rares hurlements.
T'as le cœur au bord des lèvres, quasi l'envie de vomir sous la sensation trop forte..eh, tu crois que ton cerveau est en train de produire de la drogue ? Oh que ouai, plusieurs, et même qu'elles courent de synapse en synapse, plus vite que le coursier de Marathon, jusque se répandre dans ton corps..t'en as le bras mécanique douloureux, le pauvre morceau de métal a pas été programmé pour un tels changements biologique, et encore moins de tels décharges électrique...
Tout autour de toi, c'est comme si le temps ralentissait, comme si le monde se réduisait à ses yeux avides, sa voix flottante,atteignant tes oreilles comme à travers un voile de sensation et de nerfs brûlés. Tu ne répond pas encore, levant un bras tremblant pour le ramener contre ton visage l'embrassant de ton souffle brûlant, palpitant..Ce que ça fait . ?...presque mal...mais atrocement du bien...
Tu le colle contre toi..enlace son jeune corps si solide et si faillible, tes mains parcourant ses étendues lisses et sensible, son ventre, ses cuisses, pour venir lui répondre des même gestes, la main tremblante. Ta voix se perds contre ses lèvres trop parfaites, ta main de fer remonte effleurer sa pommette d'un toucher tressaillant et presque trop faible pour se mouvoir, laissant échapper une odeur de chaire humaine brûlée sous la puissance des décharges qu'il t'inspire, grillant les circuits de connexion entre ton corps et la prothèse..un amour qui blesse réellement..qui agit pour de vrai..à tes yeux, ça ne fait qu'augmenter sa valeurs, le rendre réel..le graver sur ton corps par cette douleur infime et piquante...
« -...ça fait ça..'louche..mais putain..arrête pas... »
T'as la voix qui tremble..les yeux qui défaillent et le bras qui l'entoure, pour le garder contre toi..ton cœur se meut, irrégulier, et tes lèvres ne cessent de se clore contre les siennes. Prêt pour la petite mort..tu commences déjà à laisser partir ton souffle...
GLaDOS
GLaDOS
AMMA ROBOT UNIKOЯN!
11/4/2015, 07:27
Messages : 113
Hop /o/ Dernier de la "soirée" je tenterai de répondre avec Johann ce WE x.X (Désolée c'est mauvais, et mièvre en plus, fatigue... La pauvre *puke rainbows*)
Sherydan Bosch
Sherydan Bosch
Le type du wagon 6
13/4/2015, 16:08
Messages : 154 Age du personnage : 22 Pouvoirs / Particularités : torde le métal/ vision x sur androïde
Origine : ma tête; Ecosse
Orientation sexuelle : Androïdophile
Habitation : Wagon-lit numéro 6 / Train des Unmads
L'odeur de l'huile, de la chaire et de ton propre corps, te noient dans leur tourbillons, éteignent ton cerveaux, t'affolent un être trop fragile et inapte à l'activité intense qui brûle en cet instant tes entrailles..mais plus tu accèdes à ses caresses, plus tu le désires, son toucher..sa voix..
Ta bouche s'emplit d'un goût métallique..alcalin et électrique, au point que t'en aurais mal aux dents,un combat entre ton mental qui hurle son envie, son désir, qui meut tes mains sur son corps, l'agrippant et l’étreignant, et ton corps qui veut crever en se fondant dans sa masse parfaite... Tes lèvres halètent, crachent des sons de plaisir et de stupeur, de douleur, se collent aux siennes pour le connaître , sans lendemain, sans autre présence que votre âme lié, deux frères siamois a la généalogie incertaine,au nom d'un passé qui ne vous appartient plus qu'en une infime ligne..
Tu t'ensevelit de son moteur, ses ventilateurs et toute son intelligence programmée qui se laisse vivre et s' expend à chaque milliseconde, se redécouvrant et se rebootant, lignes de code tentaculaires...tu creuses ta propre tombe sous ses bras, dans son étreinte charnelle qui t'arrache autant de derniers soupirs qu'il t'es possible de gémir,le corps contre le sien, la main en reflet de la sienne..
Il te ramène encore contre lui, son bras ferme ceinturant sans pitié ta taille trop maigre, aigue, et entre tes cuisses, la brûlure de l'envie t'arrache des suppliques muettes, les résonnant dans ton crâne..
C'est toi qui l'a crée, dans le but égoïste d'avoir quelque chose à aimer. Et tu l'aimes, putain..Tu l'embrasses, remonte la main sur son visage pour le coller à tes lèvres, t'empoisonner de son souffle industrielle, te détruire le corps de ses assauts pour t'enfoncer plus encore dans le vice qui vit en toi depuis si longtemps...
T'es de l'espèce immonde, celle qui détruit tout alors qu'elle peut tout régler..mais t'es las, fatigué d'en être..de toute façons, ce train n'est pas une arche de Noé qui sauvera le monde..tu t'en doutes non ? Une poignée d'homme, se cachant sous terre comme une armée de rat..Peut-être qu'il mérites mieux..
T'écarte le visage, plongeant tes yeux d'ado inadapté, mal grandit, dans les siens, aux couleurs si extraordinaires..Ses rouages, ses mécanismes..t'en chiale tant il est sublimé..tu grésilles, tu gémis, et tes bras reviennent soudainement l'agripper, pour te sortir la tête de l'eau,te laisser couler avec lui..tes hanches brûlent, ton ventre semble habités de serpents, se contractant d'agonie, alors que ta voix cesse d'émettre les mots, et reviens aux premiers grognements de loup blessé. Tu te cambre, te presse, enfoui le nez contre son visage sans plus te contrôler...perdant complètement pied...
Ta voix se déchire, se hausse, alors que ta conscience s'éparpille..se brise contre le métal de GlaDOS...tu trembles..humanité en lambeaux , recrachée par la société dans les bras d'un amour recrée dans un endroit sombre, bruyant et étroit..Tu frémis, calme ton cœur qui s'épuise, racle tes poumons qui s'engorgent, et doucement, tes doigts se détachent de son cou,effleurent sa peau, sa gorge, son torse et ses zones si sensibles, identiques à ta propre sensibilité..Tu le retient doucement, le souffle perdu, et ta tête s'abaisse contre son cœur pour le retrouver..