« I'm not strange, weird, off, nor crazy, my reality is just different from yours. »
Lewis Carroll
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Plague is Cool.

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Plague Doctor
Josef Slawik
Josef Slawik
Josef Slawik
Plague Doctor
26/3/2015, 03:16
Messages : 4

Who am I ?

● Josef Slawik

"Es war nicht ein Krieg. Es war Wahnsinn. Nur Wahnsinn."

.: Nom civil: Josef Slawik. The plague doctor.
.: Age : 43 ans, arrêté.
Existe à Wonderland depuis : environs 8 ans.
.: Orientation sexuelle : bisexuel difficilement assumé
.: Groupe : Crimson spook
.: Race : Alice
.: Origine : Allemagne – Troisième Reich, années 40
.: Fonction : médecin (anciennement militaire)
.: Âme : non –possédée par Snow-White
.: Particularité : immunité à la plupart des bactéries, virus et maladie rôdant en terre et en chaire.
.: Pouvoir : Le blesser revient à assumer de l'aimer. Il faut bien protéger les petites choses qui servent aryen.
.: Classe sociale :Comte (achat d’un titre de noblesse)
.: Participant au Game of Madness : non

Description Physique


L’idéal aryen, répandue sur les feuilles de propagande vole parmi le vent, dans les rues venteuse de la ville de Szczecin, près de l’ancienne frontière polonaise. Il s’éclate même sur ta face, montrant un vrai travailleur fort, pour la puissance du puissance, grand, aux épaules larges et aux cheveux blonds,surmontant un regard d’azur fier. Tes mains longues et fines arrachent alors le papier de ton visage mince et creux au teint blafard, alors que tu râles en voyant l’image, la chiffonnant pour la jeter dans le courant d’air de la ville à moitié démolis, et surtout vidées de tout habitant civil.

On te croirait vexé, toi, le petit médecin brun à la cheveux indomptable aux boucles brune, et aux yeux trop grands et trop bruns, au long et esthétique nez fin, rougis par le froid et à la peau séchée par le vent et cette météo pourrie. Loin de cet image de l’allemand utopique et ridicule. Tu accélères le pas, enfonçant le nez dans le col de ton manteau, et réajustant tes lunettes rondes sur l’arrête aiguë de ce dernier. L’heure est presque passée, et les résidus de souillure et de pluie laissée par cette image d’Épinal embrassent ton cou maigre d’une façons trop intime à ton goût..

Tu montes rapidement les marches de la bâtisse, d’enjambées nerveuses, le visage baissé dans tes épaules courbées. Le couloir est aussi vide, il semblerait que le timing soit juste correct. Ton manteau noir, parfaitement coupé, quitte tes épaules, se retrouvant suspendus , laissé là pour une blouse bien plus couvrante qui masque chaque pore de ta peau anémiée. Et finalement, c’est l’étrange masque d’oiseau qui vient recouvrir ton visage.




Etat mental


Tu les observes, ces gens. Méprisants, malveillants et stupides, à la botte d’un leader qui ne voit le monde qu’au travers de cruauté, et la médecine, seulement par la mort. Une solution finale ? Tu parles. Ce n’est qu’un vaste gâchis humain, un découpage de trop qui ne servira qu’à marquer l’histoire de son horreur. Tes yeux scrutent leurs visages par-dessus les verres ronds, inexpressif, froid, et calculateur. Pour celui là, il est bien visible qu’il abuse un peu trop de la bouteille. Il sera donc aisé de le supprimer en ajoutant quelque stimulant cardiaque et en surchargeant son foie. Un beau foie cyrhosé, plus gros qu’il ne devrait..voilà à quoi devrait-être réduit ce scientifique là.

Tes pupilles reviennent se coller à la lentille du microscope, observant chaque bacilles se mouvoir avec une primaire élégance meurtrière. Tu les admire presque. Pensent-elles ? Raisonnent-elles ?..tu l’ignores, mais ce dont tu es sur, c’est qu’elles tuent si facilement..un scalpel se trouve à deux cm de ton gant imperméable, et il te suffirait de le prendre, et d’ouvrir l’une de ces blouses pour provoquer panique et hystérie dans la pièce. Tout serait clos, et vous prendriez tous feu. Ce ne serait pas la plus délicieuse, ni la plus raffiné des fins, mais c’en serait-une tragiquement efficace.

Près de toi, les flacons sont emplis d’un liquide incolore, confié aux soins du plus éminent spécialiste du pays en matière de bactériologie. Yersinia Pestis..une beauté immobile au tableau funeste et élegant.Particulièrement lors d’une atteinte pneumonique. Rapidement, la coloration disparait du visage, les lèvres prennent une teinte cyanosée délicatement saupoudrée de nuance de rouge. Et la toile finit dans les teintes d’un monument iconographique christique, au corps tordus digne du Greco..

L’art est ton échappatoire, ta Jérusalem secrète qui te permet de fuir ces bassesses, ces esprits bovins qui ne comprennent rien à la beauté des choses, et la douleur de leur disparition..leurs abimes..ils les suppriment, quand tu cherches à les sauver, les soigner..Ils sont grossiers.




Il était une fois...


Tu vis pendant le second plus grand conflit de ta vie, engageant trop de pays pour être ignoré, et débutant le schéma d’une trop grosse erreur pour être oublié. La seconde guerre mondiale, terrains de cauchemars, et de fantasme inavoué, tout comme prétexte à bien trop de laisser-aller dans la morale humaine, au point de sa quasi-inexistence dans sa forte et sombre proclamation. La plus récente chasse aux sorcière, après tout..

Tu te rappelles de la première ? Tu courrais déjà partout, courbé en deux, profitant de ta taille menue, portant ta sacoche de jeune médecin, alors que tu n’aurais pas du même avoir ton diplôme. Joyeuse majorité, Josef, te voilà parmi les puces et les poux, à ramper dans la boue pour trancher des membres pourris jusqu’à l’os, dont les odeurs de viande avariée ne pouvait faire taire vos estomacs grognant. Les mouches, les cadavres enterrés dans les tranchés et tendant leurs mains décharnés pour caresser les cheveux des vivants, suppliant la fin de leurs tourments. Est-ce que c’est la-bas que tu as laissé tes sentiments ?..Où t’ont-ils tant serrés la gorge qu’ils prirent le pas sur ta raison, te collant un masque d’impassibilité sur la face pour passer incognito.. ? Aucune idée. Le passé est ce qu’il est, et si les bruits du quotidien te font parfois sursauter, si tes nuits sont agitées et humides d’une sueur de frayeur. Tu fermes les yeux.

Ça fait plus de vingts ans que c’est arrivé. Tu as eu le temps de t’éduquer, et de porter tes yeux hors des corps desquamés des morgues, pour les tourner vers ceux représentés dans les plus belles traces de l’humanité. L’art, ses représentations de paix, de souffrance, ses meurtrissures et ses plaies. Ses plaies..comme celle qui orne ton flanc ? C’est peut-être ce qui te fait tant aimer les descentes de croix. Cette bouche rouge et béante, qui ne demande que le baiser d’une lance, avide et suintante, rouge et luisante..jamais rassasiée, jamais close.

Mais chaque chose semble tourner en rond. La ronde recommence, et les avis de guerre pleuvent sur les pavées de ta ville si tranquille. Larmes de joies des avions de chasses, et profond agacement en ton corps marqués par cette folie. Au point que durant les premières nuits, ton cabinet civile des maux du quotidien résonne d’éclat de bile et de gargouillement étranglé d’un estomac qui se rappelle la bave coulée pour des cadavres et des membres amis.

Puis, connu pour tes travaux de recherches, lors de ces vingt ans d’accalmie passés loin des hommes à étudier les grands mals, ils vinrent te chercher. T’emmener dans cette ville réquisitionnée, pour te faire participer à un jeu macabre de victoire risquée. La résurrection du fléau européen par excellence. La Peste. Et quelle excuse peux-tu ainsi avoir, pour avoir participé à cette infamie ?..Oh..c’est aisé..Slawik..sur combien de génération es-tu allemand ? Aucune ? c’est bien dommage. Heureusement que cette ville est frontalière, non ? Tu pourras sentir l’air du pays et l’amertume de tes racines. Une menace voilée d’un couvert de mariée.

Grise, sinistre, habitée de fantôme..Szczecin t’ouvre les bras, t’ensevelit dans ses ruelles aux pavées explosés des tests militaires, et dans son dernier bâtiment sécurisé, t’emploies à la création de ce nouveau monstre moderne, dans une enceinte de quarantaine. Jours, puis nuits se succèdent..non pas pour ta douce Yersinia, mais pour attendre le bon moment.

Le soleil se couche, rase les toits tordus de la ville ,et parent d’une lueur dorée la coque rigide du zeppelin postal. Tu n’as jamais saisis pourquoi garder un instrument aussi énorme et peu discret au dessus d’une ville vide de tout être. Mais qui regardait vers l’est, en ces années noires ? Personne, encore...personne avant les pilotes d’avion leger qui avait encore de trop longs mois devant eux.
Tous sont là, verres levés dans la salle. Scientifiques, administratifs, et superviseurs du projet. Même la tête pensante, tenant à montrer son inhumaine dignité, lève son verre en souriant, plaisantant sur cette noire lady qui terrorisera de ces voiles , les ennemis du Reich. Tu souris, joliment, et comme St Marc chassant la Peste des terres Venisienne, tu provoques un tremblement, lorsqu’à la place d’un verre, c’est un flacon que tu lèves. Puis lâche.

Et l’on passe alors à Turner..l’incendie du parlement se reflètent sous tes yeux rougis par l’irritation soudaine des gaz de mise au sol. Tu ignores ce qui vient de se dérouler durant les dernières minutes. Tu as simplement couru. Des bruits sourds retentissant comme avant dans ton dos, et des brûlure comme des piqures de guêpes étreignant ton omoplate, ton dos..un baiser de feu qui te précipite de la passerelle de chargement à l’intérieur du zeppelin. Et sous le sourire qui illumine ton visage, le bâtiment brûle d’un feu trop vif pour être accidentel. Un feu capable de supprimer toute trace de ta belle princesse endormie Yersinia..

Les piqures pleurent, laissent couler, tels des bubons, leurs humeurs corporelles. Mais le sang ne se mêlent pas de pus, et bat doucement, comme une tendre mélodie de Tchaïkovski..le rythme d’une valse qui finit binaire, clos à demi tes cils frangés de cils trop épais pour un idéal viril, et sous sa dernière note, les flammes dessinent le contour d’une silhouette humaine..et toute ta vie, victime d’une réforme de mondes parallèle, finit par se mêler aux cendres du bâtis...


Cela fait 8 ans que tu tiens régulièrement un journal, écrivant et dessinant des mots et des fumées de silhouette, comme l’inverse. En cette ville d’Asyria, les souffrances se mêlent à la sensiblerie artistique, parfois trop étriquée pour laisser l’être vivant survivre..alors tu interviens. Un cabinet te fut point d’appuis, son monnayement te permis un achat de titre de noblesse. Pourquoi donc ? Pour une immunité. Tu ignores l’origine de ce besoin, tu en connais le manque d’efficacité. Mais n’es-tu pas des plus aisé pour désigner le traitement ? Te voilà comte, la belle affaire...une révolution, et ta tête sautera avec les autres.

Tu continus ta quêtes, observes, étudie et soulage..des plus hauts, au plus bas..Tu vois ce monde dans son intégralité, possesseur depuis quelques années d’une merveille que tu ne quittes plus, réclamé a ce groupe d’utopiste étranges, doué d’un sens qui te fascine à sculpter la vie sans la maladie. Eux-même sont comme le reste de ce monde lépreux, et eux-même en pâtirent. Les métaux s’étreignent des bacilles et ces bacilles aiment se perdre dans les corps des hommes..C’est ainsi que tu vis les entrailles de cet endroit, enfoncé dans l’obscurité et gorgée d’une histoire bombardée autant que désertée..
Tu fis cet échange, des vies sauvées à jamais, contre une liberté ressentie par le vent et un air frais, sans vices..sans odeur de poudre, ou fumée de flammes ardents aux hurlements grinçants.
Quelques fioles, contre une échappatoire..




Derrière l'écran


.: Comment êtes-vous arrivés ici? : ...
.: Quelque chose à nous dire? : gnih
.: Avatar : Ima, par Phobs
.: Rang désiré : Plague Doctor


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Rotten minds
Stockholm
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Rotten minds
26/3/2015, 03:40
Messages : 56
Josef, je t'aime! <3 Gnihihihi! \o/
Bon bah n-ième validation, félicitations! *copy/paste*

Félicitation, ta fiche est validée!

Hell'come, te voilà officiellement membre du forum! Désormais tu ne pourras plus partir.... MUAHAHAHA!
Maintenant que tu es ici chez toi penses à recenser ton avatar, ton pouvoir et ton personnage, si ton personnage est inspiré d'un personnage de fiction ou ayant existé. Aussi, tu pourras demander une maison, ou encore chercher des copains pour RP.
Et puis c'est tout, j'espère que tu te plairas parmi nous, n'hésites pas à voter sur les top-sites et à nous faire de la pub autour de toi!


Amuses-toi bien!
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Anonymous
Invité
Invité
Invité
26/3/2015, 11:53
Bienvenue à toi sur le forum !
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.
Roussard de Chez Rousseau
Roussard de Chez Rousseau
Roussard de Chez Rousseau
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26/3/2015, 12:13
Messages : 38
Age du personnage : Compter en nombre de trous sur le gruyère.
Pouvoirs / Particularités : Pouvoir : invisibilité. Particularité : transformation en humain de manière aléatoire.

Origine : Inspiration de League of Legend.

Orientation sexuelle : Je veux faire l'amûr... à du fromage de chèvre !

Habitation : Rah T'al'Seum. Un gros bordel labyrinthique.

Aaaargh mon ennemi naturel D :

Ton jeu de mot m'a fait rire pendant dix minutes. Cool perso o/
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